Quelques nouvelles de mon projet en cours (livre sur l’histoire IT) avec quelques « previews »

Mon projet de livre sur l’histoire de l’informatique avance bien. Après l’ère des constructeurs, je suis en train de rédiger l’ère des éditeurs et j’ai pensé que c’était une bonne idée que de partager quelques extraits de cette grosse section à venir…

Voici donc l’histoire des débuts des SGBD Relationnels suivit du parcours de SAP… Vos commentaires, suggestions, corrections sont les bienvenues, ça va sans dire, hein !

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Jamais je n’aurais pensé un jour que j’allais relayer un article publié dans « l’Humanité »…

Mais voilà, tout arrive il semblerait !

Je vous encourage donc à lire « Grippe A, l’implacable réquisitoire du député Wogard« , ça se passe de commentaire !

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Surprise du nouvel an : le premier enfant dans l’espace !

En effet, incroyable mais vrai, Damien Lefebvre (mon fils de 12 ans) s’est vu confié une mission peu commune par l’ESA : mettre sur orbite un message de paix et d’espoir… Voici un résumé en images de cette aventure fascinante :

Pendant qu’on y est, j’en profite pour vous mettre nos vidéos de fin d’année de 2008 et 2007…

Voilà, une bonne année 2010 donc, sur Terre et dans l’espace !

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Les 50 ans de la nanotechnologie…

Je me suis aperçu en discutant avec quelques amis que le domaine de la nanotechnologie était très peu connu… Alors qu’il s’agit du domaine technique qui est actuellement le plus excitant !

Dans les années 60, la « nouvelle frontière » était représentée par l’informatique ou l’aéronautique… Aujourd’hui, c’est la nano qui est le domaine de pointe, là où les innovations ont le plus d’impact et où le potentiel d’applications est le plus fort. Attention, je ne suis pas en train d’écrire que tout est merveilleux dans la nano et qu’il faut tout prendre à bras ouvert venant de ce secteur !

Comme toujours, il faut prendre la propagande de la techno-structure avec des pincettes et il a largement autant à redouter de la nano qu’il y a à espérer (par exemple, le premier domaine réel d’application de la nano est le militaire… quel surprise !). Ceci dit, c’est un domaine fascinant que je vous invite à creuser à l’occasion de son 50 anniversaire.

En effet, le discours fondateur de la nano date de décembre 1959 par Richard Feynman : Plenty room at the bottom.

Par la suite, c’est Eric Drexler qui popularisa véritablement le concept avec le livre « Engines of creation » (version française ici).

Voici un petit documentaire qui résume bien les tenants et aboutissants de cette importante nouveauté qui se conjugue déjà au présent, que vous en soyez conscient ou pas :

Pour approfondir encore, j’ai constitué une liste de vidéos sur Youtube qui illustre plus ou moins complétement les différents aspects de ce domaine dont on a pas fini de parler !

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Documentaires sur le sport-auto sur Youtube

Youtube regorge de contenus intéressants, le tout est de les trouver bien sûr !

Un peu par hasard, je suis tombé sur « la chaîne » de « bmcworksdriver » qui propose le documentaire « The flying scot », un film fort bien fait sur la carrière de Jackie Stewart (qui va bien au-delà de ses trois titres de champion du monde de F1, excusez du peu !). Même si c’est tout en anglais (mais assez facile à comprendre… enfin, je trouve), je vous recommande vivement de prendre le temps de visionner les neuf parties de ce documentaire rémarquable à http://www.youtube.com/user/bmcworksdriver#p/u

A la même adresse, vous trouverez également un documentaire sur Graham Hill et un autre sur Jim Clark (mais je n’ai pas encore vu ces deux-là et je ne sais si c’est du niveau de « The flying scot » qui est vraiment bien).

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Vidéo de ma conférence sur Facebook & Twitter lors du 300ème First

Je l’avais promis dans le billet sur ce sujet

300ème First : « Quelle est la valeur ajoutée des réseaux sociaux ? » – Jeudi 5 nov. FER Genève

Et… ça a mis un peu de temps à arriver. Enfin, elle est là, la vidéo de mon intervention lors de cette conférence. J’y parle de Facebook et de Twitter dans un cadre marketing et comme je n’avais que 15 minutes de temps de parole, je me suis contenté de détailler deux exemples d’utilisation pertinente (selon moi) de ces médias sociaux : iRacing.com et macosmetoperso.com

J’ai bien aimé le défi de faire tenir mon intervention en 15 minutes, une performance inhabituelle dans ce cadre et que j’ai été le seul à accomplir ce soir là (les autres intervenants ont largement dépassé… de plus, ils étaient aussi un peu hors sujet selon moi…).

Alain Lefebvre – Twitter et Facebook dans un cadre marketing from Rezonance on Vimeo.

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Livre sport-auto : « Qui se souvient de John Woolfe ? »

Je viens de recevoir le livre « Qui se souvient de John Woolfe » de Michel Boixière et Michel Fournier. Il se trouve que ces deux auteurs se sont lancés dans une aventure un peu folle : retracer l’aventure -tragique- de John Woolfe, pilote anglais qui s’était tué au volant d’une Porsche 917 au premier tour des 24H00 du Mans 1969 (le seul pilote qui se soit tué au volant d’une 917…).

Photo du 54425957-12- à 15.07

Ce livre est le fruit d’une enquête minutieuse qui emmena nos deux auteurs à aller bien plus loin et plus longtemps qu’ils ne l’imaginaient au départ, pour sûr !

Très richement illustré (plus de 250 photos dont 220 sont inédites) et avec beaucoup de témoignages des acteurs de l’époque, cet ouvrage n’est pas seulement un livre sur le défi fou de John Woolfe, c’est aussi un reflet sur ce qu’était cette course à cette époque, un monument. Tous les fans des 24H00 du Mans trouveront là un reccueil passionnant sur les différents aspects de cette course incroyable (elle l’est toujours). J’ai -modestement- participé à cet ouvrage en écrivant quelques pages sur l’histoire de la 917, pages que Michel & Michel ont utilisé comme bon leur a semblé.

Photo du 54444549-12- à 15.07

Ce livre peut-être acheté 25 euros sur le site de l’association « L’Orée » à www.l-oree.org

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La partie « constructeurs » de mon livre sur « l’histoire critique de l’informatique moderne »…

Je viens de terminer le premier jet… Manque encore plein de choses bien sûr : illustrations, notes, (vos) témoignages, corrections, etc.

Mais ce premier jet est déjà lisible et permet de se faire une idée générale sur le ton et le contenu de l’ouvrage… Alors, si ça vous dit, le pdf est là : lien supprimé.

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Documents intéressants sur l’histoire de l’informatique…

Pendant que je travaille sur mon livre « histoire critique de l’informatique moderne », je trouve plein de documents intéressants… Plutôt que de tout garder pour moi, j’ai pensé les partager avec vous…

Tout d’abord, il s’agit de la démo « historique » de Douglas Engelbart réalisée en décembre 1968. A l’occasion de cette démonstration incroyable pour l’époque, Engelbart montre l’usage de la souris avec l’interface utilisateur associée (déjà très avançée pour l’époque) ainsi que d’une vidéo-conférénce avec un autre utilisateur, rien que cela !

Pour comprendre l’importance de l’événement, rappelez-vous la date : décembre 1968…

L’autre pièce de choix, c’est le documentaire « Triumphs of the nerds » réalisé en 1996 par Robert Cringely… Ce film retrace la naissance de l’industrie du PC de façon précise et amusante… Un « must-seen », sans conteste. A déguster à http://www.youtube.com/view_play_list?p=4D5CD637F73C24C7

Dans le même genre mais en plus romancé, vous avez aussi le film « Pirates of the silicon valley » avec la même histoire, les mêmes personnages mais avec un peu plus de détails sur certains épisodes clés… J’ai créé une playlist pour que vous puissiez visonner l’ensemble.

Enfin, finissons sur une note marrante (« un peu d’humour ne fait jamais de mal » comme disent les inconnus dans le sketch « télématin »…) avec l’acteur Noal Wyle qui joue le rôle de Steve Jobs dans « Pirates of the Silicon Valley » et qui imite le vrai Steve lors de la Keynote de MacWorld 1999, enjoy! :

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Visite du salon « mondial » de la simulation…

Hier, samedi 28 novembre 2009, je me suis déplacé à Paris pour aller voir le salon « mondial » de la simulation. Il était prévu que j’y fassse une séance de dédicaces de mon livre sur le SimRacing mais mon éditeur a été incapable d’organiser cela correctement et cela a été annulé en dernière minute (super, ça commençait fort !).

Photo du 61854507-11- à 17.10

Néammoins, j’ai pu déambuler dans les 3 halls d’expositions qui étaient abrités par le salon de l’Air et de l’Espace du Bourget. L’endroit est agréable et le contenu devait être passionnant quand on est pilote… d’avions !
Car côté SimRacing, autant le dire tout de suite, c’était très pauvre et cela présentait peu d’intérêt.

J’ai tout de même pu tester le système D-Box que l’intégrateur IDsimulation (un intégrateur nantais qui avait un stand à ce salon). Le modèle exposé était le GP PRO 200RC. Bon, disons-le tout de suite, c’est loin de valoir mon Frex SimCom Motion !
Le système D-Box repose sur trois verrins disposés en triangle mais ceux-ci sont trop courts et l’axe de roulis est quasi-inexistant… Pas terrible surtout quand on apprend le prix : 12000€ !
Soit 3 à 4 fois plus cher que le SimCom Motion de Frex (mais c’est vrai que ce dernier ne vous arrive qu’en kit et qu’il faut le monter soi-même…) ! Merci mais non merci…

Le gérant de IDsimulation m’a tout de même appris quelque chose que j’ignorais : il existe un logiciel open-source pour gérer les verrins du cockpit que vous aurez construit vous même… Voir à http://www.x-simulator.de/forum/

Pour conclure en images, voici quelques photos (prise avec mon iPhone, ça explique la qualité médiocre…) :

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Présence au « salon de la simulation » ce WE…

Je vais être présent au « salon de la simulation 2009 » qui se tient au Bourget (pas Bourget du Lac à côté de chez moi, non, l’autre, au nord de « Gross Paris »…). http://www.mondial-simulation.com/index.php

Je prévois d’y être le samedi. Je monte de Savoie spécialement pour cela. Si vous voulez en profiter pour me rencontrer, c’est l’occasion. Je vais sans doute avoir une séance de dédicaces d’organisée pour mon livre sur le SimRacing ce n’est pas encore certain… En tout cas, je serais heureux de signer le livre de ceux qui l’auront avec eux…

Puisqu’on parle de livre, j’ai profité de la sortie du livre sur Soheil AYARI pour demander à mon fils une photo de moi avec tous mes livres :

tous-mes-livresBon, la photo n’est pas formidable car j’ai l’air d’un « retraité grimançant » sur celle-là mais bon, j’assume !
Alors, dix livres me direz-vous mais lesquels car on ne voit pas bien les titres ?

De gauche à droite et de haut en bas :

Voilà, ça fait 10 !
Et ce n’est pas fini puisque je suis en train d’écrire deux nouveaux livres : « Hacking » (un roman, j’en suis au chapitre six) et « Histoire critique de l’informatique moderne » (j’en suis à la première partie « l’ère des constructeurs » et ça avance bien). Sans compter la suite de « Perdu dans le temps » (le tome II) dont le premier chapitre est déjà bouclé depuis un moment…
Bref, je ne suis pas le plus prolifique des auteurs mais ça reste raisonnable.

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Bio de Soheil Ayari : elle est là !

Il existe désormais une version numérique et actualisée de la bio de Solheil, voir à http://www.alain-lefebvre.com/livres-perso/nouveau-la-version-ebook-du-livre-sur-soheil-ayari-un-pilote-moderne/

Voilà, je l’ai enfin reçu : la biographie de Soheil AYARI est disponible et vous pouvez la commander dès aujourd’hui sur le site ayari.com

Ce livre a représenté presque un an de travail (interviews, rédaction, sélection des photos mais aussi mise en page) mais le résultat est magnifique comme vous pouvez en juger ci-dessous :

La couverture du livre

La couverture du livre

Un exemple de pages intérieures

Un exemple de pages intérieures

Pour vous faire une idée du contenu, voici un extrait de l’introduction :

On l’aura compris, cet ouvrage est une biographie de Soheil AYARI. Elle se concentre sur son parcours en tant que pilote, on ne s’est donc pas attardé sur la jeunesse (forcément édifiante !) du champion ou sur sa famille. D’entrée de jeu, on plonge au cœur de l’action avec ses débuts sur les circuits.

Les biographies sont souvent publiées à la fin de la carrière d’un pilote, comme une sorte de bilan et de récapitulatif. Or, Soheil est toujours en pleine activité et cela donne à ses récits et réponses le tranchant de l’action. Il s’agit donc d’un regard sur la trajectoire de Soheil alors que le pilote est toujours concentré sur l’étape à venir.

Mais cet ouvrage n’est pas une hagiographie. Il ne s’agit pas ici de tresser une couronne de lauriers à Soheil-le-meilleur-d’entre-tous… Cela n’aurait pas de sens et serait peu significatif.

En revanche, même si son parcours est jalonné de réussites éclatantes, il nous a paru intéressant de revenir sur ses échecs (Soheil était “programmé” pour aller en F1 mais cela ne s’est pas fait… Pourquoi ?), ses erreurs et ses déceptions pour illustrer que la carrière d’un pilote est faite de hauts et de bas. Qu’au-delà du côté brillant de cette scène spectaculaire, l’envers du décor était âpre, rugueux et délicat à gérer. Comme tous les sportifs de haut niveau, Soheil parvient à rester au sommet grâce à sa résilience : sa capacité à absorber les coups durs et à rebondir.

C’est en cela qu’il est un pilote moderne : bien adapté à son époque, il est capable de conduire n’importe quel type de voiture de course (des mythiques Porsche 917 et 935 jusqu’au proto le plus moderne) et d’impliquer un public qui n’est pas toujours passionné de sport auto…

Cet ouvrage est articulé autour des sections suivantes :

1- Les débuts : du karting à la Formule Ford.

2- L’ascension : le titre record en F3 et la première saison en F3000.

3- Aux portes de la F1 : Macao, le test avec Williams, la complexité de “l’équation F1”.

4- Du Supertourisme à la GT : le début de la seconde partie de carrière de Soheil.

5- GT et endurance : les titres avec la Saleen, l’association avec Oreca pour le proto.

Avec cette cinquième partie, nous arrivons à l’époque actuelle mais notre ouvrage n’est pas terminé… Nous avons suivi le parcours de notre champion, voyons maintenant “les coulisses de l’exploit”…

6- La réalité du métier de pilote : gérer l’intersaison et les à-côtés…

Ce livre a été rédigé par Sassan AYARI et Alain LEFEBVRE à partir de nombreux entretiens avec Soheil lui-même (mais aussi avec Cyrus, son frère aîné qui a largement participé à l’aventure). Bien évidemment, Soheil a revu et validé l’ensemble des textes et des photos tout au long du processus d’écriture.

Sans être un ouvrage généraliste sur la course automobile moderne sur circuits, profitons de notre intimité avec Soheil pour mieux comprendre les contraintes et les exigences qui pèsent sur un pilote professionnel. Soheil est un guide passionné et passionnant, accompagnons-le aussi loin que possible, la randonnée en vaut la peine !

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Le seul match de foot qui vaille la peine (je dis bien « le seul » !)

Oui, une rencontre au sommet avec un suspence insoutenable…

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On reparle d’alimentation…

Hasard du calendrier, voilà que nous arrive quasiment en même temps des éléments qui nous rappelle que notre problème écologique ne se limite pas à la pollution mais concerne aussi notre alimentation…

Tout d’abord, je vous recommande « Toxic Food », le nouveau livre de William Reymond (c’est la suite de « Toxic » qui était déjà pas mal remuant…). Je ne l’ai pas encore reçu (ni lu donc) mais je pense que ce nouvel opus vaut le coup d’oeil… Voir à http://williamreymond.com/content/toxic-food-enquête-sur-les-secrets-de-la-nouvelle-malbouffe

Ensuite, nous avons « Food Inc », le nouveau film de Robert Kenner (celui qui avait déjà fait « Fast Food Nation », excellent), donc voici la bande annonce :

Enfin, je vous recommande ce « court métrage » de Louis Rigaud : « Copier-Cloner », tout est bien résumé en quelques minutes…

Copier cloner | Copy and clone from louis rigaud on Vimeo.

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Une pédale de freins à capteur de pression pour le G25

Dave Kaemmer (iRacing) l’a bien expliqué dans son interview sur OpinionNation (le 11 novembre dernier), les deux principales différences entre la simulation et le pilotage réel, c’est le feeling de la pédale de freins (si vous utilisez un pédialer classique genre G25) et la vue de la piste à travers un moniteur.

A bord d’une vraie voiture, on a une vue bien plus large et bien meilleure qu’à travers la fenêtre limitée d’un moniteur : on voit mieux le point de corde et les différences trajectoires possibles alors qu’on est très limité sur un simple moniteur (aussi gros soit-il). Kaemmer pense que le « triple head » améliore beaucoup les choses mais reste encore loin de la vue réelle.

Pour ce qui est du « triple head » on verra plus tard mais pour la pédale de frein, je viens de trouver la solution : c’est le kit « load sensor mod for G25 » d’Andy Pastore !

Dès j’ai trouvé cela sur le forum d’iracing, j’ai aussitôt commandée le kit en payant sur Paypal le 3 novembre (50,74 euros). J’ai reçue le paquet 16 novembre, soit juste 13 jours d’attente, c’est raisonnable pour un envoi venant des USA.

Pour avoir plus d’images de ce kit, allez voir sur le site dédiée la section « montage » qui explique tout étape par étape à http://www.apelectrix.com/install_N.html

Bon, une fois monté (ça m’a pris une petite heure), qu’est-ce que ça donne ?

Tout d’abord, on doit calibrer le frein de nouveau, forcément. Si on veut une grande plage d’utilisation, il suffit de pousser fort au moment du calibrage. Ensuite, ben faut s’y habituer… Mais ça vient vite : j’ai effectué quelques tours à Lime Rocks (sur iRacing) avec la Star Mazda et au bout de quelques tours j’étais en 49.2, soit dans mes temps habituels. Ceci dit, Lime Rocks n’est pas vraiment un circuit de freinages (surtout avec la Star Mazda qui est un vrai avion sur ce tracé !) donc ce n’est pas encore très probant. Mais ça me parait bien en tout cas la voie à suivre : ce kit n’est pas cher (50 euros envoi compris, c’est raisonnable), facile à monter et le feeling résultant est convaincant, ça donne une pédale de freins dure mais pas complétement rigide, on retrouve bien le feeling caractéristique des engins de courses à ce niveau (les voitures de compétitions sont dotés de pédales de freins qui présentent encore moins de course que dans une voiture « normale » et c’est voulu ainsi : la pédale de freins doit « bouger » le moins possible afin de faciliter le fameux « talon-pointe »).

En attendant, me voici avec un pédalier « tout neuf » pour bien moins d’argent que si je l’avais remplacé par un équivalent de chez FREX ou autres…

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Une vidéo avec Miguel Benasayag, à propos de l’anti-terrorisme

Je ne connaissais pas encore Miguel Benasayag (voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/Miguel_Benasayag pour en savoir plus sur le personnage) mais il suffit de cette vidéo pour comprendre qu’il s’agit d’une voix intéressante (je dirais même fascinante) et qui mérite d’être écoutée…

Ecoutez cette vidéo ci-dessous et réjouissons-nous qu’il reste encore quelques chercheurs de ce goût-là pour proférer ces vérités nécessaires !

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Prologue du livre « histoire critique de l’informatique moderne »

Ce projet avance (voir ici http://www.alain-lefebvre.com/it/sommaire-provisoire-de-mon-livre-sur-lhistoire-de-linformatique/ et là http://www.alain-lefebvre.com/it/un-questionnaire-pour-mon-livre-sur-lhistoire-recente-de-linformatique/ les détails de ce projet en cours).

Voici une version (provisoire, bien sûr) de l’introduction et du prologue :

Introduction

Voilà un livre sur l’histoire de l’informatique moderne. J’insiste sur cet adjectif car mon objectif était bien de rédiger un ouvrage différent des livres d’histoire qu’on peut déjà trouver.

Certes, il est utile de replacer l’émergence de l’informatique dans les méandres du bouillonnement technique du XXème siècle mais cela a déjà été fait de nombreuses fois. Mon but était plutôt de focaliser sur les cinquantes dernières années de notre industrie afin de retracer les évolutions majeures et d’en comprendre les mécanismes.

En effet, pour comprendre comment on en est arrivé là, il faut décrypter ce passé récent. Ainsi seulement, on pourra faire une analyse objective de la situation présente et proposer une nouvelle direction pour la prochaine phase. Car, et c’est là le second volet de ce travail; il ne s’agit pas seulement de s’intéresser à l’histoire moderne de l’informatique mais aussi de le faire avec un oeil critique !

Est-on satisfait de la situation actuelle ?

Peut-on dresser un bilan de l’informatique professionnelle ?

Quelles règles peut-on en déduire ?

Pourrait-on faire mieux ?

Comment faire mieux ?

C’est pour répondre à ces questions que j’avais proposé en 2004 “le manifeste pour une informatique raisonnable” et la dernière partie de ce livre est une mise à jour de cette proposition replacée dans le contexte d’un bilan de l’informatique moderne.

Mais, avant d’en arriver là, il faut pouvoir poser les bases de cette exploration. C’est-à-dire, répondre aux questions suivantes :

Quand commence l’informatique moderne ?

Que s’est-il passé d’important pendant la “préhistoire” ?

Le premier chapitre débute avec l’identification de l’événement créateur de l’informatique moderne : le lancement de l’IBM 360, ancêtre des mainframes et véritable début de l’industrie informatique telle que nous la connaissons. Avant cela, ce n’était ni le chaos ni le néant mais une période que nous pourrions appeler la “préhistoire” : l’informatique existe déjà belle et bien mais pas encore sous la forme d’une industrie structurée avec un marché, des clients et des usages bien définis.

Prologue

On ne peut retracer l’histoire récente de l’informatique sans être lucide sur sa nature profonde. Et les idées reçues sont nombreuses dans ce domaine !

Tout d’abord, il est juste de dire que les évolutions significatives sont lentes et  relativement peu fréquentes.

Comme l’écrivait Jeff Gould dans la préface de mon ouvrage “Le 3ème tournant” (paru en 2001 aux éditions Eyrolles) : En dépit de notre obsession pour la nouveauté technologique, les vraies révolutions sont en réalité beaucoup plus rares que l’on s’imagine. Le progrès de l’informatique ne passe pas par des ruptures. C’est plutôt un travail cyclique, où l’industrie et les utilisateurs remâchent le même concept deux, trois, quatre fois de suite, avant de sortir enfin une version suffisamment robuste pour s’imposer comme standard de fait.

Bien entendu, il serait tout aussi erroné de prétendre que l’industrie informatique est restée figée lors de ces cinquante dernières années. Pour prendre une analogie, on peut comparer ce domaine à un grand plan d’eau qui s’étendrait toujours plus en superficie mais resterait peu profond, même en son centre. La surface toujours en expansion représenterait la progression des capacités de traitement qui ne cesse de progresser et la profondeur serait à l’image des fonctionnalités qui elles restent très limitées.

Une situation contrastée qui n’est pas une anomalie

Cette dichotomie qui pourrait passer pour une anomalie mais c’est là qu’il faut comprendre que l’accroissement des capacités vient surtout des progrès réalisés dans le domaine de l’électronique. L’informatique profite donc de ces progrès permanents mais, du coup, le logiciel est toujours en retard par rapport aux avancées du matériel (par exemple, quand les serveurs passent aux processeurs 64 bits, il faut un certain temps -qui se chiffre en années- avant que les logiciels systèmes soient capablent de les exploiter et c’est ensuite au tour des logiciels applicatifs de se mettre à niveau… Cette évolution séquentielle est toujours lente alors que, de son côté, les composants continuent à progresser en permanence).

Le logiciel forcément en retard sur le matériel

Il ne s’agit pas de dire que ceux qui s’occupent du matériel sont des génies et que ceux qui programment les logiciels sont des ânes !

Pour expliquer la lenteur des progrès côté logiciel, il faut mettre en avant le rôle des tests. En effet, écrire un logiciel est -relativement- rapide mais le mettre au point est terriblement plus lent…

Les tests logiciels sont lents et complexes. Lents car il y a de nombreuse possibilités à vérifier et il faut tout revérifier à chaque modification. Complexes car le contexte est important et pour un logiciel système (par exemple), il faut pouvoir tester chaque plate-forme dans toutes les configurations possibles… On imagine vite ce que cela représente !

Logiciels et turbines à gaz, même combat !

Prenons un exemple, celui d’un “accident industriel” célèbre : celui des turbines à gaz GT24/GT26 d’Alsthom qui se sont avérées defectueuse au début des années 2000. Pourquoi des engins aussi coûteux et complexes ont-ils été mis sur le marché sans être testés de fond en comble (ce qui aurait évité de commercialiser des turbines de grande puissance comportant un défaut de conception) ?

Tout simplement parce qu’il aurait fallu laisser tourner ces turbines pendant des années (4 à 5 ans minimum !) avant que le défaut ne se manifeste… La rentabilité du programme ne pouvait s’accomoder de tests aussi longs, la direction de l’époque a donc pris le risque de se contenter des tests habituels qui eux étaient tout à fait satisfaisant…

La vraie différence entre capacités et fonctionnalités

Ceci permet de comprendre pourquoi les tests jouent un rôle clé dans la lenteur de l’évolution du logiciel et font que l’informatique avance sur deux faces : très vite sur le plan du maériel, très lentement sur le plan du logiciel. Or, le matériel n’amène seulement que des capacités (autrement dit, des fonctionnements potentiels) alors que c’est le logiciel qui apporte les vrais fonctionnalités (qui elles débouchent sur des traitements bien réels)…

Ces éclairages permettent de répondre à la question “pourquoi l’évolution technique de l’informatique suit-elle deux pentes aussi différentes ?”.

Une évolution timide, un marketing tonitruant !

Il y a donc loin entre la réalité du terrain et les apparences projetées par les acteurs de l’industrie : d’un côté on a des progrès lents et obtenus avec difficultés, de l’autre, on a un cirque médiatique permanent qui promet la lune avec constance et où l’innovation réside surtout dans les étiquettes dont on affuble les “nouveaux” produits.

Car, depuis que l’informatique moderne est sortie de sa préhistoire, son évolution technique timide est contrabalançée fortement par un marketing de tous les instants qui lui est tout sauf timide !

Les ravages du FUD

Ce marketing est même à double détente : d’une part, il faut faire croire au marché qu’on lui propose la pointe de la technique (tous les produits sont systématiquement présentés comme étant sur le “bord tranchant” de la technologie la plus sophistiquée du moment) pour tout ce qui provient du “courant principal” de l’offre. D’autre part, le second rôle de ce marketing est de disqualifier par tous les moyens (y compris le mensonge, la calomnie et les manipulations les plus éhontée… Le concept marketing le plus en vogue dans cette industrie lors de ces dernières décenies est le FUD pour Fear, Incertanity, Doubt ou CID : Crainte, Incertitude, Doute) pour tout ce qui viendrait menacer le “courant principal”. Les alternatives au paradigme dominant du moment sont donc systématiquement combattus avec vigueur et mauvaise foi car il s’agit de protéger le statut quo, générateur de profits juteux pour les acteurs dominants.

Un comportement récurrent, génération après génération

Cette leçon est bien comprise, retenue et appliquée par les générations d’acteurs qui se succèdent au sommet. Ainsi, l’éditeur de logiciels pour PC qui luttait contre le grand constructeur de mainframes était-il victime du FUD quand il était encore dans le camp “alternatif”… Mais quand son côté a fini par triompher et devenir le “courant principal”, à son tour, il employa les mêmes tactiques avec abondance pour discréditer les acteurs émergeants représentant de la nouvelle technique alternatives.

On a vu et revu ce mouvement de balancier de nombreuses fois depuis cinquante ans : les fabricants de minis contre les constructeurs de mainframes, les éditeurs de logiciels et assembleurs de PC contre les tenants de l’informatique centralisée, les promoteurs de l’open source contre les partisans du logiciel propriétaires, les offreurs de SAS (Software as a Service) contre les éditeurs de logiciels et ainsi de suite…

Un impact spectaculaire sur le quotidien

On constate donc que l’informatique moderne repose sur un paradoxe et un mensonge : le paradoxe d’une évolution technique dont les progrès dépendent surtout de l’électronique et le mensonge permanent d’un marketing outrancier. Cependant, il ne s’agit pas pour autant de nier ce qui a été accomplit qui est considérable et souvent spectaculaire. Jeff Gould insiste sur l’impact qu’a eu l’informatique sur le quotidien de nos contemporrains :

…l’impact de l’informatique non seulement sur le quotidien des utilisateurs, mais aussi et peut-être surtout sur les organisations de la vie moderne. Je m’explique par quelques exemples (qui te paraitront évidents)…

(1) Les grands systèmes de réservation, rendus possible par les mainframes des les années 60, et développés beaucoup plus tard sur le web. Sans ces systèmes, le transport aérien et ferroviaire moderne à l’échelle actuelle ne serait pas possible. Si on devait tenir des livres de réservation à la main comme cela se faisait encore dans les années 50, ce serait tout simplement impossible de gérer des dizaines de milliers de vols et des centaines de milliers de places réservées par jour. C’est donc une question de « scale » : sans informatique, beaucoup d’organisations modernes ne pourraient exister.

(2) Même chose pour les grands réseaux bancaires et les systèmes de paiement par carte de crédit. Aujourd’hui on voyage partout dans le monde développé sans se soucier des moyens de paiement. Mais dans le passe, même jusqu’aux années 60, les voyageurs se déplaçaient avec des devises qu’ils changeaient à la frontière de chaque nouveau pays.

(3) Même chose pour le commerce en ligne (Amazon, EBay, etc). Je sais que c’est la l’aspect le plus évident de l’impact récent de l’informatique. Mais au fond c’est le même phénomène que les systèmes de réservation aériens appliques à un nouveau domaine. L’architecture d’Amazon de nos jours (un ordinateur central gère des stocks et exécute des transactions commerciales pour des milliers d’utilisateurs remote assis devant des terminaux, pardon, browsers web) ressemble comme deux gouttes d’eau à celui du réseau Sabre à base de mainframes et de terminaux 3270 des années 80.

(4) La productivité individuelle a explose, grâce au PC et à la bureautique. La productivité des groupes de travail col blanc quant à elle a explosé grâce à l’email. La productivité des employés de bureau et dans les « customer facing roles » (guichetiers dans les banques, caissières dans les supermarchés, etc) a explosé grâce aux terminaux remote sur grands systèmes, donc grâce aux réseaux (et aussi grâce aux écrans, aux scanners, etc.). Ces bonds immenses de productivité ont joué un rôle majeur dans la croissance économique de ces 30 dernières années (même si on a tendance à oublier la vraie ampleur de cette croissance et à trop focaliser sur la récession actuelle).

(5) La banalisation des mémoires numériques (disque, RAM, Flash) a permis la révolution du contenu numérique.

(6) Le web a tué la presse écrite classique, et grâce aux blogs est en train de gêner les habitudes du pouvoir politique dans tous les pays (les élites qui nous dirigent ont beaucoup plus de mal à garder leurs secrets maintenant que les bloggeurs ont cassé le monopole de l’information détenu par la presse complaisante).

(7) Enfin, l’informatique « embedded » a permis la révolution des mobiles, grâce aux chips dans les cell phones et dans les réseaux télécom.

Tout cela est exact, important et doit être souligné. Mais on peut et on doit se poser la question suivante : les mêmes résultats n’auraient-ils pas pu être obtenus avec moins de moyens, moins de gâchis ?

C’est ce que le paradigme de “l’informatique raisonnable” tente de promouvoir. Mais peut-être est-on là dans l’utopie et que l’évolution constatée (avec tous ses travers, ses erreurs et ses mensonges) était-elle inéluctable ?

C’est justement pour le savoir qu’il faut retracer ce cheminement aujourd’hui et avec un oeil critique. Les livres qui font la louange (y compris exagérée) de cette industrie ne manquent pas, il fallait donc un ouvrage qui offre une autre perspective…

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Le ficher de réglages de mon G25…

J’ai eu plusieurs fois la demande alors, le voici le voilà !

Oui, voici à votre disposition le fichier que j’utilise pour régler mon volant Logitech G25 dans rFactor. En fait, ce fichier m’a été donné généreusement par Stéphane Lebourhis (merci à lui encore une fois) et je ne voudrais pas que le mérite me revienne, je me contente de le partager avec vous…

a-G25_rFactor (cliquez simplement sur ce lien pour télécharger le fichier, il suffit ensuite de le mettre dans le répertoire rFactor/userdata/controller/)

Pour les plus passionnés, retrouvez ci-dessous le contenu de ce fichier :

//[[gMa1.002f (c)2007    ]] [[            ]]
[CONTROLS]
[ Basic Controls ]
Basic Controls= »0″

[ General Controls ]
Analog Control Filter= »0″ // 0 = off, 31 = on, or add which inputs you want filtered 1=throttle, 2=brake, 4=handbrake, 8=steering, 16=clutch
Filter Samples= »5″ // how many samples to use (3-10, lowest and highest are thrown out)
Reset FFB Time= »0.00000″ // reset force feedback every X seconds (0 to disable)
Fixed Rate Inputs= »1″ // whether to sample joystick/wheel inputs in a thread for better precision
Auto Reverse= »0″ // If auto-shifting and holding brakes, will shift into reverse and reverse throttle/brake temporarily
Steer Ratio Speed= »0.00000″ // Speed at which low speed steering lock override ends (for pit navigation, units are meters/sec, 0.0 to disable)
Speed Sensitive Steering= »0.00000″
Keyboard Layout Override= »0″ // 0 = default, 1 = try Windows conversion, 2+ = attempt to use one of the existing supported keyboard layouts
Keyboard Weighted= »0″ // New force-based method for keyboard controls for more natural inputs
Keyboard Flags= »1″ // Try 5 if there are issues with multimedia keys. Add to include flag: 1=foreground, 2=exclusive, 4=allow windows key
Keyboard Damping= »1.60000″ // This is the damping factor for the weighted method (2.0 = critical, < 2.0 = underdamped, > 2.0 = overdamped
Keyboard Steering= »0.50345″
Keyboard Throttle= »0.49724″
Keyboard Brake= »0.49724″
Keyboard Clutch= »0.19931″
Mimic Steering= »0″ // Mimic AI or pitlane assistance with force feedback
Gear Select Button Hold= »1″ // Enable this option if using a gear select device that holds down a joystick button while in a gear and releases all buttons in neutral (such as the Act-Labs USB Shifter)
Alternate Neutral Activation= »0″ // whether to select neutral if shift up & shift down are pressed simultaneously
Alternate Rearlook Activation= »1″ // if left look and right look are both pressed, rearlook becomes activated
Steering Wheel Range= »400″ // Degrees of rotation of in-game steering wheel
Minimum Controller Buttons= »2″ // Increase if not enough buttons are being accepted (meaning we need to override a driver bug)
HMD Pitch Exponent= »1.00000″ // Exponent to apply to pitch tracking.  > 1.0 makes tracking near-center slower, > 0 & < 1.0 makes tracking near-center faster.
HMD Yaw Exponent= »1.00000″ // Exponent to apply to yaw tracking.  > 1.0 makes tracking near-center slower, > 0 & < 1.0 makes tracking near-center faster.
HMD Roll Exponent= »1.00000″ // Exponent to apply to roll tracking.  > 1.0 makes tracking near-center slower, > 0 & < 1.0 makes tracking near-center faster.
HMD Left/Right Range= »0.15000″ // Range to apply to left/right tracking or camera controls (0.5 = max, -0.5 = reversed max)
HMD Up/Down Range= »0.15000″ // Range to apply to up/down tracking or camera controls (0.5 = max, -0.5 = reversed max)
HMD Fore/Aft Range= »0.15000″ // Range to apply to fore/aft tracking or camera controls (0.5 = max, -0.5 = reversed max)
Freelook Mouse Pitch Speed= »0.00400″ // Freelook pitch speed when using mouse.
Freelook Mouse Yaw Speed= »0.00400″ // Freelook yaw speed when using mouse.
Freelook Keyboard Pitch Speed= »1.50000″ // Freelook pitch speed when using keyboard.
Freelook Keyboard Pitch Accel= »4.00000″ // Freelook pitch acceleration when using keyboard.
Freelook Keyboard Pitch Decel= »4.00000″ // Freelook pitch deceleration when using keyboard.
Freelook Keyboard Yaw Speed= »1.50000″ // Freelook yaw speed when using keyboard.
Freelook Keyboard Yaw Accel= »4.00000″ // Freelook Yaw acceleration when using keyboard.
Freelook Keyboard Yaw Decel= »4.00000″ // Freelook Yaw deceleration when using keyboard.
Freemove Forward Speed= »2.00000″ // Freemove Forward speed.
Freemove Down Speed= »2.00000″ // Freemove Down speed.
Freemove Right Speed= »2.00000″ // Freemove Right speed.

[ Joystick ]
Axis [00, 00] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 X
Axis [00, 00] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 00] Center= »0.50000″ // 0.0=min, 0.5=center, 1.0=max (use to correct centering or split-axis issues)
Axis [00, 01] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 Y
Axis [00, 01] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 01] Center= »1.00000″
Axis [00, 02] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 Z
Axis [00, 02] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 02] Center= »0.50000″
Axis [00, 03] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 RX
Axis [00, 03] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 03] Center= »0.50000″
Axis [00, 04] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 RY
Axis [00, 04] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 04] Center= »0.50000″
Axis [00, 05] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 RZ
Axis [00, 05] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 05] Center= »1.00000″
Axis [00, 06] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 S0
Axis [00, 06] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 06] Center= »0.50000″
Axis [00, 07] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 1 S1
Axis [00, 07] Sensitivity= »0.50345″
Axis [00, 07] Center= »1.00000″
Axis [01, 00] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 X
Axis [01, 00] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 00] Center= »0.50000″ // 0.0=min, 0.5=center, 1.0=max (use to correct centering or split-axis issues)
Axis [01, 01] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 Y
Axis [01, 01] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 01] Center= »0.50000″
Axis [01, 02] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 Z
Axis [01, 02] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 02] Center= »0.50000″
Axis [01, 03] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 RX
Axis [01, 03] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 03] Center= »0.50000″
Axis [01, 04] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 RY
Axis [01, 04] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 04] Center= »0.50000″
Axis [01, 05] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 RZ
Axis [01, 05] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 05] Center= »0.50000″
Axis [01, 06] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 S0
Axis [01, 06] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 06] Center= »0.50000″
Axis [01, 07] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 2 S1
Axis [01, 07] Sensitivity= »0.50345″
Axis [01, 07] Center= »0.50000″
Axis [02, 00] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 X
Axis [02, 00] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 00] Center= »0.50000″ // 0.0=min, 0.5=center, 1.0=max (use to correct centering or split-axis issues)
Axis [02, 01] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 Y
Axis [02, 01] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 01] Center= »0.50000″
Axis [02, 02] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 Z
Axis [02, 02] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 02] Center= »0.50000″
Axis [02, 03] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 RX
Axis [02, 03] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 03] Center= »0.50000″
Axis [02, 04] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 RY
Axis [02, 04] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 04] Center= »0.50000″
Axis [02, 05] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 RZ
Axis [02, 05] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 05] Center= »0.50000″
Axis [02, 06] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 S0
Axis [02, 06] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 06] Center= »0.50000″
Axis [02, 07] Dead Zone= »0.00000″ // Controller 3 S1
Axis [02, 07] Sensitivity= »0.50000″
Axis [02, 07] Center= »0.50000″

[ Input ]
Control – Accelerate= »(1, 4) »
Control – Brake= »(1, 12) »
Control – Steer Left= »(1, 2) »
Control – Steer Right= »(1, 1) »
Control – Shift Up= »(1, 17) »
Control – Shift Down= »(1, 18) »
Control – Neutral= »(0, 89) »
Control – Reverse Gear= »(0, 89) »
Control – First Gear= »(1, 21) »
Control – Second Gear= »(1, 22) »
Control – Third Gear= »(1, 23) »
Control – Fourth Gear= »(1, 24) »
Control – Fifth Gear= »(1, 25) »
Control – Sixth Gear= »(1, 26) »
Control – Seventh Gear= »(0, 89) »
Control – Clutch In= »(1, 105) »
Control – Toggle AI Control= »(0, 23) »
Control – Driver Hot Swap= »(0, 17) »
Control – Passenger Select= »(0, 25) »
Control – Display Mode= »(1, 28) »
Control – Pit Request= »(1, 13) »
Control – Pit Menu Up= »(1, 70) »
Control – Pit Menu Down= »(1, 72) »
Control – Pit Menu Inc= »(1, 71) »
Control – Pit Menu Dec= »(1, 73) »
Control – TCOverride= »(0, 89) »
Control – Launch Control= »(0, 53) »
Control – Speed Limiter= »(1, 16) »
Control – Bias Forward= »(0, 89) »
Control – Bias Rearward= »(0, 27) »
Control – Increment Boost= »(0, 89) »
Control – Decrement Boost= »(0, 89) »
Control – Temporary Boost= »(0, 89) »
Control – Look Left= »(1, 20) »
Control – Look Right= »(1, 19) »
Control – Rear Look= »(0, 89) »
Control – Instant Replay= »(0, 19) »
Control – Pause= »(0, 25) »
Control – Restart Race= »(0, 21) »
Control – Toggle Free Move= »(0, 22) »
Control – Zero Free Move= »(0, 89) »
Control – Display Vehicle Labels= »(0, 15) »
Control – Ignition= »(0, 89) »
Control – Starter= »(0, 89) »
Control – Horn= »(0, 89) »
Control – Headlights= »(0, 44) »
Control – Handbrake= »(0, 89) »
Control – Look Up= »(0, 89) »
Control – Look Down= »(0, 89) »
Control – Look Roll Left= »(0, 89) »
Control – Look Roll Right= »(0, 89) »
Control – Adjust Seat Fore= »(0, 24) »
Control – Adjust Seat Aft= »(0, 38) »
Control – Adjust Seat Up= »(0, 26) »
Control – Adjust Seat Down= »(0, 40) »
Control – Screenshot= »(0, 88) »
Control – Time Acceleration= »(0, 89) »
Control – Steering Help= »(0, 59) »
Control – Opposite Lock= »(0, 60) »
Control – Braking Help= »(0, 61) »
Control – Stability Control= »(0, 62) »
Control – Spin Recovery= »(0, 63) »
Control – Invulnerability= »(0, 64) »
Control – Auto Shifting= »(0, 65) »
Control – Traction Control= »(0, 66) »
Control – Anti-lock Brakes= »(0, 67) »
Control – Auto Pit Lane= »(0, 68) »
Control – Auto Clutch= »(0, 87) »
Control – Toggle Mirror= »(0, 4) »
Control – Toggle HUD Stats Bar= »(0, 5) »
Control – Toggle HUD Tachometer= »(0, 6) »
Control – Cycle HUD MFDs= »(0, 7) »
Control – Toggle Overlays= »(0, 8) »
Control – Realtime Chat= »(0, 20) »
Control – Quick Chat #1= »(0, 34) »
Control – Quick Chat #2= »(0, 35) »
Control – Quick Chat #3= »(0, 36) »
Control – Quick Chat #4= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #5= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #6= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #7= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #8= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #9= »(0, 89) »
Control – Quick Chat #10= »(0, 2) »
Control – Quick Chat #11= »(0, 3) »
Control – Quick Chat #12= »(0, 13) »
Control – External Signal Up= »(0, 89) »
Control – External Signal Down= »(0, 89) »
Control – External Signal Left= »(0, 89) »
Control – External Signal Right= »(0, 89) »
Control – External Signal Select= »(0, 89) »
Control – External Signal Cancel= »(0, 89) »
Control – View Next Vehicle= »(0, 78) »
Control – View Previous Vehicle= »(0, 74) »
Control – View Original Vehicle= »(0, 156) »
Control – Driving Cameras= »(0, 210) »
Control – Onboard Cameras= »(0, 199) »
Control – Swingman Camera= »(0, 201) »
Control – Spectator Cameras= »(0, 207) »
Control – Tracking Cameras= »(0, 209) »
Control – Swingman Up= »(0, 72) »
Control – Swingman Down= »(0, 80) »
Control – Swingman Left= »(0, 75) »
Control – Swingman Right= »(0, 77) »
Control – Swingman Zoom In= »(0, 73) »
Control – Swingman Zoom Out= »(0, 71) »
Control – Swingman Reset= »(0, 76) »
Control – Camera Slow Move= »(0, 89) »
Control – Camera Move Forward= »(0, 89) »
Control – Camera Move Backward= »(0, 89) »
Control – Camera Move Left= »(0, 89) »
Control – Camera Move Right= »(0, 89) »
Control – Camera Move Up= »(0, 89) »
Control – Camera Move Down= »(0, 89) »
Control – Camera Tilt Up= »(0, 89) »
Control – Camera Tilt Down= »(0, 89) »
Control – Camera Tilt Left= »(0, 89) »
Control – Camera Tilt Right= »(0, 89) »
Control – Camera Turn Left= »(0, 89) »
Control – Camera Turn Right= »(0, 89) »
Control – Camera Zoom In= »(0, 89) »
Control – Camera Zoom Out= »(0, 89) »
Control – Toggle use of hardware plugins= »(0, 89) »
Control – Push To Talk Control for Voice Chat= »(0, 89) »
Control – Push To change camera view= »(0, 89) »
Control – Reset Force Feedback= »(0, 16) »
Control – Standard Display= »(0, 89) »
Control – Pit Display= »(0, 89) »
Control – Vehicle Status= »(0, 89) »
Control – Driving Aids= »(0, 89) »
Control – Extra Info= »(0, 89) »
Control – Race Info= »(0, 89) »
Control – Standings Display= »(0, 89) »

[ Force Feedback ]
FFB Device Type= »1″ // Type of FFB controller: 0=none 1=wheel, 2=stick/custom, 3=rumble pad.
FFB Effects Level= »4″ // Number of FFB effects to use: 0=No Effects, 1=Low, 2=Medium, 3=High, 4=Full, 5=Custom.
FFB Gain= »1.00000″ // Strength of Force Feedback effects. Range 0.0 to 1.0.
FFB Ignore Controllers= »0″ // Do not use FFB on: 1=controller1, 2=controller2, 4=controller3 (or add values to ignore multiple controllers)
FFB Throttle FX on steer axis= »1″ // 0 = Throttle effects on throttle axis, 1 = throttle effects on steering axis.
FFB Brake FX on steer axis= »1″ // 0 = Brake effects on brake axis, 1 = brake effects on steering axis.
FFB steer vibe freq mult= »0.07000″ // Controls frequency of steering vibration. Recommended: 0.5 to 1.0, 0.0 disables steering vibration.
FFB steer vibe zero magnitude= »0.03500″ // Magnitude of steering vibration at 0mph (reference point).
FFB steer vibe slope= »0.00000″ // Slope of line defining magnitude as a function of frequency (used with FFB steer vibe zero magnitude).
FFB steer vibe wave type= »0″ // Type of wave to use for vibe: 0=Sine, 1=Square, 2=Triangle, 3=Sawtooth up, 4=Sawtooth down.
FFB steer force prediction= »0.00100″ // Time into the future that force is predicted, to help counteract wheel latency (0.0 to disable)
FFB steer force max change= »100.00000″ // Maximum change per second based on current difference between calculated and applied force, to help avoid jerky behavior (values under 15 or so should reduce jerkiness, 100 disables)
FFB steer force neutral range= »0.00000″ // Max distance from center « neutral force » location where forces are reduced to help avoid oscillation (0.0 to disable)
FFB steer force neutral function= »0.00000″ // Function to apply near neutral force location, in order to tune out FFB « deadzone » but keeping oscillations in check: 0.0=original, 1.0=new
FFB steer force exponent= »0.6700″ // Steering force output « sensitivity ». Range 0.0 to infinity. 0.0 to 1.0 = higher sensitivity, greater than 1.0 = lower sensitivity.
FFB steer force input max= »-11700.00000″ // Recommended: 11500 (-11500 if controller pulls in the wrong direction).
FFB steer force output max= »1.4400″ // Maximum force output of steering force, recommendation 0.8 to 2.0
FFB steer force grip function= »0.78000″ // Range 0.0 to 1.0 (previous hardcoded value was 1.0) – lower values will make steering force decrease LATER as front tire grip is lost – try 0.3
FFB steer force grip weight= »0.4900″ // Range 0.0 to 1.0, recommended: 0.4 to 0.9. How much weight is given to tire grip when calculating steering force.
FFB steer force grip factor= »0.6100″ // Range 0.0 to 1.0, recommended: 0.2 to 0.6. How much of a factor the front wheel grip is on the steering weight.
FFB steer front grip fract= »0.5000000″ // Range 0.0 to 1.0 (previous hardcoded value was 0.0), additional effect of front grip loss on steering force
FFB steer update threshold= »0.00000″ // Amount of change required to update steer force/vibe (0.0 – 1.0). Lower values = steering force updated more frequently = lower frame rate.
FFB steer friction coefficient= »0.5500″ // Coefficient to use for steering friction. Range: -1.0 to 1.0
FFB steer friction saturation= »0.900000″ // Saturation value to use for steering friction. Range: 0 – 1.0
FFB steer damper coefficient= »0.5500″ // Coefficient to use for steering damper. Range: -1.0 to 1.0
FFB steer damper saturation= »0.90000″ // Saturation value to use for steering damper. Range: 0 – 1.0
FFB throttle vibe freq mult= »0.00000″ // Scales actual engine frequency to force FFB vibration frequency. Suggested range: 0.10 to 0.50
FFB throttle vibe zero magnitude= »0.00000″ // Magnitude of engine vibration at 0rpm (reference point).
FFB throttle vibe slope= »0.00000″ // Slope of line defining magnitude as a function of frequency (used with FFB throttle vibe zero magnitude).
FFB throttle vibe wave type= »0″ // Type of wave to use for vibe: 0=Sine, 1=Square, 2=Triangle, 3=Sawtooth up, 4=Sawtooth down.
FFB throttle vibe update thresh= »0.06000″ // Amount of change required to update throttle vibe (0.0 – 1.0)
FFB brake vibe freq mult= »0.90000″ // Scales actual brake rotational frequency to force feedback vibration frequency.
FFB brake vibe zero magnitude= »0.13000″ // Magnitude of brake vibration at 0mph (reference point).
FFB brake vibe slope= »0.00000″ // Slope of line defining magnitude as a function of frequency (used with FFB brake vibe zero magnitude).
FFB brake vibe wave type= »0″ // Type of wave to use for vibe: 0=Sine, 1=Square, 2=Triangle, 3=Sawtooth up, 4=Sawtooth down.
FFB brake vibe update thresh= »0.02000″ // Amount of change required to update brake vibe (0.0 to 1.0)
FFB rumble strip magnitude= »0.30000″ // How strong the rumble strip rumble is. Range 0.0 to 1.0, 0.0 disables effect.
FFB rumble strip freq mult= »0.55000″ // Rumble stip frequency multiplier 1.0 = one rumble per wheel rev.
FFB rumble strip wave type= »0″ // Type of wave to use for vibe: 0=Sine, 1=Square, 2=Triangle, 3=Sawtooth up, 4=Sawtooth down.
FFB rumble strip pull factor= »-1.00000″ // How strongly wheel pulls right/left when running over a rumble strip. Suggested range: -1.5 to 1.5.
FFB rumble strip update thresh= »0.07500″ // Amount of change required to update rumble strip effect (0.0 – 1.0)
FFB jolt magnitude= »1.60000″ // How strong jolts from other cars (or walls) are. Suggested Range: -2.0 to 2.0
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[Sports 2000]
MaxForceAtSteeringRack=-2200.000000
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SmoothingLevel=0

[Grand Touring 2000]
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SteeringDamper=11500.000000
FFBMixerRealFeelPercent=100.000000
SmoothingLevel=0

[Grand Touring 5000]
MaxForceAtSteeringRack=5500.000000
SteeringDamper=11500.000000
FFBMixerRealFeelPercent=100.000000
SmoothingLevel=0

[Prototype 3000]
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SteeringDamper=11500.000000
FFBMixerRealFeelPercent=100.000000
SmoothingLevel=0

[Sports 5000]
MaxForceAtSteeringRack=-2500.000000
SteeringDamper=11500.000000
FFBMixerRealFeelPercent=100.000000
SmoothingLevel=0

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Télémétrie sur iRacing : du nouveau avec iSpeed !

Avec la toute dernière version de iRacing qui vient de sortir (une mise à jour toutes les 13 semaines : au menu de la dernière en date : Mosport, Corvette C6R, Dallara Indycar, Sessions privées, poussières et fumées et autres bricoles…) les bonnes surprises ont aussi cotoyé les mauvaises : pas mal de bugs qui obligea à des corrections de dernières minutes (inhabituel avec iRacing) ainsi qu’à des serveurs en maintenance au mauvais moment (Olivier Doit peut en parler lui qui voulait organiser le premier Open Français sur iRacing lundi soir et qui est justement tombé au moment où certains serveurs étaient indisponibles).

Dans le camp des mauvaises, il faut également signaler le fait que l’excellent plug-in HUD de Stéphane Turpin se retrouvait banni (et rendait l’application inaccessible si vous vous tentiez de garder la DLL incriminée dans votre répertoire)… Une grosse lacune et un grand retour en arrière pour beaucoup de pilotes qui s’étaient habitués aux informations affichées par le plug-in de Stéphane : split-times entre autres.

Heureusement, Pete Ness (fondateur de Nessoft je suppose) a décidé de combler ce vide en procédant autrement que Stéphane pour éviter que son programme soit rejetté à son tour par le staff iRacing (David Kaemmer a expliqué que le plug-in de Stéphane pouvait être utilisé par des tricheurs mais ça demande tout de même beaucoup de maitrise technique….) et propose à son tour iSpeed qu’on peut télécharger (gratuitement) ici http://www.nessoft.com/ispeed/

P1090131

Ici, on voit bien comment j'ai aménagé le second moniteur à gauche de mon grand écran principal...

Le fait est que ce programme est simple et utile : il affiche les informations essentielles et permet de comprendre où l’on perd du temps. Il s’agit d’une télémétrie élémentaire et temps réelle (faite pour être consultée « au fil de l’eau » et non pour analyse post-session). Un seul inconvénient : pendant que iSpeed fonctionne, mon SimCom Motion lui ne fonctionne pas…
Cela s’explique facilement : les deux programmes s’adressent au même port logiciel. Du coup, le premier qui s’y connecte le verrouille et l’autre ne peut y accéder… Il faut donc choisir : c’est l’un ou l’autre !

Les informations affichées par iSpeed

Les informations affichées par iSpeed

Bientôt, je vais pouvoir vous proposer un test d’un nouveau mod pour le G25 de Logitech : une pédale de frein avec capteur de pression !

Voir à http://www.apelectrix.com/index.html

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L’intox sur le 9/11 en France… Jusqu’à quand autant de mauvaise foi ?

Voici un billet trouvé sur le blog « le futur quantique » qui résume la dernière opération des médias pour décribiliser ceux qui contestent la version officielle du 9/11… Le problème avec ces opérations, c’est qu’elles apparaissent de plus en plus pour ce qu’elles sont : des contre-feux pour masquer la vérité.

Je vous laisse apprécier à Intox sur France 2 : Bigard et Kassovitz face à de « soi-disant » journalistes

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Bilan de la saison 2009/3 sur iRacing…

Sur iRacing les saisons se disputent sur 12 semaines… La 3ème saison de l’année 2009 vient de se terminer et il est temps d’en faire un petit bilan avant d’attaquer la prochaine.

Lors de la saison 2009/2, j’avais consacré mon temps à la série dédiée à la Riley Daytona Prototype avec des résultats corrects pour mon niveau (voir le billet à ce propos à http://www.alain-lefebvre.com/sim-racing/iracing-2009-saison-2-bilan-personnel/) mais j’ai vite changé mes plans : je n’ai disputé que la course d’ouverture (à Daytona justement) de la saison en DP pour constater que la grille de départ était « squattée » par les pros et que, dans ce contexte, je n’avais aucune chance de bien figurer (si c’était pour refaire les mêmes résultats que lors de la saison II, pas la peine… Je veux pouvoir progresser d’une saison à l’autre).

J’avais aussi prévu de faire la série qui est consacrée à la Lotus 79 mais, là aussi, déception d’entrée de jeu : je n’ai couru que la manche d’ouverture à Sebring où je me suis fait jeter deux fois de suite par des adversaires au comportement douteux… Si la Lotus est le refuge des dingues, je leur laisse abimer leur SR sans moi (évidemment, j’exagère, il y a des pilotes fair play comme ailleurs dans la série en Lotus mais cette manche d’ouverture m’a bien dégoûté et « chat échaudé craint l’eau froide »…).

Bref, j’ai changé mes plans vite fait et je me suis réfugié dans la série Skip Barber. Je m’étais bien promis de ne plus toucher à cette petite monoplace à la tenue de route délicate mais la mise à jour de la saison 2009/3 de la simulation avait impacté (en bien) le comportement de la plupart des voitures, je me suis dit que cela pouvait être sympa d’y revenir.

J’ai aussi été séduit par la Jetta TDI et je me suis pris à disputer assiduement cette série là aussi. Cette voiture a été une surprise pour moi : je ne pouvais imaginer que cette berline diesel pouvait être aussi prenante à piloter en course, surtout dans des pelotons serrés et agités !
Mais le charme a joué et après avoir fait quelques courses « fun » lors de la semaine 13 à Road America, j’ai été convaincu. Donc, même avec une licence A, je redescendais dans les séries inférieures pour une saison (et pourquoi pas ?). Avantage : ses séries sont très disputées et donc, il y a toujours du monde dans les courses programmées.

Pendant cette saison, j’ai également fait quelques « piges » dans d’autres catégories comme la Star Mazda (second à Summit Raceway) et en Spec Racer Ford (premier à Summit Raceway, décidement !). J’ai pu ramener quelques podiums cette saison et ça fait plaisir (une seconde place à Sebring en Skip Barber qui m’a bien satisfait aussi). En revanche, je n’ai pu rentrer dans les trois premiers de ma division ni en Jetta TDI ni en Skip Barber.

Résultats bruts : 171ème sur 1164 en Jetta TDI et 234ème sur 1842 en Skip Barber… Bref, mon objectif est désormais de rentrer dans la tranche des « 10% » dans les séries que je dispute entièrement (quand je ne fais que des participations isolées, ça ne compte pas !). La tranche des 10% ça veut dire de finir dans les 100 premiers quand il y 1000 participants… Je n’en suis pas trop loin mais il y a encore de la route à faire !

Pour cette saison 2009/4, je vais sans doute me consacrer à la série dédié à la Corvette C6R en utilisant la base de réglages définie par Soheil mais je crois aussi que je vais faire quelques courses (au moins) avec la Dallara Indy… Je vous tiens au courant.

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LiveSim : le webzine du SimRacing… Le N°1 est disponible !

On connaissait déjà AutoSimSport qui est le principal webzine disponible sur le SimRacing. AutoSimSport est vraiment une excellente publication mais elle n’est disponible qu’en anglais… Désormais, il existe un webzine entièrement en français sur le sujet : LiveSim !

Le N°1 vient de sortir et vous pouvez aller le télécharger à http://www.live-sim.com/

J’ai contribué à ce premier numéro et je compte y tenir une chronique régulière.

live-sim

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Dans la série « on ne cache rien », quelques pépites en direct du BRGM…

Le BRGM (il s’agit du Bureau de recherches géologiques et minières, voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/Bureau_de_recherches_géologiques_et_minières) a l’amabilité de m’envoyer son magazine mensuel. Dans l’édition de juillet 2009, j’ai trouvé quelques informations intéressantes que je vous livre ici.

C’est ainsi que dans l’article « pétrole, gaz : pic ou plateau », on apprend que l’extraction du pétrole brut est assez peu performant… Seulement 32% du total enfoui est ramené à la surface. Donc, si vous avez un gisement de 100 000 tonnes (c’est un exemple), vous ne pourrez en extraire que 32 000 tonnes (au mieux). Quand on annonce qu’on a fait une nouvelle découverte formidable au large du brésil (c’est toujours un exemple), ayez en mémoire que seulement un petit tiers de cette « découverte sensationnelle » pourra un jour aboutir dans nos réservoirs…

Gardez espoir braves gens, les « experts » des compagnies pétrolières planchent dur sur des moyens d’optimiser cette extraction et donc de faire monter ces malheureux 32%… Ah, ça va mieux !
Pas si vite, à combien estime-t-on les gains possibles grâce à ces différents moyens d’optimisation (deux techniques en fait) ?
Ben… 5%. Ah, ça veut dire qu’on va passer d’un pauvre 32% à un royal 37% ?
Oui, c’est ça (mais seulement quand ces techniques « de pointe » seront utilisées ce qui n’est pas encore le cas), c’est cool non ?

On se demande à quoi sert la recherche dont on nous rabat les oreilles depuis des dizaines d’années si c’est pour n’être capable que de grignoter un misérable 5% au bout du compte ?

Attends, attends, c’est encore mieux du côté du nucléaire (où, là aussi la fameuse recherche est sensée accomplir des miracles) !
Dans l’article « l’uranium, quelles ressources pour demain ? » de ce numéro du BRGM , on apprend que les 440 réacteurs en activité dans le monde consomment 65 000 tonnes d’uranium par an… Mais, pas de chance, la production minière d’uranium elle plafonne à moins de 45 000 tonnes par an !
Mais alors, où trouve-t-on les 20 000 tonnes qui manquent ?
Ben dans les stocks militaires… Non ? Si !

Incroyable non ?
C’est là où on apprend que nos très sérieux militaires se sont goinffrés d’uranium pendant des années à ne plus savoir quoi en faire et où le stocker… Bon, c’est pas le plus grave mais ça fait désordre quand on parle avec angoisse de « pic pétrolier » de savoir que le « pic d’uranium » est sans doute déjà atteint et dépassé depuis des années !
Bon, certes, on trouve de l’uranium un peu partout y compris dans l’eau de mer mais il faut en brasser des m3 de flotte pour y trouver des minuscule microgrammes d’uranium !
C’est pas pour rien qu’on exploite des mines (où la concentration en minerais recherchés est déjà plus intéressantes). Moi qui croyait que l’énergie nucléaire nous rendait indépendant des ressources fossiles étrangères… On nous aurait menti ?

Toujours dans le domaine de nos chères centrales, on apprend dans le même article que nos centrales actuelles sont plutôt nulles en fait : elles consomment beaucoup d’uranium et produisent beaucoup de déchets qu’on ne sait pas recycler (contrairement à la propagande en vigueur et comme l’a bien démontré le documentaire récent qui est passé sur Arte, voir à http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/Dechets–le-cauchemar-du-nucleaire/2766888.html). L’auteur de l’article explique benoitement « … il faut passer des réacteurs à eau au réacteurs à neutrons rapides avec recyclage du combustible, les premiers n’utilisent qu’1% au mieux de l’uranium (essentiellement u235) au lieu de 80% pour les seconds (via la conversion de l’u238 en plutonium)… » (sources : encadré « l’évolution technologique pour les réacteurs nuéclaires de quatrième génération » par Franck Carré -CEA- direction de l’énergie nucléaire). Je n’invente rien : 1%, c’est Frank qui le dit (et à la direction du CEA, on imagine qu’il est bien placé pour le savoir…).

Attends Franck, ces réacteurs à neutrons rapides, c’est pas les fameux surgénérateurs comme superphénix (voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/Réacteur_à_neutrons_rapides) ?
Eh bien, ça promet !

Photo du 52697895-10- à 14.38

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J’interviens à la conférence Rézonance sur la valeur ajoutée des réseaux sociaux

300ème First : « Quelle est la valeur ajoutée des réseaux sociaux ? » – Jeudi 5 nov. FER Genève

Extrait de la présentation de la conférence par l’organisateur :
Plus d’un milliard de personnes ont ouvert un profil sur un réseau social !
Plus de 300 millions sur Facebook, plus d’un million sur Twitter entre autres. Et chaque mois, de nouvelles communautés en ligne sont créées. Aucune association, marque, organisation ou mouvement d’opinion n’est lancé sans avoir prévu une communauté. Avec quelle valeur ajoutée pour les entreprises et les individus ?

Le titre de mon intervention : Comprendre la nature réelle de Twitter (et Facebook) afin de l’utiliser efficacement dans un cadre marketing.

Pour s’inscrire, il faut aller sur cette page

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Un questionnaire pour mon livre sur l’histoire récente de l’informatique…

Dans le cadre de mon futur ouvrage sur le l’histoire récente de l’industie informatique, j’ai fait un appel à témoignage et j’anime le collectif ainsi rassemblé sur le forum du groupe « musée de l’informatique sur Facebook. Pour aider les contributeurs, j’ai eu l’idée d’un questionnaire afin de guider les contributions (j’ai déjà pratiqué ainsi pour mon livre sur le Simracing). Voici donc les questions que j’ai imaginé (mais j’espère bien que les contributeurs les plus zélés sauront aller au-delà de ce modeste questionnaire…) :

Pour toutes ces question le préfixe « selon vous » est toujours de rigueur !

Ici, on ne vous demande que votre avis, pas d’établir une vérité intangible… Donc, sentez-vous libre de répondre ce qui VOUS parait juste et non ce qui serait politiquement correct ou en ligne avec la « pensée unique »…

L’idéal dans vos réponses serait de ne pas simplement indiquer un nom d’acteur ou un événement mais aussi de développer un peu en expliquant le « pourquoi » de votre réponse (par exemple en précisant les circonstances de votre choix)… Mais une réponse courte et simple, ce sera déjà pas mal !

– quel est (ou quel a été) le rôle de la presse spécialisée IT dans l’évolution de l’informatique ?

suggestions : moyen de progresser techniquement, de se tenir informé, de trouver un job (grâce aux petites annonces), négatif car participe trop au « hype », etc.

– quel est votre perception de l’évolution de la presse spécialisée IT à travers les différentes ères et, éventuellement, comment a-t-elle évolué (votre perception) ?

suggestions : en perte de vitesse, toujours pareil, je lisais beaucoup cette presse il y a encore quelques années et plus du tout aujourd’hui car tout se passe désormais sur le web, etc.

– quel est, selon vous, le plus gros mensonge proféré par l’industrie informatique à travers les différentes ères ?

suggestions : le bureau « sans papier », la programmation visuelle, le développement facile (ou par objets ou autres), Java, l’IA, autres.

– quel est, selon vous, l’acteur le plus « nocif » de l’industrie ?

suggestions : SCO, Microsoft, IBM (pour ces deux derniers à cause de l’accusation récurrent « d’abus de position dominante »), autres.

– quel est (ou quel a été) l’acteur le plus innovant de l’industrie ?

suggestions : Apple, Google, Adobe, la communauté open source, autres.

– quelle a été l’innovation la plus marquante ?

suggestions : l’interface graphique, l’epaper, l’imprimante laser, autres.

– quelle a été la période la plus excitante ?

suggestions : la naissance de la micro-informatique, les L4G, l’essor du décisionnel, l’irruption de l’Internet, autres.

– quelle est (ou quelle a été) la plus forte constante dans cette industrie ?

suggestions : l’intertie des mentalités, la prédominance de la silicon valley, le poids des grands comptes, le caractère moutonnier du grand public, l’inertie technique, autres.

– quelle est (ou quelle a été) la plus grande variable dans cette industrie ?

suggestions : le nombre de bugs à la ligne de code, le prix d’un développeur à la journée selon les pays, la qualité des projets, la part de chance nécessaire à la réussite d’un projet, le niveau de compétence des directeurs informatique, le budget des grands comptes rapporté à leur CA, autres.

– quelle a été la plus grande réussite sur le plan technique ?

suggestions : Google Maps, l’iPhone, Mac OS, Linux, PHP, Cobol, les bases de données SQL, autres.

– quelle a été la plus grande réussite sur le plan business ?

suggestions : Microsoft, IBM, Google, Adobe, Salesforce.com, Dell, autres.

– quel a été le plus grand flop sur le plan technique ?

suggestions : Java, OS/2, l’IA, les systèmes d’exploitation orientés objet, Microsoft Vista, autres.

– quel a été le plus grand flop sur le plan business ?

suggestions : Computer Associates, Sun, SCO, Compaq, Novell, autres.

– quelle a été la personnalité la plus marquante dans cette industrie ?

suggestions : Bill Gates, Linus Torvald, John Von Neumann, Tim Berners-Lee, autres.

– quel a été le projet le plus intéressant de votre carrière ?

suggestions : pas de suggestion, c’est une question vraiment personnelle !

– quelle a été la crise la plus importante que vous ayez vécu ?

suggestions : l’éclatement de la bulle Internet (2001), la crise actuelle, autres.

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En plus des suggestions ci-avant, j’ai moi-même répondu à ces questions ci-après histoire de vous donner d’autres pistes ou de vous rappeler quelques souvenirs…

– quel est (ou quel a été) le rôle de la presse spécialisée IT dans l’évolution de l’informatique ?

Je ne sais pas si la presse a eu une influence sur l’industrie car elle a surtout joué le rôle de relais de propagande tout au long de son évolution (perdant une partie de sa crédibilité en ne filtrant pas assez le message marketing des acteurs… cette faiblesse a été particulièrement visible tout au long de « l’affaire Java » !). En revanche, l’influence de la presse sur la grande masse des professionnels était indéniable dans les années 70 et 80 car il n’y avait alors rien d’autre pour s’informer. L’opinion des informaticiens de l’époque était donc grande modelée par ce qui s’écrivait dans les colonnes d’hebdo comme O1 Informatique…

– quel est votre perception de l’évolution de la presse spécialisée IT à travers les différentes ères et, éventuellement, comment a-t-elle évolué (votre perception) ?

Au début de ma carrière, la presse spécialisée IT a joué un rôle énorme : c’est elle qui me permettait de progresser techniquement (un peu) mais surtout qui m’ouvrait des horizons en me faisant découvrir des secteurs ou des domaines que je ne connaissais pas du tout. En ce sens, elle jouait le rôle de formation professionnelle permanente. Du coup, je dévorais 01 et LMI à chaque fois que je pouvais mettre la main dessus. Dans le domaine de la micro, c’est Byte qui a « fait mon éducation initiale »…

Par la suite, la presse IT a aussi joué un grand rôle dans ma carrière mais autrement : c’est elle qui faisait la promotion (gratuite !) de nos études comparatives (réalisées par mon équipe à SQLI) et nous permettait à la fois de nous faire connaitre et d’en vendre un bon paquet. Enfin, les hebdomadaires et magazines du milieu m’ont aussi aidé à me faire connaitre car j’y collaborais via une chronique périodique où j’apparaissais même en photo. Bref, pour moi, la presse IT m’a fait un bien considérable.

Donc, pour moi, la presse spécialisée était un organe de référence indispensable, crédible et utile.

Mais, à partir de la fin des années 90, début des années 2000, je dois avouer que je me suis détourné de la presse papier pour m’orienter plutôt sur les titres qui publiaient sur le web, tant sur le plan lecture que pour la collaboration sous forme d’articles ou de chroniques. Du coup, ma perception de la presse spécialisée sur papier s’est un peu effacé : comme je ne la consulte plus, j’ai bien du mal à savoir comment elle a évolué (mais des signes comme la disparition de LMI ne me rende pas optimiste à son égard…).

– quel est, selon vous, le plus gros mensonge proféré par l’industrie informatique à travers les différentes ères ?

Tout d’abord, il faut dire que la propagande (le plus souvent mensongère, ça aussi il faut le dire) a été omniprésente tout au long des différentes ères de l’informatique !

Donc, on a vu des modes se succèder comme l’IA, le groupware, le bureau « sans papier », la programmation visuelle, le KM, le CRM (la liste serait longue !), etc.

Cependant, selon moi, c’est incontestablement Java qui a été au centre du plus gros mensonge de l’industrie lors de ces 50 dernières années (et les candidats étaient nombreux pour cette « récompense » !). Pourquoi Java ?

Parce que là, non seulement le mensonge était gros mais la propagande pour le faire passer a été énorme et touchait absolument tous les acteurs (c’est dur de se rendre compte de l’ampleur de ce phénomène quand on ne l’a pas vécu en direct). On peut mesurer l’ampleur du trucage en posant simplement cette question : des ambitions de départ -de Java, sensé être le langage universel capable de s’exécuter sur tout-, il est reste quoi aujourd’hui ?

La petitesse de la réponse se passe de commentaire (significatif : je n’arrive pas à avoir de débat sérieux avec les partisans -il en reste- de Java…).

– quel est, selon vous, l’acteur le plus « nocif » de l’industrie ?

Encore une question polémique (mais j’aime cela car on est pas là pour faire un livre où « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil »… Il faut de temps en temps dire la vérité sur un domaine, y compris quand il s’agit d’informatique) !

Aujourd’hui, quand on parle « d’abus de position dominante », on pense tout de suite à Microsoft (et, dans quelques années, ce sera peut-être au tour de Google ?) mais c’est oublié un peu vite qu’IBM a aussi un beau palmarès en la matière…

Au début de ma carrière, j’éprouvais une vrai détestation pour « big blue » car cette société symbolisait (selon moi) tout l’immobilisme dans le domaine technique contre lequel il fallait lutter, forcément. Avec le temps, j’ai appris à nuancer un peu mon opinion sur ce sujet en m’apercevant que n’importe quel acteur tente « l’abus de position dominante » dès qu’il le peut à son échelle. Ceci dit, la palme du plus « nocif » ira tout de même à SCO pour avoir tenté de s’approprier des contenus open source (mais cet acteur a été bien puni depuis… Comme quoi la justice immanente existe bien !).

– quel est (ou quel a été) l’acteur le plus innovant de l’industrie ?

Il ne faut pas se faire trop d’illusions sur le penchant à l’innovation des grands acteurs… Quand ils prennent le risque d’innover, c’est souvent avec une technologie qu’ils viennent juste de racheter car leur structure et leur mode de gestion étouffe la créativité de leurs propres équipes.

Ceci dit, je pense qu’Apple a sa place dans ce contexte après les précautions d’usage ci-avant (toujours dans ce cadre, il n’est pas absurde de citer Google). L’innovation d’Apple est surtout commerciale car la société invente peu mais sais utiliser les inventions des autres (comme dans le cas de l’imprimante laser).

Pour ce qui est de la vrai innovation technique, c’est plutôt au sein de la communauté open source qu’on la trouve, selon moi toujours.

– quelle a été l’innovation la plus marquante ?

Pour moi, c’est sans conteste l’interface graphique mais ça remonte déjà à quelques décennies !

Il faut se souvenir qu’au milieu des années 80, les débuts des premières interfaces graphiques ont été un vrai choc pour tous les témoins de l’époque… cela induisait un tel changement dans les usages, une telle facilité de manipulation par rapport à la très rustique interface caractère…

Plus proche d’aujourd’hui, je mettrais mon choix sur l’epaper dont les prolongements et les conséquences n’ont pas encore été clairement mesurées mais cette technologie va avoir un impact énorme, encore un fois sur les usages, permettant enfin aux « écrans » de sortir en pleine lumière (et ça n’est pas rien) !

– quelle a été la période la plus excitante ?

Je répond pour mon cas personnel (c’est le but de ce questionnaire) mais je dirais 1995-1997 quand le Web a fait irruption dans notre quotidien. En 1995, je cherchais la technologie qui permettrait de donner un second souffle au client-serveur qui, à ce moment-là, butait encore sur de très sérieuses limitations (en particulier sur le « mur du déploiement »). Certains pensaient qu’il fallait bifurquer vers le décisionnel (et cela a donné la mode du « datawarehouse » pour ceux qui s’en souviennent) mais j’ai vu que le Web était la voie à suivre et que l’horizon était radieux.

Je ne puis dire combien j’ai été enthousiasmé par cette perspective : là où la plupart des observateurs voyait le Web comme un média, j’y voyais une plate-forme de développement inédite, souple et particulièrement bien adaptée. Je dois avouer que j’ai vécu là les mois les plus intéressants de ma carrière professionnelle, un grand moment et un souvenir inoubliable !

– quelle est (ou quelle a été) la plus forte constante dans cette industrie ?

C’est clairement l’intertie des mentalités. La technologie change en permanence mais la plupart des gens continue de penser selon les schémas d’hier (ce n’est pas propre à la technologie d’ailleurs, on retrouve ce décalage dans tous les secteurs de la vie moderne…).

– quelle est (ou quelle a été) la plus grande variable dans cette industrie ?

Là aussi, c’est clairement le niveau de compétence des directeurs informatique. Pour certains, on se demande ce qu’ils font dans cette profession alors que d’autres sont effectivement au top de leur métier. D’une façon générale, j’ai plutôt été souvent déçu par cette classe de managers, trop conformistes et moutonniers pour être à la hauteur des enjeux (mais, là comme ailleurs, on trouve de brillantes exceptions).

– quelle a été la plus grande réussite sur le plan technique ?

Dans mon panthéon personnel, je réserve la place de choix pour les bases de données SQL mais j’y accepte aussi PHP et Linux (mets-y la plate-forme LAMP pendant que tu y es !).

– quelle a été la plus grande réussite sur le plan business ?

Selon moi, la récompense doit aller à Salesforce.com qui a été le premier a faire vraiment du business avec le concept SAS et ce n’est pas rien. Mais à une certaine époque, ce qu’avait accompli Dell n’était pas mal non plus…

– quel a été le plus grand flop sur le plan technique ?

On a déjà évoqué Java alors concentrons-nous sur un cas plus récent : Vista.

Je dois dire que j’ai été vraiment surpris que Microsoft puisse se planter aussi profond sur Vista. C’est pour moi le signe que quelque chose à vraiment changé à Redmond et ça n’augure rien de bon pour la suite…

– quel a été le plus grand flop sur le plan business ?

Pour les plus jeunes, le nom de Computer Associates ne va pas dire grand chose mais pour les « vieux », ça parle !

Il faut se rappeler que CA est le tout premier éditeur de logiciel a avoir franchi la barre du Milliard de Dollars de chiffre d’affaires, ça n’était pas rien (bien avant Microsoft ou Oracle). Et puis, la vérité a éclaté, CA était un « Enron du logiciel » : le succès apparent de CA reposait sur des montages douteux et le président s’est retrouvé en prison (une affaire « Enron » avant la lettre donc mais de moindre ampleur tout de même).

– quelle a été la personnalité la plus marquante dans cette industrie ?

J’ai un faible pour Linus Torvald mais je désigne tout de même Tim Berners-Lee (l’inventeur du Web avec Robert Cailliau) car il a su maintenir sa conception à base de liens faibles du web là où tous les spécialistes de l’hypertexte de l’époque (début des années 90) préconisaient des liens forts et c’est la justesse de sa vision qui a donné l’incroyable infrastructure que nous utilisons tous aujourd’hui…

– quel a été le projet le plus intéressant de votre carrière ?

Sans conteste quand nous avons nos premiers tests qui ont débouché sur nos études comparatives (1992/1993) sur le fonctionnement client-serveur et les outils de développement graphiques. A ce moment-là, rien n’existait de concret (et encore moins de chiffré !) sur le mode de fonctionnement client-serveur et nous avions vraiment l’impression d’explorer une terre inconnue, c’était exaltant. Faire ainsi de la « recherche appliquée » pouvait paraitre être un caprice de technicien mais nous avons su en rentabiliser largement les résultats par la suite…

– quelle a été la crise la plus importante que vous ayez vécu ?

Les crises sont récurrentes dans le monde de l’informatique. Les SSII en éprouvent une tous les cinq ans environ. Je me souviens surtout de celle de 1985 où l’industrie de ma micro-informatique a connu sa première « correction sévère » et où les ventes se sont brusquement repliées après des années de croissances continues.

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SimRacing : test de « Race On » (SimBin), une vraie bonne surprise !

Mon activité de compétition en Simracing est surtout centrée sur iRacing où je dispute des courses saison après saison. En ce moment, la saison 3 de 2009 est presque terminée (encore deux semaines) mais j’ai envie de changer d’air comme ça m’arrive de temps en temps. Pourtant, je n’ai pas à me plaindre de mes résultats pour cette saison 3/2009 car j’ai réussi à signer une victoire (à Summit Point Raceway en Spec Racer Ford) et aussi quelques podiums (2 seconde places : une à Sebring en Skip Barber et une à Summit Point Raceway en Formula Mazda).

Mais bon, je sature un peu sur iracing et je veux profiter des deux semaines qui restent pour essayer autre chose. Justement, c’est pile le moment où SimBin décide de sortir enfin Race On… Je savais d’avance que Race On n’est pas une simulation entièrement nouvelle mais plus un add-on qui vient enrichir Race07 comme SimBin en sort depuis maintenant 2 ans et je constate que les appréciations des sites sont plutôt sévères avec cette démarche (voir la revue faite par Gear Competition àhttp://www.gearcompetition.com/tutorial/tests/362-race-on-la-preview.html).

C’est donc sans grandes illusion que je suis passé par Steam pour acheter ma version de Race On. Je me suis dit pour justifier cette dépense que « dans ma position, je ne pouvais pas ne pas savoir de quoi il en retourne » (ma position = l’auteur du livre sur le Simracing… Ben vi, faut bien que je me tienne au courant en vue de la prochaine édition du livre, même si c’est pas pour tout de suite). Bref, j’aime pas Steam mais au moins, le jeu est installé et opérationnel rapidement à condition d’avoir une bonne connexion.

J’ai également mis à jour mon driver Frex afin que mon SimCom Motion soit reconnu par cette nouvelle version de la simulation de SimBin. Et puis, en m’efforçant de ne pas me faire d’illusion, je lance ce nouveau titre. Pas de surprise, l’interface n’a pas changé (et pourquoi aurait-elle changé ? elle était déjà bonne et Race On n’est qu’un add-on, rappel). Je vais directement à Laguna Seca pour tester les « Muscle Cars » et… Bof. Bon, le circuit est bien reproduit (pas grand chose à envier à celui présent dans iRacing) mais ces voitures ne m’excitent pas vraiment. Oui, si on est fan de « Power Sliding », c’est vrai que c’est agréable de faire danser ces grosses caisses rustiques d’un virage à l’autre… Mais côté efficacité, zéro !

Bon, c’est pas vraiment ma vision  du sport-auto mais pourquoi pas, il en faut pour tous les goût, n’est-ce pas ?

Je saute la case WTCC car, vraiment, je n’apprécie pas ces voitures et je vais voir les nouvelles monoplaces, les Formula Master. Déjà, je ne savais pas à quoi correspondait cette catégorie mais wikipedia m’a renseigné (oui, j’avoue, en matière de sport-auto moderne, j’ai des lacunes mais il y a tellement de catégories désormais !) et maintenant je sais : les Formula Master sont, grosso-modo des F3 monotypes qui court en même temps que les WTCC (pour en savoir plus, voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/International_Formula_Master). Donc, j’en prend une et je désigne le tracé de Road America pour la tester (encore un tracé que je connais bien car il est incontournable sur iRacing et il me réussit habituellement assez bien).

Et là, la claque !
Vraiment, je ne m’y attendais pas car, normallement, je n’aime pas les monoplaces modernes qui sont rivées au sol grâce à des appuis de folie. C’est donc à reculons que je faisais ce test,  je pensais faire juste quelques tours et ciao messieurs-dames !
Ben non, je suis resté accroché au volant de cette monoplace comme jamais… C’est simple, c’est la première fois que je ressens autant les forces G dans mon SimCom !

Bien entendu, c’est l’immersion qui créé l’illusion car même si le SimCom Motion remue bien, on reste loin, très loin des vraies forces G qu’on ressent à bord d’une vraie voiture de course, encore plus quand il s’agit d’une monoplace (et pire quand c’est une monoplace moderne, légére et avec beaucoup d’appuis comme c’est le cas ici…). Mais, foin de réalisme, c’est le ressentit qui compte ici et là, je me suis régalé, parole. L’impression de vitesse est très forte et l’immersion vraiment réussit.

Pourquoi et pourquoi avec cette voiture en particulier ?
Honnêtement, je ne sais pas le dire mais je suis resté sous le choc !

Du coup, j’ai même participé à une course online en partant du lobby de Race On (toujours à Road America et avec les Formula Master, évidemment). Il y a avait du monde car nous étions 25 sur la grille de départ et je m’étais qualifié 10ème (avec un temps de 2.06.4, la pôle était en 2.04). J’utilise le setup de base à peine modifié mais je trouve que la voiture est très facile à emmener ainsi alors pourquoi bidouiller ?
Je prend un départ moyen mais j’évite les vracs des premiers tours ci-fait que je me retrouve rapidement 3ème puis second. Le premier navigue entre 1,5 et 2,5 secondes devant moi mais il est très régulier et ne commet pas de fautes et la course se termine ainsi (le 3ème était aussi proche mais il s’est fait distancé dans les deux derniers tours). J’ai pris un pied incroyable lors de cette course et mon meilleur temps est tombé dans les  2.05.

Une Formula Master dans un beau travers !

Une Formula Master dans un beau travers !

Et c’est très excité que je m’aligne pour la seconde manche : là encore, départ très moyen mais je suis déjà 4ème à la fin du premier tour. Même si j’ai eu quelques échanges avec certaines concurrents, j’ai moins de réussite que pour la première manche et je termine à ce niveau : 4ème (du coup, je suis 3ème au classement des deux manches). J’ai adoré sans restriction et cet add-on est donc pour moi une énorme surprise !

Je n’aurais certainement pas parié que j’allais devenir fan des Formula Master façon SimBin mais je vous dois de reporter les choses comme je les ai ressentis quand je vous parle de SimRacing. Je ne suis pas en train d’écrire que, tout d’un coup, je m’étais rendu-compte que Race On était la simulation du siècle (et pourquoi ne pas l’avoir réalisé en testant Race07 puis GTR-EVO ?) mais je crois que l’achat de Race On se justifie au moins pour les deux circuits américains (très réussis, il faut le dire) et surtout pour ces formula master qui sont diablement envoutantes.

Moi qui suis habitué aux tarifs d’iRacing, je ne trouve pas que la politique de SimBin soit abusive car le contenu est de qualité (je préfére des add-ons qui permettent d’augmenter la durée de vie d’une simulation car, ainsi, l’éditeur est motivé à en corriger les défauts et les bugs aussi au fur et à mesure… C’est mieux qu’un titre complétément nouveau mais à la finition laissant à désirer). Après, c’est à chacun de juger et je ne peux pas vous promettre que vous aller ressentir la même chose que moi en essayant ces nouvelles monoplaces (alors que, peut-être, vous allez adorer ces « muscle cars » pataudes mais joueuses). C’est ici la limite d’un test d’une simulation : tout est dans le ressentit et c’est une notion hautement subjective.

Je ne vais sans doute pas faire tout un championnat dessus (faudrait que ma ligue en organise un déjà et ma priorité reste de progresser sur iRacing) mais s’il y a une course open inter-ligues d’organisée sur ces monoplaces, j’en serais, c’est sûr !

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Une administration française qui devient de plus en plus hostile…

L’administration française est en train de devenir hostile pour ses administrés (ne dit-on pas « assujetis »… tout un programme !). Faire renouveller un passeport ou en faire établir un pour ses enfants est une galère épouvantable que ma femme vient de vivre, j’en témoigne !
Mais jusqu’où ira cette montée de l’absurde ?

Et il semble bien que ce soit une tendance générale comme en témoigne ce qui est arrivée à Tatiana De Rosnay, une histoire rapportée par Rue89 à « Tatiana de Rosnay rejoint les radiés de la Nation« … Edifiant et effrayant !

Publié dans La terrible vérité | Un commentaire

On est malheureux « parce qu’on est con » dixit Kamini

Le nouveau clip de Kamini va droit au but : c’est « parce qu’on est con » que le monde est comme il est et nous, malheureux (bien fait !).

J’adore ce que fait Kamini parce que non seulement c’est drôle mais en plus, c’est très juste… Je vous laisse apprécier son argumentation qui est simple mais percutante :

Publié dans Ch'es grôle ! | 4 commentaires

Sommaire provisoire de mon livre sur l’histoire de l’informatique…

Je relance mon projet de livre sur l’histoire récente (1960-2010) de l’informatique (voir le premier billet sur le projet à http://www.alain-lefebvre.com/ce-blog/premiere-version-de-lintroduction-et-du-prologue-de-mon-nouvel-ouvrage-histoire-critique-de-linformatique-moderne/).

Voici donc le sommaire -provisoire car va évoluer avec les propositions et réactions des contributeurs potentiels- que j’ai prévu :

titre (provisoire lui aussi) : Histoire critique de l’informatique moderne

Introduction :
Quand commence l’informatique moderne ?
Peut-on identifier des tendances récurrentes dans son évolution ?

Première ére : les constructeurs
L’informatique moderne débute avec la naissance de l’industrie informatique
L’ère du matériel, des mainframes aux PC
De l’intégration verticale aux composants standards
Le logiciel sous forme de service, naissance des SSII
Une vague oubliée : la mini-informatique, une évolution qui annonçait les autres
Un changement raté : l’évolution de l’interface utilisateur, remise à plus tard

Seconde ére : les éditeurs
L’élargissement du marché marginalise le « house programing »
Le PC transforme le contexte : émergence d’un marché de masse
Les deux évolutions qui changent le contexte : le modèle client-serveur et l’interface graphique
La bascule du marché vers les progiciels (aidée par le « bug de l’an 2000 »)
L’apparition de nouveaux domaines applicatifs comme le décisionnel
Une autre voie : l’open source

Troisième ère : les géants de l’Internet
Irruption de l’Internet via « les autoroutes de l’information »
L’interface Web impose l’Intranet au sein des entreprises
Apparition de nouveaux acteurs
L’informatique commence son « internetisation » par l’email
Développement de la notion du SAS, l’exemple de Salesforce.com

Conclusion : vers une informatique enfin raisonnable ?
Un début de contestation des « pratiques sacrées » avec l’article « IT don’t matter » puis le livre « Does IT matter? ».
La quête du « plus vite, plus simple, moins cher » pour le système d’informations
Un manifeste de l’informatique raisonnable comme point de départ des nouvelles pratiques

Publié dans Informatique, Mes livres | 2 commentaires

Les « écolo-tartuffes »… une vidéo bien sentie !

Si, comme moi, vous avez fait la moue devant les sponsors de Yan Arthus Bertrand, vous devez adorez ceux de Nicolas Hulot !


Cette chronique de Stéphane Guillon se passe de commentaire, tout est dit !
Publié dans La terrible vérité | Laisser un commentaire