Project CARS, build N°160 : une évolution spectaculaire !

J’ai déjà parlé du projet C.A.R.S. ça et là et, la dernière fois, je ne pouvais m’empêcher de penser que ce projet était mal barré : des beaux graphismes, certes mais un comportement douteux qui ne s’améliorait pas ou peu… Bref, un logiciel pour faire de beaux screenshoots mais pas plus !

Depuis, je dois dire que les choses ont changé, rapidement et dans le bon sens… La toute dernière version de ce projet (qui n’est même pas encore en béta, il faut le rappeler !), le build N°160 apporte un progrès spectaculaire là où il en était le plus besoin : la direction.

Avec un G25 et quelques réglages, terminé l’impression d’une direction flottante qui était un vrai désastre dans les versions précédentes. On peut commencer à croire que le comportement sera plus proche d’une vraie simulation que de l’arcade. Bon, le FFB est encore largement perfectible (on est encore loin, très loin de rFactor2) mais lui aussi avance dans le bon sens. Les physiques des voitures (pour celles que j’ai testé) évoluent elles aussi dans la bonne direction avec un comportement à la fois plus crédible, plus convaincant et, du coup, plus immersif. C’est à la fois plus prévisible et moins permissif, un bon point. Mais là aussi, le chemin est encore long avant de prétendre concurrencer iRacing ou rFactor2. Cependant, on peut commencer à croire que le chemin sera parcouru alors que cet espoir était mince avec les versions précédentes.

Du côté des graphiques aussi, quelques progrès : toujours aussi beau mais l’impression de vitesse commence graduellement à faire son chemin, elle aussi. Or, selon moi, c’est là LE point vraiment important à soigner et c’est aussi là que PCARS pêchait le plus avant ce build N°160 qui, vraiment, commence à changer la donne…

Attention, il reste encore des tonnes de boulot et de nombreuses lacunes mais l’équipe de développement vient une fois de plus de prouver qu’elle travaillait vite et qu’elle était bien orientée. Tous les espoirs sont donc permis, de nouveau devrais-je dire.

Bref, la concurrence s’intensifie dans le domaine du SimRacing et c’est une bonne chose.

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Livres numériques : utilisez les extraits, quoi !

Il y a un truc que je ne comprend pas en lisant le flot de critiques négatives sur la boutique Kindle d’amazon.fr… Et là, je ne parle pas de mes livres mais de tous les livres qui ont des commentaires : mêmes de très bons ouvrages ont leur lot de critiques assassines !

Certes, on ne peut pas plaire à tout le monde… Mais pourquoi peut-on lire « je regrette d’avoir acheté ce livre » alors qu’il est si simple d’éviter de se tromper en téléchargeant un extrait (gratuit, faut-il le préciser ?) avant d’acheter le livre entier ?

boutique kindle

C'est pourtant pas difficile !

C’est que je fais systématiquement avant d’acheter un livre numérique et, dans 99% des cas, on a déjà une bonne idée du livre rien que par l’extrait… On est ainsi plus qu’aider dans ses choix puisqu’on peut faire un bout de route ensemble avant de décider de passer à la caisse… Ou pas.

Et quand l’extrait ne me plait pas, je passe à autre chose sans pour autant mettre un commentaire du genre « c’est pourri ! »… Pour moi, la lecture doit être un plaisir, pas une occasion de rejeter mes frustrations sur les ouvrages des autres auteurs.

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La dédicace numérique se cherche, je propose ma solution !

Un lecteur enthousiaste me demandait une dédicace récemment… Mais la procédure, elle, est loin d’être enthousiasmante : commander des livres (deux) et les envoyer à ce lecteur avec un petit mot impose encore une fois de passer par le papier… Et toute sa lourdeur (dans tous les sens du terme !).

Après avoir dit « oui » (des demandes de ce genre, je n’en ai pas assez pour dire « non » !), je me suis dit « tout de même, pourquoi ne pourrait-on passer au numérique sur cet aspect également ? »… Et, aussitôt pensé, aussitôt mis en place !

Voilà ce que je propose : je vous envoi un fichier numérique de mon livre (au format de votre choix) avec un petit mot personnalisé sur simple demande par email (à condition, bien sûr, que vous soyez en mesure de me démontrer que vous l’avez effectivement acheté en ligne… facile à prouver, je vous expliquerais comment). Pour moi, cela représente quelques manipulations avec mon générateur d’ouvrages numériques (Jutoh, excellent !) mais ça reste gérable…

Alors, qu’en dites-vous ?
Qui commence ?

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« Perdu dans le temps, tome2 » déjà disponible chez Feedbooks

La version numérique de « Perdu dans le temps, tome 2 » commence à apparaître (et à se vendre, déjà une dizaine de livres vendus !) sur les librairies numériques comme celle de feedbooks

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« Perdu dans le temps, tome 2 » disponible en version papier pour commencer !

Voilà, c’est fait, le tome 2 de « Perdu dans le temps » est enfin disponible !

Après des semaines de travail depuis la fin du premier jet, c’est le moment de la délivrance, de la libération, de la publication… hourra !

Il faut dire que cette période a été longue : relecture, corrections, corrections, corrections, relecture, corrections, etc.
Il a fallu aussi réaliser une couverture, un texte de présentation, mettre en ligne et ainsi de suite… Pfoui, c’est long !

Mais bon, c’est fait, à votre tour d’en profiter now !
La version papier est, comme toujours, chez thebookedition (cliquez sur l’image ci-dessous) :

Le livre Perdu dans le temps, tome 2

La version Amazon Kindle est déjà en ligne elle aussi… Et voici, pour finir, voici la couverture :

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Le printemps du SimRacing !

Comme j’étais parti aux USA pendant quelques mois, je n’avais pas pu rouler dans mon baquet avec mon SimCom depuis longtemps et ça me manquait. Certes, j’avais pu tester de nouvelles formules (voir l’essai du volant SRW-S1) et de nouveaux titres (mais je ne vais pas développer cela ici puisque c’est déjà fait dans le numéro à paraître de LiveSim, le magazine du SimRacing auquel le participe depuis son N°1…). Bref, une fois de retour, je me suis empressé de tester l’évolution de PCARS (dont je vous ai déjà parlé ici), d’iRacing et, surtout de rFactor2… Et ce sont les fruits de ces tests que je vais vous livrer aujourd’hui.

« Printemps du SimRacing », ce n’est pas un peu exagéré comme titre ?

Oui et non : certes, on est encore en hiver (et il suffit de mettre le nez dehors pour se convaincre que le froid polaire est -hélas- toujours là) mais, en ce qui concerne l’offre en matière de SimRacing, les mois à venir sont riches de promesses !

En effet, qu’on en juge : PCARS va continuer sa mise au point et devrait être lancé dans pas trop longtemps (si on se base sur sa vitesse actuelle de développement), iRacing est toujours dans son cycle d’évolution permanente et les derniers développements méritent qu’on s’y arrête de nouveau. rFactor2 est actuellement en phase de bêta mais ça ne va pas durer : d’ici un trimestre au plus, le titre sera disponible en version finale (qu’est-ce qui te permet de dire cela ? Tu as des infos directement chez ISI ? Non, mais c’est ma propre estimation… Téméraire après le temps qu’il a fallu attendre pour enfin mettre la main sur cette bêta, j’en conviens !). Sans parler des titres complètement neufs qui sont actuellement au début de leur développement comme GTR3 et Asseto Corsa (nous y reviendrons dans un prochain article).

Commençons par PCARS.

Je me disais que 3 mois de break était un délai suffisant pour juger de l’évolution de ce titre et, je dois dire que mon sentiment vis-à-vis de ce projet a évolué, dans le mauvais sens… Je m’explique : au tout début, j’étais plutôt enthousiaste car le logiciel était en version alpha (même pas bêta, notez bien !) et que pour une version alpha, l’impression était déjà vraiment favorable. Et, au bout de 3 mois, que constate-t-on ?

Les voitures sont plus nombreuses (mais j’ai du mal à m’exciter pour ces ajouts que je considère comme plutôt décevants) et les circuits aussi (mais les nouveaux tracés sont loin d’être aussi « achevés » que les circuits du build d’origine : Imola et Wtakins Glen). En revanche, l’agrément de conduite lui a plutôt stagné et le vrai problème de ce titre commence à apparaître clairement : la direction flotte et ce défaut rédhibitoire n’est toujours pas corrigé, version après version. Il faut donc se plonger dans les réglages du volant pour trouver un compromis acceptable (j’ai pas dis satisfaisant, juste acceptable) alors que, zut, avec un Logitech G25 (sans doute le volant le plus répandu qui soit pour la cible visée), ça devrait aller tout seul dès le début. Mais non, on retrouve la désastreuse sensation qui avait déjà compromis le succès de Shift et Shift2 (titres venant du même studio) et, franchement, ça ne rend pas optimiste pour la suite (même si cet « héritage » nocif de Shift est quand même un peu atténué dans PCARS).

Même le point fort de ce logiciel (l’aspect graphique) est remis en question par une dégradation sensible au fil des versions (quand le FFB est un peu moins pire, voilà que ce sont les graphismes qui se mettent à scintiller et que les FPS s’effondrent !). De plus, et c’est le pire selon moi : la sensation de vitesse est absente alors que l’excellence graphique devrait précisément servir à cela (et ce n’est pas en ajoutant un ignoble effet de flou que ça va s’arranger !).

Bref, je suis pessimiste sur PCARS et ce ne sont pas les annonces récentes de l’éditeur qui vont me rassurer (il commence à être question d’une version pour console et ça, selon moi, c’est le « baiser de la mort » !). Si vous n’avez pas encore testé ce titre, restez à l’écart (comme disent les analystes financiers !).

Continuons par iRacing.

La version 2.0 date de l’été dernier mais cette dernière met du temps à être Complètement déployée puisque sa nouveauté principale (le nouveau modèle de pneus ou NTM pour « new tires model ») n’est pas encore présente sur toutes les voitures (mais ça vient progressivement). Souvenons-nous qu’iRacing est mis à jour tous les trois mois et que donc son cycle de développements/évolutions/corrections est permanent, une grosse différence par rapport aux autres simulations (et un gros avantage aussi selon moi). Par le passé, j’ai toujours été très favorable à iRacing qui, toujours selon moi, cumule de nombreux aspects souhaitables et nécessaires à une bonne simulation (il y a encore des lacunes, bien entendu, mais le staff d’iRacing les comble les unes après les autres… On peut donc être optimiste sur l’avenir de ce titre).

Mais… Oui, il y a un gros « mais »… Je m’aperçois que je prends de moins en moins de plaisir avec cette simulation !

Certes, les voitures s’améliorent à chaque nouveau build (les mauvaises sont corrigés, les bonnes sont optimisées) mais, rien n’y fait, je n’arrive pas à retrouver mon enthousiasme du début. Je pense que cela vient de l’exigence de cette simulation haut de gamme : iRacing n’est pas un « jeu » mais un environnement de compétitions online qui demande une implication importante et beaucoup, beaucoup d’entraînement si on veut aligner des résultats… Je pense que, désormais, je ne suis plus prêt pour ce niveau « d’investissement temps », voilà tout.

De plus, iRacing est très sensible à la fréquentation de ces nombreuses séries (road et oval) : à quoi bon choisir une série et s’y entraîner si le plateau est maigrelet ?

Pour en avoir le cœur net, j’ai réalisé quelques stats sur iRacing afin d’avoir une idée de la fréquentation des séries… En me basant uniquement sur la toute dernière saison écoulée (S3 2011). Voilà ce que ça donne (le nb de séries est égal de part et d’autre) :

== les chiffres indiquent le nb de participants total de chaque série ==

oval

====

Indycar series 983

Indycar series fixed 1443

late model series 2939

legend cup fixed 9839

silver crown cup 146

sprint car series 145

street stock series 3956

class A series 1553

class B series 2371

class B series fixed 2048

class C series 4160

class C series fixed 3475

tour modified series 422

SK modified series 1196

——————————–

total 34676

 

road

====

classic lotus GP 324

Grand AM 894

indycar series 495

indycar series fixed 901

GP series 289

Grnd touring cup 1582

Proto & GT 1289

Proto & GT fixed 1734

V8 533

Mazda cup 12352

Mustang challenge 2141

Radical challenge 770

Skip Barber 2556

Star mazda 2118

———————-

total 27978

ça donne un net avantage à l’oval : 34676 contre 27978. C’est encore pire (ou plus accentué) si on retire la série la plus populaire de chaque côté… Là, la répartition donne 24837 pour l’oval et 15626 pour le road…

Bon, l’oval, c’est bien aussi (il faut essayer au moins une fois, si vous avez un a priori, vous serez surpris de découvrir combien c’est difficile et prenant !) mais quand on est plutôt fan de courses sur circuits routiers, on a un peu l’impression d’être le « parent pauvre » de l’histoire !

De plus l’évolution permanente et sensible des voitures remet en question le réalisme de ces voitures à l’instant T : si la Corvette (par exemple) est beaucoup plus facile à conduire dans sa version actuelle que lors de la saison précédente, dans quel cas est-elle le plus conforme à la réalité ?

Bref, pour iRacing, mon enthousiaste a nettement diminué mais ce n’est pas une remise au cause de la qualité du titre, simplement une évolution de ma perception…

Passons maintenant au gros morceau : rFactor2.

Tout d’abord, rappelons qu’on attendait ce titre depuis un moment (un an ? non, dites plutôt deux voire trois !). Ensuite, quand la bêta a enfin été disponible (et rappelons-le, ce n’est encore qu’une bêta avec un contenu de base assez limité), les réactions sur les différents forums ont été pour le moins contrastées : beaucoup disaient qu’il s’agissait d’une énorme déception, que les graphismes étaient honteux et le FFB ridicule (à se casser les poignets quand la voiture fait un tour hors piste…). Bref, à lire tout ceci, on pouvait redouter le pire…

Je dois que, pour ma part, c’est tout le contraire : j’ai l’impression d’avoir trouvé le Graal du SimRacing !

Essayons de tempérer un peu car ce n’est certes pas la première fois que je fais preuve d’enthousiasme vis-à-vis d’un nouveau titre, n’est-ce pas ?

Tout d’abord, gardons en tête -j’insiste- que ce n’est encore qu’une bêta et ça se voit : les graphismes ne sont pas optimisés (les FPS chutent si on ajoute beaucoup d’IA), les fonctions ne sont pas encore toutes là et il y a aussi quelques bugs qu’on repère vite. Mais tout cela est normal pour une bêta et ce n’est une raison de s’inquiéter (tout cela parait -relativement- facile à corriger alors que je ne dirais pas pareil pour PCARS).

Les critiques les plus virulents disent que les graphismes sont nuls, surtout si on compare à PCARS. Et c’est vrai qu’avec rFactor2, on est loin du quasi photo réalisme de PCARS et que les lacunes sont encore nombreuses (sous la pluie, les autres voitures ne soulèvent pas de gerbes d’eau alors que c’est bien un des points les plus gênants lors d’une course sous la pluie, sans parler de la portée actuelle des phares qui est carrément comique tellement elle est courte !). Mais il y a un point important qui lui est très bien réussi : il s’agit de l’impression de vitesse. Prenez une monoplace des années 60 (un mod qui fait partie du lot de base sur rFactor2 et qui, à lui tout seul, vaut de tester le titre) et allez donc faire un tour sur le vieux Spa et si vos cheveux ne se hérissent pas sur la tête à cause de l’impression de vitesse, c’est sans doute que vos neurones ne sont pas bien connectés !

Pour moi, les beaux graphismes doivent servir à cela sinon, on a mis à côté de la plaque.

Parlons du FFB maintenant. Jusqu’à présent, le FFB le plus plaisant (toujours selon moi) se trouvait sur iRacing mais rFactor2 fait encore mieux : les réactions du volant ne sont pas seulement précises et accentuées, elles sont aussi vives, frémissantes, la direction est vivante et ça rend toute la voiture vivante au bout de vos doigts !

Une sensation vraiment agréable et le retour d’informations remonte bien mieux ainsi. Ainsi, on sent même le « chattering » à basse vitesse quand la voiture se met à sous-virer et que le train avant se met à « brouter » sous l’effort… Sans parler des décrochements du train AR qui sont bien rendus et, du coup, rattrapables si on exagère pas trop…

C’est d’ailleurs ce qui est le plus enthousiasmant dans le comportement des différentes voitures présentes dans rFactor2 : faciles à piloter quand on roule à sa main, déjà plus difficile quand on veut aller vite et facilement dehors quand on exagère (quand on pousse trop !). Voilà la meilleure définition d’une simulation réaliste, elle est résumée dans cette formule : facile-difficile-dehors !

Je dois dire que, pour ma part, j’adore sans restriction et quand je lis que le FFB est inutilisable à cause des réactions exagérées en hors-piste, j’ai tendance à me dire qu’on ne parle pas du même logiciel…

rFactor2 progresse dans les secteurs où rFactor était faible, voire inexistant : le comportement des IA est franchement meilleur (même si, clairement, les IA sont bien trop rapides à 100 %… Heureusement que c’est ajustable) et c’est un grand soulagement. Je persiste à penser que le mode IA est indispensable à côté du mode online. Croire que le online peut être tout pour tous est une grosse erreur que j’ai réalisée dernièrement.

La météo variable est encore largement perfectible mais, telle qu’elle est pour le moment, c’est déjà plutôt jouissif !

J’aime beaucoup la façon dont le ciel s’obscurcit mais les effets de la pluie ne sont pas encore assez ressentis à mon avis (rouler sous la pluie est bien plus dur que d’aligner les tours sur piste sèche et cette différence n’est pas encore assez marquée je trouve).

Les différents mods présents dans cette version bêta permettent de bien se rendre compte de la richesse potentielle de cette plateforme car, gardons bien cela en tête, rFactor est d’abord et avant tout LA plateforme pour le modding (même si d’autres titres comme GTL, GPL ou GTR2 ont également une base de modders conséquente). Ce sont les nombreuses mods de qualités qui ont fait le succès de rFactor alors que, honnêtement, le contenu de base n’était vraiment pas séduisant. Avec rFactor2, changement de décor : le contenu de base est séduisant et on peut donc s’attendre que les modders de talent tirent la quintessence de la plateforme et donc délivrent des contenus qui vont faire date !

Revenons aux 3 mods présents dans rFactor2 : les monoplaces des années 60, les formules Renault 3,5L et les Renault Meganes Trophy.

Soyons clairs, j’ai ressenti un véritable coup de cœur pour le premier mod (les monoplaces des années 60) !

Surtout sur le vieux tracé de Spa. Depuis le temps qu’on attendait un digne successeur de GPL… Eh bien, cette fois, je crois bien qu’on le tient !

Les réactions des voitures, le côté brut (sauvage même !) des tracés, tout cela évoque irrésistiblement GPL et, j’ose le dire, en mieux même… Car les voitures sont tout de même un poil plus faciles à maîtriser (c’est subtil comme différence mais c’est bon à prendre !). Ce mod est encore bien loin d’offrir tout ce que proposait GPL à l’origine mais ce premier lot est déjà extrêmement prometteur et je ne doute pas que les modders vont le compléter vite fait bien fait !

Je n’aime pas trop les monoplaces modernes et encore moins les berlines à tractions avant mais j’ai tout de même apprécié les deux autres mods car chacun permet d’éclairer et d’illustrer une facette différente de rFactor2 et cela rend encore plus optimiste : si même moi j’arrive à prendre du plaisir au volant du Megane Trophy… Alors, tous les espoirs sont permis !

La communauté des modders ne s’y est pas trompée et on voit déjà les nombreuses annonces se bousculer pour ce titre : qui aura donc l’honneur d’ouvrir le bal ?

Vous pouvez suivre cette actualité sur http://www.virtualr.net/category/rfactor-2

En conclusion, je suis tout à fait ravi de la tournure des événements : « abondance de biens ne nuit pas » dit-on et moi, j’ai déjà trouvé mon titre favori…

Edit du 13/02/2012…

Je viens de tester (briévement) le build N°149 de PCARS et, il faut le dire, il y a du mieux !

En effet, le problème récurrent de flottement de la direction a disparu (il vaut mieux passer de nouveau par la phase de calibrage du volant aussi, ne serait-ce que pour être sûr) et c’est déjà énorme (le spectre d’un comportement façon Shift s’éloigne… un peu !).

Reste à améliorer l’aspect graphique. Certes, c’est magnifique mais, j’insiste, la sensation de vitesse n’est toujours pas là et, selon moi, c’est vraiment vers ça qu’il faut aller. Mais bon, concluons sur une note optimiste : l’évolution du build N°149 veut dire au moins deux choses… 1) l’équipe de développement écoute les critiques qui s’exprime sur son forum 2) elle est capable de régler les problèmes qui sont pointés par ces critiques… Un bon point, dans tous les cas.

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Ma solution pour adresser le problème de la « qualité éditoriale » avec la 4ème édition du tome 1 de « Perdu dans le temps »…

Je viens de mettre en ligne la 4ème édition du tome 1 de « Perdu dans le temps » et je suis particulièrement satisfait du gros travail de révision que je viens de faire sur cet ouvrage… Mais comme ce n’est jamais suffisant, j’ai pensé qu’il fallait mettre les lecteurs à contribution !

Après tout, ce sont les premiers concernés… Donc, j’ai ajouté ceci à la fin de l’ouvrage (dans la section « notes de l’auteur ») :

« Perdu dans le temps » est une histoire qui s’étale sur plusieurs volumes, une saga qui va compter au moins trois tomes. Le second tome est disponible depuis février 2012 et le troisième tome est déjà en préparation. Il est encore trop tôt pour dire s’il y aura un quatrième tome ou si l’histoire va se conclure à la fin du troisième…

À propos de cette version :

La première édition date de juillet 2003 et elle a subi plusieurs phases de corrections depuis. Ceci est la 4ème édition et j’espère que sa qualité éditoriale était à la hauteur de vos attentes.

Cependant, il reste toujours des coquilles et des fautes de frappes dans tous les ouvrages. Mais je ne veux pas me contenter de cette situation et je crois avoir trouvé la solution pour toujours faire progresser la qualité éditoriale de mon livre : c’est de m’appuyer sur vous !

En effet, si, au fil des pages, vous y trouvez des fautes de frappes, d’orthographes, de ponctuations ou autres, écrivez-moi (à alefebvre@gmail.com), signalez-moi le ou les fautes trouvées et je vous rembourse cet ouvrage !

Je vous enverrais un chèque à l’adresse que vous m’indiquerez ou je vous ferais un virement via Paypal… Promis !

Merci d’avance pour votre aide.

Désormais, je vais faire pareil pour tous mes livres. Ainsi, on pourra me reprocher qu’il y ait encore des fautes de frappes ou bien m’aider à les corriger… Ce sera le choix de chacun.

Par ailleurs et toujours à propos de « Perdu dans le temps », le second tome est enfin terminé et je peux désormais me consacrer à l’importante phase de relecture/corrections… Parution prévue pour la mi-février, si tout va bien !

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Un film à aller voir : Les nouveaux chiens de garde

Allez voir ce site => http://www.lesnouveauxchiensdegarde.com/

Enfin un film sur le rôle des médias… Allez sur ce site, regardez la bande-annonce et, surtout, allez voir le film !

 

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« Perdu dans le temps » tome 1 en vedette dans la newsletter de KDP

L’édition de janvier 2012 de la newsletter de KDP (Kindle Direct Publishing, Amazon) vient de paraitre… Et j’ai eu la bonne surprise de constater que mon livre y était mis en avant !

Bien entendu, ce n’est pas parfait (le diable est dans les détails…) puisqu’ils ont tout de même réussi à faire non pas une erreur sur mon nom mais deux !

En effet, c’est Alain et non pas Daniel et c’est LEFEBVRE et non pas LEFEVBRE… Mais bon, on va encore dire que je fais le difficile !

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Arrêt de publication pour mon livre « Publier sur iPad & Kindle »

Je viens de décider d’arrêter la publication de mon livre « Publier sur iPad & Kindle » parce que j’étais face à deux choix : soit le mettre à jour et le publier sous une nouvelle édition « revue, enrichie et corrigée »… Soit, le retirer de la vente, tout simplement.

Comme je préfère consacrer mon temps sur d’autres ouvrages (et, en particulier, les différents tomes de « Perdu dans le temps » ou la seconde édition de « Simracing »), je me dois d’être honnête envers mes lecteurs et cet ouvrage devenait de moins en moins pertinent avec l’évolution rapide des outils du domaine. Pour rester en ligne, il aurait fallu le revoir en profondeur et, clairement, je n’en avais pas assez envie pour me lancer là-dedans. Donc, après seulement un an de présence « en librairie », je retire cet ouvrage de la vente dès aujourd’hui.

Je suis certain que les lecteurs me comprendront, c’est ma façon d’exprimer le respect que j’ai pour eux.

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Une étape importante : le premier jet du tome II de « Perdu dans le temps » bouclée aujourd’hui !

Oui et c’est une grande satisfaction !

Après des mois de désert créatif et quelques semaines de productivité miraculeuse, j’ai le plaisir d’enfin vous annoncer que je viens de boucler le premier jet de mon prochain livre : le tome II de « Perdu dans le temps« , la suite des aventures de Vincent Tria et de ses compagnons.

Bon, maintenant, ce n’est que le premier jet, l’équivalent d’un version beta en logiciel. Il reste encore beaucoup de travail de prépublication : relectures, corrections, re-reletures, re-corrections…
Ensuite, il va falloir produire les versions publiables : une au format papier et deux en formats numérique (ePub et mobipocket pour le Kindle d’Amazon) et ça c’est encore de nombreuses heures de mise en forme, de tests (sur l’iPad et sur nos Kindles) avant, enfin, de pouvoir passer à la mise en ligne et à la promotion (légère, forcément !).

Quelques chiffres tout de même pour fêter cela : ça fait trois ans que je travaillais sur ce tome II. Le premier jet affiche 66 236 mots, ou 386 885 signes en 2 244 paragraphes… Cela représente entre 310 et 320 pages au format A5 (dépend de la mise en forme retenue).

L’année 2011 a été particulièrement pénible sur le plan de mon inspiration et j’ai passé de longs mois sans être capable d’écrire la moindre ligne sur ce projet. Et puis, finalement, ces trois dernières semaines ont été quasiment miraculeuses puisque j’ai été capable de travailler sur ce projet tous les jours, d’avancer rapidement au point, certaines fois, de boucler un chapitre par jour ou presque !

J’ai lu récemment « les écrivains sérieux écrivent tous les jours, que ce soit sous l’inspiration ou la routine et, avec le temps, s’aperçoivent que la routine peut-être meilleure conseillère… ». Intéressant. Personnellement, je suis incapable d’écrire de la fiction quand je suis en panne d’inspiration mais, en revanche, je suis parfaitement capable d’écrire autre chose (et c’est pour cela que mon année 2011 n’a finalement pas été mauvaise en terme de productivité).

Ce tome II est très différent du tome I même si il est dans la continuité. Le voyage dans le temps est toujours là mais il n’est plus au centre de la quête du personnage principal. L’histoire se développe et se dévoile largement plus dans ce tome II qu’elle ne le faisait dans le tome I. Dans le premier tome, on suit Vincent Tria de près mais on ne voit que la scène principale (avec ces yeux d’ailleurs). Changement de perspective complet dans ce nouvel opus : cette fois, les coulisses nous sont ouvertes et le récit est plus « collégiale ».

Pour finir, je vais vous révéler une de mes petites traditions… A chaque fois que j’ai bouclé un livre (et ce moment correspond toujours à la fin d’un premier jet car c’est bien là l’instant de la « délivrance »), je met le nez dehors pour pousser un « rugissement » de satisfaction. Je ne peux pas vous montrer cela en vidéo car c’est un instant spontané et je ne peux pas demander à ma femme de me filmer car ça doit être fait dans l’instant (« chérie, vient vite, je vais pousser mon cri, faut que tu me filme ! »… non, ça le fait pas…). Mais j’ai tout de même une illustration « fidèle » à vous proposer ci-dessous :

Il s’agit de Richard Fuld, ex-pdg de Lehman Brothers, extrait du début du documentaire, « The fall of Lehman Brothers« … Merci Dick, ça c’est du ROAR !

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Présentation vidéo pour mon livre « Cette révolte qui ne viendra pas »

Je viens de réaliser cette petite vidéo pour expliquer le contenu de mon livre « Cette révolte qui ne viendra pas » en repartant du contenu de l’introduction…

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Un livre de plus sur la Porsche 917 : l’encyclopédie du chassis 021, à découvrir et à savourer !

Jacques Breuer est un photographe Belge qui est en train de finaliser un livre magnifique sur la Porsche 917. Pas n’importe laquelle, celle qui est identifiée par le chassis N°021…

Porsche 917

Avec ce livre très illustré, on peut tout savoir sur la vie (40 ans déjà) mouvementée de ce modèle et de CETTE voiture. Une initiative intéressante que je vous encourage à découvrir sur le très beau site réalisé à cette occasion à http://www.917-021.com/index.html

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Disparition de Jacob E. Goldman, fondateur du Xerox Parc

Sans lui, le PARC n’aurait pas vu le jour… Or, c’est là que la quasi-intégralité de l’informatique moderne a été inventée !

Comme d’habitude, c’est le New York Time qui signale cette disparition et souligne l’importance de l’action de ce personnage peu connu. Pour en savoir plus sur l’importance du PARC, je recommande l’excellent livre « DEALERS OF LIGHTNING – Xerox PARC and the Dawn of the Computer Age« . Comme le dit fort justement Business Week,  c’est la « The Unsung Heroes of the PC Age« …

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Une seconde édition de mon livre « SimRacing » en 2012 avec une version en anglais en prime !

Finalement, Pearson (l’éditeur de la première version de cet ouvrage) m’a cédé les droits sur le livre « SimRacing« , je suis donc libre d’en publier une nouvelle édition « revue, corrigée et enrichie » comme on dit !

C’était mon projet dès le début : publier régulièrement des mises à jour de ce livre pour coller à l’évolution du Simracing qui est un petit monde qui bouge souvent. Mais l’éditeur voulait d’abord voir quel était l’accueil du public et de la cible visée avant d’envisager une « extension du projet ». Et, même si les ventes n’ont pas été ridicules, le succès n’était pas assez marqué pour motiver un éditeur comme Pearson habitué aux gros chiffres d’affaires. Je ne les blâme pas, chacun a sa logique et je voudrais plutôt les remercier ici pour l’excellent travail effectué sur la première édition.

Bon, désormais, on peut enfin se tourner vers l’avenir et, depuis cette première édition, le paysage de l’offre du marché du SimRacing a bien évolué : iRacing en est à sa version 2.0, rFactor 2 va sortir, SimBin se décide à avancer sur GTR3 sans oublier des nouveaux acteurs comme C.A.R.S ou Simraceway… Bref, il y a de quoi faire à ce niveau !

Pour cette seconde édition, on va aussi en profiter pour balayer plus large et même faire une -petite- place aux logiciels pour consoles comme Forza ou Gran Turismo. Je vais aussi évoquer les simulations qui ont une durée de vie bien plus grande que prévue à l’origine comme GPL (évidemment) mais aussi GTL, GTR2 ou RBR et analyser ce phénomène de soutien par la communauté qui est un volet essentiel pour comprendre le Simracing.

Je voudrais aussi pouvoir reprendre contact avec tous ceux qui m’avaient gentiment écrit un témoignage… Mais aussi d’en intégrer de nouveaux !
Et là, je voudrais balayer aussi large que possible : pilotes bien sûr mais aussi moders, organisateurs et ainsi de suite… Prenez contact avec moi si la possibilité d’avoir la parole dans mon livre vous intéresse.

Quelques précisions sur les « décisions de design » que j’ai déjà prises pour cette seconde édition : le livre sera en priorité disponible sous forme d’ebook au format Epub, Kindle et PDF.
Pourquoi mettre l’accent sur ces formats plutôt que le papier qui est encore le plus utilisé ?
Tout d’abord parce que je suis un ardent promoteur de l’ebook et aussi parce que la version papier va être coûteuse (beaucoup de pages, beaucoup d’illustrations, ça va peser sur le prix de revient) alors que je compte proposer la version ebook autour de 6€ (le livre papier va coûter au moins 3 voire 4 fois plus !).

L’autre décision importante, c’est de faire une version en anglais en plus de la version en français. En effet, il y a pas de livre sur notre spécialité en anglais et il est temps de combler cette lacune… Alors, tant qu’à faire une seconde édition, autant la faire aussi en anglais par la même occasion !

Ceci dit, pas la peine d’attendre ce livre dès janvier 2012… C’est un projet qui va prendre des mois, forcément !
Même si j’ai déjà une bonne partie du texte qui est disponible, les parties à réviser sont nombreuses et la gestion des témoignages elle aussi va être longue à gérer. Bref, il faudra un peu de patience. Mais toutes les bonnes volontés sont les bienvenues : j’aurais besoin de spécialistes des logiciels pour consoles (Forza et Gran Turismo) que je ne connais pas bien, j’aurais aussi besoin de relecteurs, surtout pour la version en anglais (que je suis capable de rédiger mais qui aura besoin de pas mal de »rewriting » avant d’être acceptable aux yeux des vrais anglophones…) et j’en oublie forcément.

Je vous tiens au courant des progrès de ce nouveau projet.

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Une nouvelle couverture pour mon livre « Cette révolte qui ne viendra pas »…

Alors que j’évoquais les résultats de ventes (décevants, avouons-le) de mon livre « Cette révolte qui ne viendra pas« , mon fils Damien me dit « cela a quelque chose à voir avec le fait que la couverture est toute pourrie ? »… Piqué au vif, je décidais de refaire cette couverture dans la foulée et voici le résultat :

Cette révolte qui viendra pas

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Notre premier livre en anglais : Success with Montessori at Home !

Nous venons de mettre en ligne notre premier livre en anglais : Success in Montessori at Home.

Il s’agit d’une traduction/adaptation de notre livre « 365 jours d’école à la maison » qui est disponible depuis début 2009. J’en ai profité pour le publier au format Kindle et adhérer au programme « KDP select » d’Amazon.com ci-fait qu’il n’est disponible que sur la Kindle Store d’Amazon.com, pour le moment…

Montessori Homeschooling

Le programme KDP Select est très restrictif :

Quand vous inscrivez un livre dans KDP Select, vous vous engagez à proposer en exclusivité via KDP le livre au format numérique. Pendant la période d’exclusivité, vous ne pouvez pas distribuer votre livre numérique sur n’importe quelle autre plate-forme, y compris votre site Web, blog, etc. Vous pouvez cependant distribuer votre livre au format physique, ou n’importe quel autre format sauf numérique. Voir les Conditions générales de l’Option KDP Select pour plus d’informations.

Mais vu que l’essentiel de nos ventes passent par les boutiques Kindle d’Amazon (voir à ce propos Ventes de « Perdu dans le temps », numériques vs papier : la règle des 80/20), je n’ai pas hésité longtemps !

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Test du volant Simraceway SRW-S1

J’ai acheté le nouveau volant proposé par Simraceway, le fameux SRW-S1… En effet, j’ai été intrigué par le concept et les vidéos promotionnelles avaient l’air pas mal… De plus, comme je suis actuellement en Floride pour quelques mois, je me retrouvais loin de mon SimCom Motion et le fait de ne pas pouvoir rouler du tout commençait à me manquer. Mais, pour autant, je n’avais pas envie de racheter tout le bazar nécessaire et donc, le SRW-S1 pouvait représenter l’alternative idéale. Voilà pourquoi je me suis laissé tenter.

Je dois aussi avouer que les premières réactions à propos de ce produit innovant que j’ai pu lire sur les différents sites et forums dédiés à notre hobby m’ont un peu énervé : voilà des gens qui investissent du temps et de l’argent à essayer de proposer une nouvelle approche dans notre spécialité et que voit-on ?
Eh bien on voit un accueil qui découragerait n’importe quel entrepreneur d’investir le moindre sous dans le Simracing !

Bref, mauvais ou intéressant, il fallait que je vois par moi-même (au lieu de critiquer dans le vide sans même avoir l’idée de tester l’engin…). Donc, voici une vidéo de présentation que je viens de réaliser mais ne vous arrêtez pas à cela car elle est incomplète… Continuez plutôt à lire ci-dessous après l’avoir visionné (ben vi, faut quand même regarder ma p’tite vidéo quoi !)…

Donc, par rapport à la vidéo ci-dessus, je voudrais corriger les points suivants :

  •  Peu après les prises de vues ayant servi à cette vidéo, j’ai pu continuer mes sessions d’entraînement et même faire deux courses sur ovale avec iRacing (sur le circuit de Chicagoland). Ces deux courses ont duré à peu près une heure chacune (en incluant les périodes sous drapeaux jaunes) et m’ont donc permis d’éprouver le volant « dans la durée »… Verdict ?
  •  Eh bien, on fatigue quand même un peu à tenir le volant sans que celui-ci puisse reposer sur un axe… Donc, j’ai eu l’idée de bricoler un système pour y remédier… J’en parle un peu plus loin.
  •  Ensuite, dans la vidéo, j’ai été dur avec Simraceway… Mais, depuis, j’ai pu me rendre compte que cet environnement n’était pas dépourvu d’intérêt. Certes, c’est moche mais pour le reste, c’est plutôt fun. J’en reparle à la fin de cet article
  •  Ensuite, j’ai pu tester ce volant dans C.A.R.S et là, c’est carrément mauvais : j’ai pas réussi à trouver un réglage satisfaisant (j’ai pas beaucoup insisté non plus faut dire…).Donc, voyons voir ce que j’ai bricolé pour éliminer l’inconvénient « ça fatigue les bras au bon d’un moment »… J’ai tout simplement utilisé le pas de vis qu’on trouve au centre du dos du volant pour y mettre un axe que j’ai fixé à une pièce en L, le tout fixé provisoirement sur le petit bureau du PC via une pince (vue générale ci-dessous et vue plus détaillée plus bas).

    Depuis, j’ai encore amélioré ce bricolage en ajoutant une pièce en U rapportée sur la pièce en L afin que l’axe puisse être tenu en place via deux points (trois en fait) et non plus un seul… ça améliore nettement la rigidité de l’ensemble et donc le feeling général. Et, à force d’améliorer mon montage et de tester, je me suis aperçu que j’allais plus vite à chaque nouvelle séance (un peu normale tout de même). Après quelques jours d’usage, je ne suis plus qu’à 2/3 secondes de mes meilleurs temps sur iRacing (ça dépend aussi du circuit) en usage routier (plus significatif qu’en oval pour un pilote comme moi qui ne suis pas un habitué des ovals). Bref, je trouve que ça commence à devenir intéressant.

     Mais c’est surtout avec Simraceway que ce volant prend tout son sens : avec cet environnement, le couplage est vraiment bon et ça se sent. Du coup, la voiture est facile à emmener et on arrive à faire ce qu’on veut en oubliant les particularités du volant.

     Ce logiciel est un peu bizarre : pas encore beaucoup de contenus (encore moins qu’avec C.A.R.S.), un rendu graphique pour le moins intriguant (ça, c’est pour ne pas dire que c’est carrément moche, surtout quand on compare à C.A.R.S. !) et il n’y a pas encore assez de monde dessus pour que ça soit vraiment excitant. Mais, en dehors de cela, le mixte proposé est assez réussi : des voitures faciles à piloter mais qui ne sont pas collées à la piste pour autant (comprendre, quand on exagère, on sort, point !) et, après tout, c’est ce qu’on veut. J’ai pu participer à quelques courses online (avec un maximum de 7 opposants, pas encore d’IA) et je dois dire que j’ai pris vraiment un grand plaisir… à suivre je pense !

    En conclusion, gardons en tête que ce volant est avant tout une solution qui permet de rester « en piste » alors qu’on est en déplacement. C’est déjà beaucoup de permettre cela et ça explique les inévitables limites d’un tel dispositif par rapport aux ensemble volant/pédales auquels nous sommes habitués.

    Edit du 4/01/2012 :

    Suite à vos demandes, j’ajoute ici quelques photos qui permettent de mieux comprendre la dernière version de la -modeste- modification appliquée à ce volant.

    Dernière précision : ce volant est évidemment dépourvu de tout effet de retour (Force Feedback) mais ça peut se comprendre… à $120, faut tout de même pas demander la Lune !

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Comparatif : Kindle Touch vs Kindle classique…

Le Kindle Touch n’est pas encore disponible en France mais comme nous sommes en ce moment en Floride, j’ai pu le commander et le faire livrer « chez nous »…

Alors, est-ce vraiment un plus d’avoir l’écran sensible au toucher comme le propose le Nook depuis déjà un moment ?

C’est le genre de question qu’on peut lire ça et là comme sur ce blog avec et cet article http://actu-des-ebooks.fr/2011/12/01/faut-il-attendre-le-kindle-touch/

Eh bien, ça dépend du public : les jeunes vont nettement préférer ce type d’interface utilisateur alors que les autres vont se contenter de l’interface classique sans problème.

Plus de détails sur le Kindle Touch dans la vidéo ci-dessous :

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Découvrez la musique de Johannes Roussel !

Johannes Roussel est connu pour ses albums de BD mais c’est aussi un musicien hors pairs qui produit une musique que j’adore… Du coup, j’ai pensé que, peut-être, vous pourriez l’aimer aussi ?

Facile à vérifier, il suffit d’aller sur son site perso et d’écouter, gratuitement, ses albums. Une fois séduit, vous pourrez les acheter soit sous forme de CD soit à télécharger…

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Ventes de « Perdu dans le temps », numériques vs papier : la règle des 80/20 (et, devinez quoi, largement en faveur du numérique !)…

Voici quelques données statistiques sur les ventes de mon livre préféré… Aujourd’hui, il s’en vend une centaine d’exemplaires par mois mais cela a mis plus d’un an avant d’atteindre ce rythme (et j’espère que ça va continuer à croître !).

Donc, prenons justement cette durée d’une année pour comparer les ventes sur Amazon.com et Amazon.fr (format Kindle), les ventes au format Epub (les principales librairies numériques françaises, distribuées par Immatériel) et enfin les ventes en version papier (via thebookedition.com). Disons-le tout de suite, la part des ventes de la version papier est carrément négligeable par rapport aux versions numériques (à peine quelques dizaines contre un bon millier).

Ensuite, la règle des 80/20 s’applique presque exactement : les ventes sur les différentes Kindle stores (fortes sur amazon.com et amazon.fr, presque inexistantes sur amazon.de et amazon.co.uk) représentent largement 80 % du total… Les 20 % restantes se partagent entre l’iBookstore d’Apple (à destination de l’iPad) et les autres (Fnac, Feedbooks, etc.). Là aussi, c’est l’iBookstore qui représente 80 % des ventes alors que les librairies numériques françaises se partagent les miettes restantes…

Voilà, ces données statistiques valent ce qu’elles valent (je ne prétends pas en faire une étude sérieuse) mais elles donnent tout de même une idée (juste d’après moi) sur « quels sont les géants et les nains du marché des livres numériques actuellement »… Quand à la part faible de la version papier, c’est simple : le livre papier coûte 4 fois plus cher (en incluant les coûts d’expédition) que son équivalent numérique… J’aimerais pouvoir le vendre moins cher mais ce n’est pas moi qui fixe les coûts de fabrication et de livraison d’un livre papier. Sur ce plan-là, entre autres, le livre numérique gagne à tous les coups !

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Les cowboys qui ont créé le premier Macintosh

Le site http://www.folklore.org/ que l’on a précédemment cité raconte comment l’équipe originale du Mac était une bande de cowboys, et comment elle s’est heurtée à une mentalité chemin de fer.

C’est Jef Raskin qui a créé le projet Macintosh en 1979, lui trouvant son nom et recrutant les personnes qui deviendront les ingénieurs-clé du projet : Bill Atkinson a écrit une grande partie de l’interface graphique du Lisa et du Mac, et est le père de MacPaint. Burrell Smith a conçu l’électronique. Andy Hertzfeld a conçu le système d’exploitation. Et Raskin y a instillé une culture de cowboys. Outre le fait que le projet n’était supervisé par aucun ponte, la hiérarchie était floue. Bill Atkinson n’a jamais eu aucun cahier des charges. Burrell Smith a commencé au sein d’Apple comme technicien de bas niveau, sans aucun diplôme d’université. Les choses ont peu changées lorsque Steve Jobs a pris le contrôle du projet en janvier 1981. Au contraire, il a promulgué l’image de pirates pour représenter le groupe (« Mieux vaut être un pirate que d’être dans la marine« )

Le changement est venu lorsque Jobs a embauché Bob Belleville en avril 1982 comme chef de projet pour remplacer Bud Tribble. Bob s’était en effet donné pour mission de faire un peu d’ordre dans cet environnement chaotique. Or le peu d’importance que l’équipe attachait à la hiérarchie n’était pas du tout à son goût (Bob était un ancien de la US Navy – Coïncidence ?) Un mois après son arrivée, il a voulu virer Bruce Horn qui travaillait sur le resource manager parce que ce dernier ne respectait pas l’autorité (Belleville a été forcé de revenir sur sa décision). Il a été une des raisons pour lesquelles Andy Hertzfeld a pris un congé en Mars 1984, juste après le lancement du Mac (il n’est jamais revenu chez Apple). Et ses conflits avec Burrell Smith ont sapé le moral de ce dernier (il a quitté Apple en février 1985)

Ironiquement, Bob Belleville s’est trouvé une âme de cowboy à au moins une reprise. Il a en effet travaillé en secret avec Sony pour le lecteur de disquette 3″1/2 du Mac alors que Steve interdisait d’avoir tout contact avec Sony, préférant un autre constructeur que Bob trouvait peu fiable.

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Une critique positive sur « Une révolte qui ne viendra pas »…

Il ne s’agit pas d’une critique publiée dans un périodique littéraire connu (j’aimerais bien mais je crois qu’il me faudra encore patienter pour cela !) mais ce texte vient d’une amie qui a pris le temps de lire mon livre « Cette révolte qui ne viendra pas » entièrement… Voici son avis après coup :

Alors, merci pour ton essai (transformé!) de révolte qui, soi disant ne viendra pas!
J’ai trouvé le ton alerte, le style vif (drôle aussi) pour ce qui est plus qu’un essai. Je le qualifierai plutôt de pamphlet, ou de chroniques engagées ( « j’accuse les médias ») que j’entendrai bien à la radio. C’est bien écrit (les derniers points, un peu plus concevables à l’oral…:la cigarette, Noël, les vacances).
Tout ce que tu écris est fort juste, surtout les 2 premières parties; j’aime bien le titre (pas si noir que cela…il faudrait une suite).
Ton énumération de faits de manipulations m’a beaucoup intéressée (je ne connaissais pas la guerre hispano-américaine) et c’est toujours intéressant de relire ces faits, surtout pour moi qui ne suis pas spécialement portée sur l’histoire contemporaine.
L’ensemble de ton propos me paraît très juste, voire essentiel (à hurler, à chanter…), et somme toute, c’est le but de toute bonne éducation; car, si on n’avertit pas les bébés…
Les passages que j’ai beaucoup aimés et qui seraient à mon sens à creuser :
-« l’illusion de la diversité », p.68-69
-« idée du mérite ou inconduite » p78 (à développer sans généraliser)
Très drôle, la « beauferie »!

Pour tes sources, tu n’es pas sans savoir sûrement, que Wikipédia n’est pas toujours d’une bonne fiabilité (on ne connaît pas le nom de l’auteur-pas comme pour les actionnaires!!) ; de plus, contre la pensée unique, tu sais aussi qu’il faut multiplier les sources.
Je suis désolée de te reprendre sur tes passages anti-catho-moyen : Noël n’est pas un jour pour « faire la fête » (et au passage, Noël n’est pas seulement une fête que tu dirais inventée par les catholiques, mais aussi un fête protestante et orthodoxe) ;p.117 : heureusement que l’Eglise n’a pas cherché à gagner le combat contre le commerce…et cette fête n’est pas une question de puissance.P.114 : je ne pense pas que le registre de l’Eglise-je dirai plutôt des chrétiens ou d’une religion- soit de favoriser la pulsion d’intégration d’un être humain. Il y a de ta part quelques signes de pensée formatée, de propagande ou d’agrégation dans le troupeau!!

J’aime beaucoup : « on ne s’inquiète plus de ce qui est
véridique, on se demande seulement si c’est acceptable. »p.64

Bon, je suis d’accord avec ta conclusion, un peu catégorique, tout de même (la meilleure défense reste l’attaque, comme disait Napoléon, je crois); à mon sens, il ne faut cesser d’alerter, de défaire la propagande, de rire (ce n’est pas se moquer) de la beauferie, de dénoncer ou se révolter, sinon, tu n’aurais pas écrit « cette révolte qui ne viendra pas ».

Christine F.

Il y a tout de même un point sur lequel je voudrais rajouter mon « grain de sel »… à propose de Wikipedia, comme quoi ce n’est pas une source fiable et ainsi de suite…

Alors, je connais bien ce couplet et je l’entend souvent… Tout simplement parce qu’on touche ici un point sensible !
Le microcosme de la connaissance n’aime pas que celle-ci soit ainsi démocratisée et tente alors de réduire la portée de cette évolution. Et comment mieux dénigrer qu’en mettant en cause la pertinence de ce qui est proposé ?
Or, les études qui ont été réalisées sur la question montrent toutes que Wikipedia s’en sort très bien sur un large ensemble de sujets. J’ai beaucoup utilisé Wikipedia pendant des années, aussi bien pour me documenter sur les domaines dont je ne suis pas spécialiste que sur les domaines que je connais bien (afin de compléter ma connaissance) et c’est en vérifiant dans ce dernier cas que j’ai pu constater que wikipedia est, généralement, une source fiable voire très fiable.
Bien entendu, ça va encore prendre des années avant que cela soit admis mais je reste sur cette position (tout du moins tant que la qualité du contenu ne se dégrade pas ce qui toujours possible…).

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Un très bon site sur l’histoire du premier Macintosh…

Sur le site de http://www.folklore.org/ vous pourrez trouvez un recueil de textes décrivant par le menu l’histoire de la conception du tout premier Macintosh (une histoire qui remonte à 1981). Même si vous n’êtes pas un « mac-maniac », cette saga va forcément vous intéresser car elle permet de suivre et de comprendre les méandres d’un projet de cette importance (et ce projet a effectivement marqué l’histoire !)…

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Nouveau : la version ebook du livre sur « Soheil Ayari, un pilote moderne »

Cela faisait un moment que j’y travaillais et comme la saison 2011 vient de se cloturer (avec non pas un mais deux nouveaux titres pour Soheil !), c’est le bon moment pour vous proposer la version numérique de la biographie de ce « pilote moderne »…

Par rapport à la version papier, cet ebook propose les avantages suivants :

  • mise à jour – les saisons 2009, 2010 et 2011 viennent compléter le texte existant
  • enrichissement – en plus des 124 photos déjà présentes dans la version papier, la version numérique en affiche 32 de plus !
  • abordable (encore que, la version papier n’était pas très chère non plus) – cet ebook est proposé à 4,36€ (oui, c’est un peu bizarre comme prix mais c’est l’équivalent à $6 calculé par Amazon…).

Cet ebook est très largement illustré et c’est aussi le premier où j’ai réussi à obtenir un résultat correct sur le Kindle au niveau des illustrations (sur l’iPad, les photos passent bien mais c’est plus difficile à réaliser sur le Kindle, surtout en N&B) car j’ai passé le temps qu’il fallait sur cet aspect.

Cet ouvrage est déjà disponible sur les librairies numériques suivantes :

Dans cet article de promotion (disons les choses comme elles sont…), je vous propose un extrait significatif (issu de la partie où la question de la vie du pilote de course est creusée) du livre ainsi qu’un diaporama des photos utilisées (certaines sont exclusives je crois)…

Tout d’abord, l’album des photos présentes aussi dans la version papier que numérique…

Et puis, celui des photos propres à l’ebook…

Et, enfin, l’extrait où Soheil parle de la gestion de l’intersaison où, on va voir que les choses ne sont vraiment pas faciles pour tous ces « pros » qui sont, en fait, dans une situation très précaire… Même Soheil avec son palmarès (rappel : 10 titres, 69 victoires et 59 pole-positions en monoplaces, GT et prototypes…) « rame » tous les hivers pour préparer la saison suivante !

Être un pilote professionnel n’est pas une situation stable où votre place est assurée à partir du moment où vous arrivez à aligner les résultats escomptés, loin de là !

C’est difficile à imaginer vu de l’extérieur mais l’intersaison est une période particulièrement stressante pour tous les pilotes et Soheil n’y échappe évidemment pas… Chaque hiver, c’est la même “course” qui recommence : il faut trouver les financements permettant de courir lors de la saison à venir et négocier avec les teams pour se faire rémunérer.

Faute de pouvoir s’appuyer sur des partenaires solides, on se retrouve à pied, tout simplement !

Même en ayant un palmarès éloquent, même en ayant remporté le championnat la saison précédente… Rien n’y fait : il faut refaire l’édifice à chaque intersaison, c’est incontournable. Et cet exercice est loin d’être facile car vous êtes à la merci du moindre aléa.

Un ralentissement économique ? Ce sont les budgets sponsoring qui sautent en premier bien sûr !

Un changement de responsable chez votre principal partenaire ? Tout le travail de proximité et d’échanges qui avait porté ses fruits les années précédentes est à refaire car le nouveau responsable n’est pas forcément enclin à reprendre et poursuivre les actions de son prédécesseur…

Et ainsi de suite !

La situation de pilote professionnel est très fragile, c’est une donnée qu’il faut intégrer et savoir gérer année après année. Ce passage hivernal délicat est une des principales clés de ce métier hors du commun.

Pour mieux comprendre quelle gestion de l’intersaison représentent les négociations d’hiver, laissons Soheil évoquer ses années les plus difficiles dans ce domaine…

Q- Quelle a été l’intersaison la plus délicate à négocier ?

Je dirais aussi bien l’hiver 94/95 que celui de 95/96. Cela faisait à peine deux ans que nous étions en sport auto, et déjà nous connaissions le “grand frisson” de l’intersaison ! 

Fin 94, alors que je viens d’être titré en Formule Ford avec le GRAFF Racing, Carglass, mon partenaire principal en 94, nous annonce qu’il ne peut plus suivre pour des raisons financières. Alors que j’avais une place au chaud au GRAFF Racing en F3, ce qui m’aurait fait commencer dans d’excellentes conditions, je suis obligé de m’orienter vers un team moins ambitieux (Top Fun). Avec seulement 200 000 francs de partenariat quand une saison en coûte 800 000, nous avons touché le fond durant cette période !
Mais Carglass est revenu sur sa décision et a finalement pu nous soutenir en cours de saison, ce qui m’a fait revenir au GRAFF Racing… Une machine bien huilée était en route !

L’intersaison suivante reprendra hélas le même schéma. Le Directeur Général de Carglass change fin 95 et le nouveau préfère mettre un frein, dans un premier temps, aux actions de partenariat. Alors que je viens de terminer 6ème et Meilleur Débutant du championnat, en gagnant haut la main l’ultime course, ma saison 1996, où nous voulons viser le titre, se présente mal car je n’ai pas de quoi financer la majorité des courses. A ce moment Jean-Philippe GRAND, patron du GRAFF Racing, a été plus que crucial puisqu’il a pris le pari de me faire rouler sur ses deniers personnels une bonne partie de la saison. De notre côté, nous avons continué nos recherches de sponsors, et avons trouvé Midas qui est venu sauver le montage financier de ma saison. Comme vous l’aurez compris, bien que sur la piste tout s’est déroulé idéalement cette année-là, c’était en revanche le feu permanent toute la première partie de saison sur l’aspect budgétaire !

On le voit, les débuts de Soheil ont été difficiles en coulisses alors qu’ils étaient brillants sur la piste. On réalise aussi avec le recul que cette carrière naissante aurait pu s’arrêter brusquement, avant même que Soheil ne se révèle comme un maître de la F3 !

Rien n’est jamais acquis et il faut continuellement “aller à la pêche” aux partenaires…

Q- Tes titres te facilitent-ils la chose (gérer l’intersaison) ou est-ce toujours aussi difficile année après année ?

Je dirais surtout que les choses sont facilitées par le fait qu’avec l’expérience des intersaisons, nous ne nous stressons plus autant qu’avant. Nous savons qu’un jour ou l’autre le fruit mûr tombera de l’arbre, et que notre travail de recherche de partenaires sera payant. Car les frissons se ressentent surtout dans ce domaine. En ce qui concerne le sportif, on arrive à être fixé quasiment de façon certaine en fin de saison précédente, car les discussions commencent un peu avant la dernière épreuve de l’année. Quant aux titres, il est évident qu’ils rassurent mes partenaires qui sont ainsi confortés dans leur choix, et nous procurent une meilleure écoute auprès des sociétés que nous prospectons. Néanmoins ils ne jouent que très peu dans la re-signature d’un partenaire, qui va s’intéresser surtout aux événements que nous allons lui proposer autour de ce partenariat. Avec le temps, nous avons remarqué que pour la plupart de nos partenaires c’est cet aspect événementiel qui les intéresse le plus. Ils se servent du partenariat et des événements VIP que nous organisons comme un outil relationnel envers leurs salariés et leurs clients. Je dirais que les victoires et les titres constituent plutôt la cerise sur le gâteau et la garantie d’avoir plus de retombées médiatiques que si j’étais en milieu ou en fond de peloton. 

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Les 40 ans du tout premier microprocesseur… L’Intel 4004

Développé en 1970 par Federico Faggin, Ted Hoff et Stanley Mazor pour Busicom (un fabricant Japonais de calculatrices), le processeur 4004 (4 bits) commença sa carrière commerciale le 15 novembre 1971 (Busicom avait cédé les droits du 4004 à Intel).
Le 4004 était cadencé à 740KHz, il avait autour de 2,300 transistors et était fabriqué en utilisant un processus à 10-micron… On est loin de ces chiffres désormais !

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Un concours sur l’histoire de l’informatique, enfin !

Le site du zéro organise une sympathique concours sur l’histoire de l’informatique (il y a même des lots à gagner !)… Pour participer, il faut s’inscrire sur le site, voyez sur cette page http://www.siteduzero.com/news-62-43074-p1-lancement-du-concours-anniversaire-les-12-ans-du-site-du-zero.html

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Faire le point sur la progression des eBooks, une bonne fois (aux USA au moins)

Je viens de découvrir cet excellent article : Print is dying: E-readers start slaughtering print book sales à http://venturebeat.com/2011/11/10/print-is-dying-e-readers-start-slaughtering-print-book-sales-infographic/

Le tout accompagné d’un graphique un peu long mais super explicite… Si après cela, vous n’êtes toujours convaincu que l’eBook est en train de s’imposer… Et ben, c’est pas grave, pensez ce que vous voulez, hein !

Le graphique en question :

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Découverte du Nook color

J’ai pu manipuler briévement le Nook Color dans un magasin « Books a Million » de Floride (où je suis en ce moment). Il semble donc que le Nook ne soit pas vendu seulement dans le réseau des librairies « Barnes & Nobles » puisque « Books a Million » le propose également (le Nook Color mais aussi le tout nouveau Nook Simple Touch Reader ainsi que l’ancien à deux écrans).

Le Nook a Books a Million

Comme vous le savez, je suis un fervent utilisateur du Kindle d’Amazon et c’est donc avec beaucoup d’intérêt que j’ai pris quelques minutes pour manipuler le Nook… Le Nook Color évoque ce que sera le Kindle Fire quand il sera disponible : contenus numériques divers et même des applications (comme un jeu d’échecs intégré en standard). Cependant, j’ai trouvé que le Nook Color semblait bien lourd, presque autant que l’iPad de ma femme (mais ce n’est qu’une impression, j’ai pas vérifié le vrai poids dans les données techniques).

Passons rapidement sur l’ancien Nook à deux écrans (un grand en N&B en haut pour afficher les livres et un petit en bas -en couleurs- pour afficher les icones des fonctions) et voyons le petit nouveau : le Nook Simple Touch Reader (NSTR). Celui-là est léger comme le kindle et l’écran est vraiment très contrasté et donc très lisible et confortable, comme le Kindle mais en plus blanc. Bref, là aussi, un produit qui est à la hauteur de son grand concurrent.

Il est clair que la différence va se faire sur les contenus disponibles et sur la robustesse de l’infrastructure employée pour les distribuer. En attendant, on vient de pré-commander le Kindle Touch pour Damien (Valentin a lui déjà reçu le sien, un modèle classique, en France), qu’on recevra fin novembre en Floride… Je vous en parle dès qu’on l’a !

Màj du 9/11/2011 : peu de temps après cette « découverte », voilà que B&N lance le Nook Tablet (et baisse le prix du Nook Color). Pour ceux que cela intéressent, voilà un comparatif entre le Kindle Fire et le Nook Tablet.

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Initiative intéressante : la « liste noire » des éditeurs d’ebooks

Le blogueur « Lecteur en colère » vient de mettre en ligne une « Blacklist editors » qui liste les éditeurs d’ebooks qui pratiquent des prix trop élevés et/ou qui persistent à utiliser des DRM… Voilà une initiative à encourager et il faut que cette liste soit complétée, vite.

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