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Quelque chose s’est mal passé.
nous respectons votre vie privée et prenons au sérieux sa protection
*Quelle huile consommez-vous ?* Rectificatif !
Le document reproduit dans ce billet était un « hoax » (une fausse rumeur) !
Voir à http://www.hoaxkiller.fr/hoax/2008/huile-alimentaire-empoisonnee.htm
Désolé de vous avoir ainsi induit en erreur mais la source qui m’avait envoyé ce doc est digne de confiance et c’est pour cela que j’ai embrayé aussi vite (tellement digne de confiance que c’est cette même source qui m’a prévenu que c’était un hoax…). J’aimerais pouvoir écrire qu’on ne m’y reprendra plus…
Publié dans La terrible vérité
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Un projet à venir : l’histoire critique de l’informatique moderne
J’ai un projet en tête : écrire une histoire critique de l’informatique moderne.
Il y a deux mots importants dans le titre de ce futur ouvrage : critique et moderne. Critique car il ne s’agit pas de simplement de récapituler ce qui est arrivé mais plutôt de comprendre comment (et pourquoi) on en est arrivé là. D’où le focus sur l’informatique *moderne* plutôt que sur toute l’histoire de ce domaine.
Quand commence l’informatique moderne ?
J’ai déjà traité ce sujet dans mon livre « le troisième tournant » (d’ailleurs, tous mes livres professionnels contiennent peu ou prou ce retour sur l’évolution historique de cette industrie, il est donc logique que je souhaite en faire le sujet principal d’un ouvrage autonome) : l’informatique moderne commence vraiment avec le système 360 d’IBM.
Bref, il ne s’agit encore que d’un projet mais j’espère pouvoir le monter avec des partenariat avec le Musée de l’informatique par exemple. Ce projet (si j’arrive à le faire naitre…) ne va pas se faire en autarcie mais plutôt de façon ouverte : en ouvrant un wiki pubic et en appelant à une large collaboration. En effet, j’aimerais bien inclure des témoignages réels pour illustrer les différentes phases de cette histoire.
Publié dans Informatique, Mes livres
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Un chassis en réduction de la 917 !
Grégory Wagner de Dynamic Concept est en train de préparer une reproduction très fidèle de la 917 au 1/6ème… Et, pour commencer, voici déjà une maquette du chassis. Voilà l’annonce de cette maquette :
Je me permets de revenir vers vous afin de vous présenter une nouvelle maquette exclusive à la société Dynamic Concept. Notre maquette du châssis de la Porsche 917K ne sera produite qu’à 25 exemplaires. Ce chiffre est historique car il correspond à la limite d’homologation pour la catégorie Sport. C’est en Avril 1969 que les 25 exemplaires de la Porsche 917 ont été présentés devant l’usine Porsche aux inspecteurs de la Commission Sportive Internationale (CSI). Après de longues et passionnantes heures de travail, nous sommes ravis de vous présenter notre Châssis Edition de la Porsche 917K N°023 qui a remporté l’édition des 24H du Mans en 1970 aux mains de Hans Herrmann et Richard Attwood.
De la conception à la production finale de notre prototype, nous espérons que vous apprécierez ce modèle avec autant de plaisir que nous en avons eu à le réaliser. Ce modèle est une exclusivité Dynamic Concept dans la mesure où nous avons été l’unique société à disposer des copies des plans originaux de l’usine. L’utilisation de ces plans et les mesures effectuées sur un châssis original (917-024, l’un des châssis utilisé pour le film Le Mans) nous ont permis de modéliser entièrement le châssis en 3D.
II – Etude d’un châssis original (N°917-024).
III – Modélisation 3D du châssis N°23
Les 25 exemplaires sont entièrement produits en France. Les châssis se composent de 186 tubes ayant, comme l’original, 6 diamètres différents. La maquette comprend une vitrine en plexiglas et un socle sur lequel est apposée une plaque en métal brossé.
IV – Prototype complet avec ses 186 tubes.
Les dimensions extérieures du modèle sont comme suit :
- Echelle : 1/6ème
- Longueur : 730 mm
- Largeur : 370 mm
- Hauteur : 195 mm
Disponible : Fin Octobre / Début Novembre. Prix : 2 850 € TTC Chaque châssis est livré avec un certificat d’authenticité.
Publié dans Sport-auto
16 commentaires
iRacing : saison 3 bientôt terminée…
La saison 3 (la première vraie saison complète à laquelle je peux participer) est presque terminée : c’est la dernière semaine en ce moment.
Je suis assez satisfait de mes résultats puisque j’arrive désormais à faire des « top 5 » aussi bien en road (courses sur circuit avec la monoplace Skip Barber) qu’en ovale. Pour le moment (car le classement évolue tous les jours), je suis 503ème au classement du championnat Skip Barber (sur 1690 classés) et 374ème dans le championnat Late (courses sur Ovales, sur 1518 classés).
Surtout, ce qui me fait plaisir, c’est que j’arrive désormais régulièrement à terminer mes courses sans aucun incident et donc j’accumule les points au niveau de mon Safety Rating : le passage en licence « C » (je suis en « D » actuellement) est largement assuré aussi bien en road qu’en oval. Bref, tout va bien sur ce plan et j’apprécie toujours autant ce logiciel et ses courses super disputées.
Du côté de mes participations aux championnats GP79 sur Rfactor, ça va pas mal non plus : les championnats FFSCA et Master Serie sont dans leurs dernières parties et je fait partie des cinq premiers dans les deux classements, ce qui est plutôt pas mal (mieux que ce que j’espérais en début de saison anyway…).
Publié dans Sports mécaniques virtuels
4 commentaires
Nigéria : le scandale dont on ne parle pas…
Il suffit de lire l’interview de Jean Zigler « La crise actuelle est une formidable occasion de réveiller les consciences » paru dans Courrier International, extrait :
Le Nigeria, avec ses 100 millions d’habitants, est le huitième pays producteur de pétrole du monde et le premier pays africain. Pourtant, il importe 100 % des produits pétroliers raffinés dont son économie à besoin. Le Nigeria vit sous dictature militaire depuis 1966. 70 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, plus de la moitié est gravement sous-alimentée et l’espérance de vie est de 45 ans. Le pays est en 159e position (sur 172) dans l’indice de développement humain. Les sociétés pétrolières occidentales, qui exploitent les gisements locaux, rapportent à la junte 18 milliards de dollars nets de royalties en 2007, alors que celle-ci maintient le peuple dans la pauvreté absolue. Voilà ce que représente l’ordre occidental au Nigeria.
Après cela, on s’étonne que les pays du Sud haissent l’occident !
Nous comprenons bien que les américains accumulent la haine partout dans le monde et cela nous parait justifié mais nous nous étonnons quand cette haine nous concerne aussi… Mais qui trouve-t-on pour exploiter les gisements de pétrole du Nigéria ?
Total… Eh oui, *notre* compagnie nationale !
Voilà pourquoi tous les occidentaux sont dans le même sac pour les pays du Sud : grands discours sur le devant de la scène, basses manoeuvres en coulisse.
Publié dans La terrible vérité
7 commentaires
Me rencontrer : prochaine occasion au RSI de Lyon le 14/10…
L’hermite des montages sort de sa cachette !
En effet, j’ai eu la faiblesse d’accepter une invitation à intervenir en conférence lors du salon RSI qui va se tenir à Lyon le 14 octobre. Et, histoire de ne pas faire les choses à moitié, je vais même mettre mon grain de sel dans 2 conférences : DSI3 à 13H30 (à propos de l’Open Source, un sujet qui m’est cher) et WEB6 à 17H00 (à propos des réseaux sociaux… quelle surprise !).
Entre les deux, il est également prévu que je fasse une séance de signature de la seconde édition de « les réseaux sociaux » qui est désormais largement disponible en librairie.
Voilà, vous savez tout, à bientôt peut-être…
Publié dans Informatique
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L’avenir du Web… Côté technique.
A la demande de Denis Failly, j’ai rédigé un petit article sur l’avenir technique du Web. Vous pouvez trouver « L’Après Web sur le plan technique » à cette adresse => http://entretiens-du-futur.blogspirit.com/archive/2008/09/25/l-apes-web-sur-le-plan-technique.html
Publié dans Informatique
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3 mois avec iRacing, le bilan
Aujourd’hui, ça fait pile trois mois que je suis inscrit à iRacing, ça vaut donc la peine de revenir dessus et faire un bilan déjà plus approfondi que mes précédents articles sur le sujet. Cette fois, je suis nettement plus négatif et cela s’explique facilement : avec le recul, les bons points restent positifs mais les défauts ont eu le temps de se montrer et c’est pour cela que ce bilan à trois mois va vous paraitre bien moins rose que mes autres revues sur iRacing.
Donc, commençons par le bon puisque je dois être plus critique : cette simulation est vraiment au-dessus du lot par la qualité et la finesse du comportement des voitures. Les vidéos comparatives qu’on trouve sur YouTube sont assez significatives de la fidélité des circuits reproduits, rien à dire de plus à ce niveau, c’est vraiment le top. Du coup, les utilisateurs commencent à être nombreux (entre 4000 et 6000 selon les sources) et ont voit quelques têtes d’affiches qui s’alignent plus ou moins régulièrement : Dale Earnhardt Jr mais aussi Jacques Villeneuve, entre autres (encore que, je n’ai pas eu l’occasion de les rencontrer/affronter lors des courses que j’ai disputé).
La qualité de la simulation vient aussi de l’absence de bug et de la stabilité online (très peu de déco pendant les courses et on peut revenir si ça arrive, c’est géré).
Le principal reproche que je ferais à iRacing aujourd’hui c’est que le service tarde un peu à évoluer alors que les lacunes les plus évidentes commencent à devenir pesantes : je pense en particulier à l’absence de drapeaux jaunes et bleus ainsi que de l’impossibilité d’enregistrer les replays. Certes, des nouveaux contenus (payants) sont disponibles régulièrement (comme le tracé de Sebring cette semaine) ou annoncé (comme la Lotus 79 ou le Truck Nascar) mais je préférerais tout de même que le coeur du service soit bouclé une bonne fois pour toute (surtout que les lacunes listées -il y en a d’autres mais celles-ci sont vraiment les plus criantes- paraissent comme quasiment déjà faites… Qu’est-ce qu’on attend donc ?).
Ensuite, même si le « safety rating » (SR) joue son rôle « d’amortisseur de comportement », il y a encore trop de cas où se retrouve dehors à cause d’un abruti qui se comporte comme tel. Finalement, sur ce plan, rien ne vaut l’auto-discipline stricte qu’on trouve dans le cadre des bonnes ligues (mais où, en revanche, on est rarement nombreux au départ des courses…). Là, il est difficile de l’imputer comme un défaut du système (encore que le fait de perdre des points de SR également quand on est victime et pas seulement quand on est victime est quand même difficile à digérer…), il s’avère que le besoin d’une surveillance humaine n’est pas rendue inutile pour autant.
Un autre point qui est frustrant, c’est que les saisons sont longues (12 semaines), les courses nombreuses et que la façon dont le classement s’établit n’est pas encore limpide. Sur ce plan, l’accès aux statistiques et la possibilité de les trier est encore largement améliorable.
Le nombre de participants aux courses est satisfaisant au niveau des licences basses mais c’est déjà plus délicat dès qu’on grimpe d’un étage (logique et la situation devrait s’améliorer avec le temps). Du coup, ça arrive de courrir dans un cadre non-officiel (les résultats de la course ne vont pas être comptabilisés dans le championnat de la série en cours) parce que le quota n’est pas atteint (c’est d’autant plus dommage que c’est justement dans des courses « off » que j’ai eu mes deux victoires !). Il y a donc des séries qui sont plus populaires que d’autres et on sent bien que certaines séries sont en « test » et ne survivront sans doute pas la prochaine saison…
Le point que je trouve le plus frustrant finalement, ce sont les voitures !
Dans celles qui sont disponibles, il y en a certaines que je n’aime vraiment pas et, pas de veine, c’est surtout dans les « routières » qu’elles se trouvent…
Inutile de revenir sur le cas de la Pontiac Solstice qui est vraiment une punition (quelle mauvaise idée d’obliger à commencer par ce veau !) mais le cas de la Formule Mazda mérite un examen -critique- : voilà une monoplace qui est bien plus rapide (et moderne) que la Skip Barber mais où le feeling est dramatiquement absent (au contraire de la Skip Barber qui est délicate à mener mais qui « envoi » un feedback intense de façon permanente, un vrai régal !). Cette voiture offre bien trop d’appuis et présente des réactions trop vives pour que je puisse prendre le moindre plaisir à son volant. Pas de chance, la série en licence C se courre sur cette voiture alors que je pense que ce serait 10 fois mieux d’utiliser la Radical (un petit proto moderne mais qui lui présente un bon feeling).
Bref, quand je vais être promu en licence C (pour le volet routier), je pense que je vais continuer en Skip Barber parce que la Mazda est trop décevante. Là aussi, dommage qu’on ne puisse pas revendre les voitures achetées sur un « aftermarket », ce serait une démarche intelligente pour iRacing même si, dans un premier temps, cela occasionnerait une légère perte de revenus.
Du coup, pour le moment, iRacing est surtout un paradis pour ceux qui adorent les courses sur ovales (et c’est pas mal non plus, croyez-moi !). Donc, plutôt orienté public américain qu’européen. Je pense que ça va évoluer dans le futur car iRacing ne peut se contenter de cette niche. Le développement sérieux du volet « routier » se fera sans doute plus tard, une fois l’anchrage sur le marché domestique (US) bien assuré.
D’ailleurs, à ma grande surprise, j’ai de bien meilleurs résultats dans les courses sur ovales (avec le modèle « Late ») que sur circuits routier (avec la Skip Barber où j’ai encore du mal à entrer dans le top 5 régulièrement).
Un autre point gênant concerne les commandes. Le volant (j’ai un G25 Logitech) à retour de forces est géré de façon spectaculaire (même si mon SimCom n’est pas encore reconnu -Frex y travaille-, le feedback est extraordinaire) mais on ne peut pas en dire autant du pédalier… Il y a un gros problème au niveau de la pédale de freins qui 1) est bien trop sensible 2) pas réglable !
Et, comme si ça suffisait pas, il faut recalibrer le pédalier avant chaque session pour avoir un rendu potable. C’est super-frustrant et on se demande pourquoi il laisse cela en l’état alors qu’il suffirait d’ajouter une sensibilité réglable en % pour corriger ce défaut…
Le dernier point critiquable concerne l’ambiance globale : c’est vrai que c’est assez froid par rapport à ce qu’on trouve dans une ligue où tout le monde se connait plus ou moins. Les courses ont lieu et, le plus souvent, tout le monde se barre sans un mot après, sauf si c’est pour s’engueuler suite à un accrochage. Là aussi, ça va sans doute changer (en mieux) quand un cadre sera mis en place pour les ligues et clubs « privés » mais, pour le moment, c’est encore trop sur un mode « compétition/consommation ».
Voilà mon bilan subjectif et incomplet après 3 mois d’utilisation. En le relisant, je m’aperçois que ça parait vraiment sombre… N’allez pas en déduire que je reviens sur mes premiers jugements et que, tous comptes fait, iRacing n’est qu’une grosse arnarque !
Je le redis encore : cette simulation est -selon moi- au-dessus du lot sur bien des points (les plus importants, toujours selon moi). Les courses sont nombreuses et très disputées et le logiciel est très stable. Avec le temps, tout cela ne peut que se bonifier et je suis heureux de faire partie des pionniers.
Publié dans Sports mécaniques virtuels
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La marrade du jour !
Non, ce n’est pas les « têtes à claques » mais ça nous vient aussi du Canada…
Publié dans Ch'es grôle !
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Seconde édition des réseaux sociaux : dans les librairies le 3 octobre 2008
Encore une étape de franchie pour la seconde édition de mon livre « les réseaux sociaux » puisque j’ai reçu aujourd’hui même le premier exemplaire de cette ouvrage !
Le temps d’être distribué sur les points de vente et il sera disponible en librairie à partir du 3 octobre 2008. Prix public : 23 euros.
Sur cette photo, j’essaye de mettre en avant la mention « 2ème édition – actualisée et augmentée » parce c’est vrai !
Publié dans Mes livres
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11/09 : le point de vue de Guilietto Chiesa
Guilietto Chiesa est un député italien du parlement européen. C’est également un des auteurs du film « Zéro, Enquête sur le 11 Sept ». Voici ce que dit Chiesa sur l’inquisition qui règne actuellement à propos de cette question tabou :
A propos du 11 septembre : qui est le comploteur ? Celui qui accepte la version officielle, selon laquelle 19 inadaptés, guidés par un monsieur qui ne sait pratiquement rien de ce qu’ils sont en train de faire, et qui se trouve à une distance de 20 mille kilomètres, dans une grotte afghane, arrivent à réaliser 75 % de leurs objectifs (trois avions sur quatre) en tuant environ 3000 personnes et en semant la panique la plus totale dans la première et unique superpuissance mondiale ? Ou bien, celui qui ne croit pas à une telle fantaisie, ridicule et insoutenable version des faits, et demande, simplement, qu’on lui en donne une version plus crédible, correspondante aux données qui vont désormais s’accumulant depuis cinq ans et ne peuvent plus être démenties ?
…
Arrivé en ce point, le mainstream de l’information s’est tu, a menti, déformé les faits, intimidé, censuré en s’autocensurant, au point de contraindre à en conclure que s’il y a eu un complot, ça a été celui des grands médias d’information : pour empêcher que le vrai complot, officiel, soit découvert et dénoncé. Une colossale opération de détournement de l’attention a été accomplie et la tromperie est devenu un fait historique d’une puissance granitique telle qu’il ne peut plus être, je ne dis pas démoli, mais même rayé de la moindre ombre de doute.
…
Voici une courte vidéo où Chiesa parle de son film :
Publié dans La terrible vérité
5 commentaires
Pour comprendre la crise des « subprimes », la BD de la mort qui tue !
La crise financière actuelle est issue de la déconfiture des « subprimes »… Les « subprimes », c’est quoi d’abord au fait ?
Pas de problème, voici une BD sur PDF toute simple qui explique cela par le menu (l’origine de la BD est américaine mais les dialogues ont été traduit par Rue89.com) : subprimesrue89
On fois qu’on a vu cela, on a « tout » compris !
Edit du 10/10/2008 : cette vidéo (trouvée sur ECO89) où le rédacteur en chef du site américain Marketplace prend son crayon pour expliquer la crise financière aux internautes… Instructif !
Edit du 13/12/2008 : RUE89 persiste et signe !
Si vous avez eu la flemme de télécharger et de lire le pdf évoqué, voici la version en vidéo, minimaliste mais toujours aussi drôle et bien fait !
Publié dans La terrible vérité
8 commentaires
Voir la vidéo de ma récente conférence…
Jeudi dernier, je participais à la conférence de lancement de la seconde édition de mon livre « les réseaux sociaux ». Si vous n’avez pu venir (il y avait une cinquantaine de personnes présentes donc, oui, il y a des chances que vous fassiez partie de celles et ceux qui n’avaient pu venir…), voici une seconde chance : la vidéo presque complète de la cette conférence.
Il manque toute la partie questions/réponses et débat mais voilà : en ces temps de crise, on ne peut pas tout avoir n’est-ce pas (humour douteux… OK, je sors) ?
à voir sur http://www.cluster21.com/video/video_des_6emes_rencontres_m21_les_reseaux_sociaux
Publié dans Mes livres
7 commentaires
Connaissez-vous le « codex alimentarius » ?
Quand j’ai visionné cette vidéo pour la première fois, j’ai pensé « ‘c’est quoi ce délire ? » et puis j’ai fait quelques recherches basiques : on trouve la fiche wikipedia du codex et même le site officiel…
Maintenant, à vous de vous faire une idée…
Publié dans La terrible vérité
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Drôle de soirée à Hockenheim !
Hier soir, reprise du championnat Master Serie, GP79 sous Rfactor avec des courses qui représentent un vrai challenge : 100% de distance, 100% de dégats !
Nous n’étions que quinze au départ mais pour des épreuves aussi difficiles, c’est déjà beau d’arriver à attirer un plateau de qualité et c’est à Guillaume Siebert (surnommé « Bernie »… devinez pourquoi !) qu’on doit cette perf. Je fréquente assez le petit monde du simracing pour apprécier la performance à sa juste mesure.
En plus d’organiser ce très beau championnat, Guillaume est un pilote rapide et sûr : hier soir, il signa la pôle position mais n’en profita pas… Mortifié par son erreur au départ (il avait oublié de programmer le tour de formation et, du coup, le départ surpris tout le monde !), il s’est déconcentré et ne pu franchir la première chicane.
Car c’est là la première des conditions pour réussir dans ces courses : rester concentré sur son pilotage de la première à la dernière seconde. Il y a d’autres conditions (comme ne rien oublier dans la préparation de sa voiture : ni la quantité de carburant nécessaire -à condition de l’avoir calculé !- ni de régler les ouvertures -radiateur et freins- pour que le refroidissement permette à la voiture d’aller au bout) mais celle-ci, c’est vraiment la plus dure.
C’est pour cette raison que je suis particulièrement satisfait de ma course d’hier soir : alors que je déteste ce tracé, j’ai réussi à me maintenir à la 3ème place à 4 tours de l’arrivée. Un beau podium alors ?
Hélas non : un pb réseau m’a déconnecté à ce moment-là alors que je commençais à savourer ce résultat bien mérité (c’est comme ça, les déconnection font partie des aléas contre lesquels on ne peut rien). Mais ma légitime déception était très atténuée par le fait que j’étais vraiment satisfait par mon comportement tout au long de ces 41 tours (la course en faisait 45) : pas une seule erreur, rien à me reprocher !
C’est l’objectif que je me fixe avant chaque départ mais c’est rare que j’y arrive. C’est pour cela que j’étais particulièrement satisfait. La bonne attitude sur le plan mental (concentré, déterminé et assuré dans ses gestes) est plus difficile à obtenir qu’il n’y parait car vous êtes sous pression pendant chaque instant…
Ainsi, hier soir, j’ai passé le premier quart de la course à lutter avec Johnny Martens. C’était une lutte à distance, chacun avec un oeil sur l’écart… J’adore ce type de bagarre car le mental y joue un grand rôle. Cela fait désormais plus d’un an que je cours avec Johnny dans les championnats GP79 et je sais combien il peut être « vite » et c’est donc une grande satisfaction de pouvoir lui résister. Finalement, il abima sa voiture et ne représenta plus une menace (mais il parvint à terminer sa course).
C’est la loi de ce type d’épreuve : il faut être rapide pour avoir sa chance de figurer parmi les mieux classés mais c’est tout de même moins important que d’être fiable et d’être capable de terminer.
Pour cela, il faut être capable de laisser filer les plus rapides pendant les premiers « chapitres » de la course, il suffit d’être encore là pendant la conclusion pour être systématiquement bien classé. C’est pour cela que je n’étais pas inquiet de ma médiocre qualification (seulement 9ème temps sur 15, même en ayant amélioré mon meilleur chrono sur ce circuit) car j’étais très content de ma voiture en conditions courses (réservoir plein et pneus tendres).
Garder sa concentration est primordiale, même quand l’imprévu s’en mêle. Et c’est ce qui est arrivé à mon coéquiper Stéphane Fauries (Taz). Taz a été très surpris par le vrai-faux départ et a laissé filer pleins de concurrents pendant le premier tour, croyant encore qu’il s’agissait seulement du tour de formation… Une fois qu’il eu réalisé sa méprise, c’était trop tard : position et concentration envolée, il ne lui fallu que quelques tours pour achever de gâcher sa soirée en se sortant.
Pourtant, Taz est bien plus rapide que moi : même sans entrainement, même avec un setup bancal, il arrive toujours à signer des meilleurs chronos que moi lors des essais.
Je sais aussi que Stéphane Lebourhis est également bien plus véloce, j’ai pu m’en rendre compte à de nombreuses reprises mais, hier soir, cela ne lui a pas servi (éliminé mais je ne sais pas encore pourquoi). Cela a bien profité à son frère Alexandre qui signa ainsi sa première victoire parmi nous au volant de la seule Renault RS11 en course hier soir (mais je pense que si Othmane avait été présent, il aurait atomisé tout le plateau…).
Bravo à Franck Labédan qui a réussi à terminer (et qui a récupéré ma 3ème place du coup). Je suis particulièrement heureux de voir que Franck a trouvé le moyen de boucler une épreuve complète car c’est un vrai challenge, quelle que soit votre place à l’arrivée et je souhaite que Thierry Cassagne y parvienne lui aussi très vite.
Nous participons à ces courses pour ces moments-là : une intense satisfaction d’avoir réussi « quelque chose ». Et, croyez-moi, quand vous parvenez à maitriser ces voitures pendant 1H30 (tout en se bagarrant avec les autres), vous ressentez une gratification qui vous paye largement des efforts consentis.
Le SimRacing peut être aussi intense que la vraie course, j’en témoigne !
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Le point sur le 9/11
Nous venons de passer le 7ème anniversaire de cet événement majeur. Force est de constater que la thèse officielle ne s’est toujours pas effondrée et reste la version de référence pour la plupart des gens…
Voici un court résumé des différentes hypothèses sur ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 :
#1 – L’histoire officielle : Oussama Ben Laden est le responsable, du détournement des avions par dix-neuf fondamentalistes musulmans, la Maison Blanche n’ayant reçu aucun avertissement
#2 – La théorie de l’incompétence :
Accepte l’histoire officielle mais blâme la Maison Blanche, le FBI, la CIA, la NSA et les autres, pour ne pas avoir suivi les nombreux avertissements. C’est la ligne prise, avec une énorme affaire de dissimulation et de changements de direction, dans le rapport de la Commission sur le 11/9.
#3 – LIHOP (« Laissons-les Arriver au But » ) :
Il y a un certain nombre de variations sur celle-ci. Il y est principalement sujet de la manière dont les factions des autorités usaméricaines et le secteur privé se rendaient compte des plans des pirates de l’air mais n’ont rien fait pour les arrêter, puisque le 11/9 était en conformité avec les objectifs politiques.
#4 – MIHOP (« Les faire arriver au but ») :
Les autorités US ou des forces privées ont projeté et effectué les attaques.
Cependant, afin que vous puissiez faire évoluer votre opinion (ou la conforter), voici quelques documents à télécharger issus des sites spécialisés sur la question. Comme ces derniers sont nombreux, je me suis dit qu’un petit travail de sélection pourrait être utile…
# 11 Septembre: dossier rouvert à Genève – TRIBUNE DE GENÈVE du MARDI 12 FEVRIER 2008 tribune_geneve_12_02_08
# Pourquoi en fait les bâtiments du World Trade Center se sont-ils complètement effondrés ? – article de Par Dr. Steven E. Jones Physicient et Archaeometrist quelle-est-la-cause-reelle-de-l-effondrement-du-world-trade-center
# l’Interview surréaliste de lee Hamilton, vice-Président de la commission d’enquête sur le 9/11 – Émission de CBC canada le 21 août 2006 l-interview-surrealiste-de-lee-hamilton-vice-president-de-la-commission
# Le 11 septembre était-il un travail d’initié ? – Par Kim Bredesen, Le Monde diplomatique, édition norvégienne, Oslo, juillet 2006. le-11-septembre-etait-il-un-travail-d-initie
Il y a bien sûr beaucoup d’autres documents disponibles (présentations, articles et vidéos) sur différentes sites mais je pense que ces quatre là sont déjà largement suffisant pour se faire une idée… à condition de bien vouloir faire un effort afin de s’informer correctement sur un événement déterminant pour notre temps.
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Bayliss sur la route d’un exploit unique
Troy Bayliss est désormais toutes les chances d’être à nouveau champion du monde Superbike à la fin de la saison. Ce sera son 3ème titre dans cette discipline mais, même si la performance est déjà remarquable, ce n’est pas sur ce point que ce situe son exploit.

En effet, que ce soit en Superbike ou ailleurs, on a déjà eu de nombreux champions dans les sports mécaniques qui ont été couronnés plusieurs fois, voire même plusieurs fois de suite (comme Schumacher ou Rossi). Non, l’exploit de Bayliss est unique parce qu’il va se retirer alors qu’il sera le champion en titre.
Prendre sa retraite au faite de sa gloire, voilà qui n’est effectivement pas commun !
Encore mieux, on sait depuis le début de la saison que ce sera la dernière de Troy, champion ou pas, la retraite était annonçée dès le commencement du calendrier des épreuves 2008.
Croyez-le ou pas mais c’est en fait la toute première fois qu’un champion arrive à réaliser cette exploit : se retirer sur un titre tout en l’ayant annonçé à l’avance. On pourrait me rétorquer qu’il y a eu des précédents mais aucun ne résiste à l’examen :
– Jackie Stewart se retira à la fin de la saison 1973 avec le titre en poche mais il avait gardé sa décision secrête jusqu’au tout dernier grand prix.
– Alain Prost se retira à la fin de la saison 1993 avec le titre en poche mais c’est une retraite forçée : Williams l’a poussé dehors pour faire de la place pour Senna.
– Schumacher avait annonçé que la saison 2005 serait sa dernière mais il échoua dans la conquête du titre cette année là… Et ainsi de suite. En moto, c’est pareil, on trouve de nombreux champions très titrés mais aucun qui sut éviter « la saison de trop » avant la retraite.
Cette performance unique de Troy Bayliss lui permet de rejoindre un cercle très étroit des champions ayant réussi un exploit sans précédent. Intéressons-nous à ces cas spéciaux…
– John Surtess : le seul à avoir réussi à triompher aussi bien sur deux roues (plusieurs fois champion du monde en 500cc) que sur deux roues (champion du monde de F1 en 1964).
– Graham Hill, le seul pilote à avoir coiffé la mythique « triple couronne » : vainqueur aux 24h00 du Mans (1972), aux 500 miles d’Indianapolis (1966) et plusieurs fois champion du monde de F1 (son dernier titre en 1968). Peu de pilotes ont pu s’approcher de cette triple couronne… Citons Mario Andretti, champion du monde de F1 en 1978 et vainqueur d’Indianapolis en 1969 mais qui échoua au Mans plusieurs fois (second tout de même en 1995) ou Jacques Villeneuve qui court encore après une victoire au Mans pour compléter son succès à Indy (1995) et son titre en F1 (1997).
– Vic Elford et Gérard Larrousse, tous deux vainqueurs de courses sur circuits comme d’épreuve de rallyes (une polyvalence qui devient rare et qui met encore plus en valeur le potentiel de Sébastien Loeb qui semble capable de faire aussi bien).
Un dernier mot sur John Surtess que j’ai pu interviewer à Montléry pour les « coupes de l’age d’Or » en 1982. Il avait remporté les 24heures du Mans dans les années 60 et il ne lui manquait plus que les 500 miles pour coiffer cette triple couronne en plus de son exploit à lui (champion auto et moto). Il me raconta alors qu’il devait piloter la Lola avec laquelle Graham Hill triompha sur le « brickyard » en 1966 mais que le pilote anglais à fines moustaches le remplaça aux pieds levés après que John se soit blessé dans une épreuve de la Can-Am quelques semaines avant… Un clin d’oeil du destin ou un hola des dieux qui ne voulaient pas que trop d’honneurs récompensent une même tête ?
Publié dans Sport-auto
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Avez-vous le « cerveau en marche » ?
Je m’aperçois que je ne suis pas le seul à m’interroger sur la baisse général du niveau : la société s’enfonce, la culture se délite, le respect disparait, etc.
Voici le blog d’un « jeune adulte » (comme il se définit lui même) avec cette interrogation fondamentale « quel avenir pour nos enfants ?« . En connaissez-vous d’autres dans le même ton ?
Publié dans La terrible vérité
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Devenir un auteur professionnel – partie 1
Ce matin, je vais vous dévoiler mon mabition et ce qu’elle implique : je veux devenir un auteur professionnel. Cela veut dire que je veux écrire des livres, ne faire que cela et en vivre !
Bon, dit comme cela, ça apparait clairement comme une ambition élevée… Quel est le ratio entre ceux qui écrivent (quel que soit le support mais je préfére parler de livres) et ceux qui sont effectivement rénumérés ?
Une infime fraction, certainement.
Etre publié à toujours été difficile (ça l’est toujours aujourd’hui) mais il est encore plus difficile d’être diffusé, lu et payé en plus. D’autant plus que le monde de l’édition est en pleine crise : d’un côté, les gens lisent de moins en moins (les quotidiens sont en baisse et seuls les magazines merdiques connaissent un lectorat en hausse… et c’est encore bien pire pour les « vrais livres » -qu’ils soient sur papier ou non-, ça situe le malaise), d’un autre côté, l’offre explose, il n’y a jamais eu autant de nouveaux livres qui sortent sur les rayons (des librairies ou des sites).
Donc, cette double tendance fait qu’on se retrouve dans un marché très tendu : le risque pour les éditeurs est important sur chaque nouveau titre. On peut penser que les éditeurs ne prennent pas assez de risques mais c’est faux : ceux qui en prennent sont vite douchés au bout de 2 ou 3 flops… Une fois que vous avez « mangé votre chemise », vous n’en avez plus !
Et vous laissez les autres prendre des risques à leur tour…
Bref, la difficulté pour devenir un auteur pro reste toujours aussi grande même si je ne crois pas que ce soit la faute du « système ». Visez une position « marginale » présente forcément des difficultés. Ce qui est amusant, c’est que cette ambition de devenir un auteur pro présente bien des similitudes avec celle que j’avais étant enfant : devenir pilote de course (je raconte cela en détail dans « Racing« …).
En effet, l’apprenti pilote doit arriver à participer à quelques courses pour prouver qu’il a la capacité d’aller vite ET de rester sur la piste. Cette capacité (et la volonté de s’en servir), on appelle cela « le talent ». Mais le talent ne suffit pas, il faut aussi pouvoir le montrer, gagner quelques courses et se faire ainsi remarquer.
Une fois que vous avez été « remarqué », vous pouvez commencer à « faire partie du système », vous participez régulièrement à des compétitions mais cela ne fait pas encore de vous un pilote de course professionnel, loin s’en faut !
C’est qu’ils sont nombreux ces pilotes qui courrent pour rien (voire même qui payent pour cela) et ceux qui sont payés pour rouler sont vraiment rares : ils représentent la véritable élite de ce petit milieu.
Cette élite est un cercle difficile à atteindre et où il est délicat de se maintenir. J’ai pu mesurer tout cela dans mes expériences précédentes (toujours relatées dans « Racing« ) et je peux aujourd’hui encore le vivre par procuration à travers les évolutions de Soheil Ayari (qui a encore gagné dimanche dernier à Albi), un pilote de course pro que je connais depuis 2000.
(la suite dans un prochain billet… « faut faire plus court » qu’on m’a dit, c’est « plus facile à lire » qu’on m’a dit…).
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Mon roman de SF « Perdu dans le temps » : N°1 des ventes !
Bon, n’exagérons rien… Certes, « Perdu dans le temps » est bien N°1 des ventes actuellement mais seulement dans la catégorie SF et seulement pour les ce qui est des ebooks au format mobipocket (lisible avec le Cybook par exemple).
Ce classement est consultable sur cette page et j’ajoute ci-dessous la capture d’écran (au cas où ça changerait !) :
En plus, je commence à recevoir des témoignages sympas de lecture de ce livre qui prennent contact avec moi par email via ce blog ou via Facebook. Voici le dernier en date :
Bonjour,
Tout d’abord je voudrais vous dire merci et bravo pour votre livre « Perdu dans le temps » ! Je l’ai acheté en ebook sur Mobipocket et je l’ai dévoré en le lisant sur mon téléphone (je cherchais depuis longtemps un bon bouquin pour tenter l’expérience ebook !).
Etant fan de voyage dans le temps (la trilogie « Retour vers le futur » étant mon film culte!), donc j’ai sauté sur l’annonce de sa sortie sur Mobipocket !
Concernant le scenario, j’ai bien aimé la trame de l’histoire (rêvant moi même de trouver une machine à voyager dans le temps 😉
En plus je me suis même trouvé quelques similitudes avec Vincent Tria : mon amie s’appelle Régine, j’ai aussi une très bonne amie qui s’appelle Nathalie, mon compte en banque (entre autre) est à BNP Paribas……et comme vous je suis un passionné de Formule 1 (même si ces temps-ci le manque d’action/spectacle me déplait beaucoup…..). J’ai trouvé très sympathique le dénouement, ça me rappelle d’ailleurs un peu un autre bouquin que j’ai lu mais dont je ne me rappelle plus le titre (!). Vous le connaissez peut-être, le héros était en fait un policier dans une compagnie de voyages dans le temps.Sinon, avez-vous prévu une suite ou une autre histoire dans le même thème en préparation ?
Cordialement
Jean-Paul Rondof
J’ai bien sûr répondu à Jean-Paul que le tome II était déjà dans ma tête (mais pas encore sous forme de projet en cours… Espérons que cela ne tardera plus trop désormais).
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Conférence de lancement de mon livre « les réseaux sociaux II » le 11 septembre à Paris
Je ne suis pas souvent présent à Paris alors, quand j’y vais, autant l’annoncer !
Donc, mon éditeur (M21) organise cet « événement » dans le cadre de ses rencontres mensuelles :
A 18h30, 151 rue Montmartre – 12 galerie Montmartre dans le 2e arrondissement de Paris (à la cantine), rencontres suivi d’un coktail pour continuer à échanger sur le sujet du jour.
– Les Réseaux Sociaux : De Facebook aux Intranets, l’émergence des applications Peopleware, le 11 septembre 2008 à 18h30
Si vous aviez envie de me rencontrer et d’échanger avec moi sur ce sujet (ou d’autres !), c’est le moment…
-edit du 01/08/2008- Pour compléter cette information, voici deux communiqués de presse (diffusé par mon éditeur) : le premier sur le livre lui-même et le second sur la conférence :
Les Réseaux Sociaux
De Facebook aux nouveaux Intranets, la généralisation des réseaux sociaux
Alain Lefebvre, dessins de Fix
Paris, le 1er septembre 2008,
Aujourd’hui, 490 millions d’inscrits utilisent les réseaux sociaux dans le monde et déjà plus de 16 millions en France. Leur utilisation s’est généralisée et maintenant ils vont servir de base aux nouveaux Intranets professionnels.
L’OUVRAGE
Le domaine des réseaux sociaux a connu une évolution rapide que l’auteur avait déjà anticipée dans une première version de ce livre publiée en 2005. La version actuelle du livre détaille l’univers des réseaux sociaux d’aujourd’hui ainsi que les changements majeurs récents que ce soit au niveau des sites utilisés que de leurs nouveaux usages innovants.
Au-delà de cela, l’auteur démontre qu’après avoir changé le Web grand public – le Web 2.0 -, les réseaux sociaux vont être utilisés dans les entreprises et initier un changement profond sous la forme d’une nouvelle vague d’applications centrés sur l’utilisateur, applications pouvant être qualifiées d’applications Peopleware.
Ces applications peopleware apporteront les bases qui justifient les Intranets des entreprises : informations pertinentes, connaissance des compétences disponibles, motivation, organisation du travail…
Parution livre : 26 septembre 2008
Prix : 23 €
Format : 16×23
200 pages
ISBN : 2-916260-31-5
6ème rencontre mensuelle des métamorphoses du 21ème siècle par M21 Editions
Les Réseaux Sociaux
Avec Alain Lefebvre et Yann Mauchant
De Facebook aux nouveaux Intranets :
la généralisation des réseaux sociaux
Jeudi 11 septembre 2008 à 18H30 à La Cantine
Paris, le 1er septembre 2008
M21 Editions annonce une conférence sur les réseaux sociaux en partenariat avec l’association des entreprises high-tech parisiennes, Silicon Sentier et la FING, Fondation Internet Nouvelle Génération, dans le nouvel espace de rencontres destiné aux start-up parisiennes : La Cantine, 151 rue Montmartre – 12 galerie Montmartre dans le 2e arrondissement de Paris.
A l’occasion de la sortie du livre Les Réseaux Sociaux, l’auteur et spécialiste des réseaux, Alain Lefebvre, montrera comment le succès actuel des réseaux sociaux, Facebook en tête, montre la voie à de nouveaux usages personnels, en entreprise et également à de nouvelles bases d’Intranets. L’auteur démontre qu’après avoir changé le Web grand public – le Web 2.0 -, les réseaux sociaux vont être utilisés dans les entreprises et initier un changement profond sous la forme d’une nouvelle vague d’applications centrés sur l’utilisateur, applications pouvant être qualifiées d’applications Peopleware.
Alain Lefebvre a été co-fondateur de SQLI (passée de 4 à 700 personnes) puis chroniqueurs et consultant NTIC puis fondateur de 6nergies, l’un de ces nouveaux réseaux sociaux, ce qui lui apporte une vision de l’intérieur de ce phénomène.
Yann Mauchant, ancien country manager France de Xing (ex OpenBC) après avoir été VP International Lagardère Active à Paris, Beijing, Taipei et VP Online Publishing de Grolier Interactive, Club-Internet illustrera cette thématique de sa longue expérience des réseaux. Yann Mauchant est actuellement CEO de Mutual Benefits.
Cette conférence fait partie d’un cycle de rencontres mensuelles des métamorphoses du 21ème siècle organisées par M21 Editions dont le « menu » est conçu par l’audience, la discussion est orientée par les personnes présentes souhaitant faire évoluer la thématique vers des problématiques très concrètes, très « business » ou très prospectives, c’est pourquoi elles sont appelées « Vous-Conférence ».
AVANT la conférence, les participants peuvent envoyer leurs demandes de sujets, thématiques… à l’adresse info@cluster21.com,
PENDANT la conférence, ils font évoluer la discussion en posant directement leurs questions,
APRES la conférence, un cocktail est offert par M21 Editions et Silicon Sentier et les intervenants continuent à échanger avec les personnes intéressées autour de petites tables dédiées.
L’entrée est libre pour tous ceux qui s’intéressent à ces sujets.
Le site des rencontres : rencontresm21.cluster21.com
Contact éditeur
M21 Editions
Malo Girod de l’Ain
Tel: +33 1 72 74 71 78- Fax: +33 1 72 74 73 78Email: malo@m21editions.com
Site : www.m21editions.com
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à propos du réchauffement climatique, un contrepoint surprenant mais intéressant…
J’ai découvert ce documentaire tout à fait par hasard… Mais je suis resté scotché en le regardant !
Lien direct vers cette vidéo => http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758&hl=fr
De quoi s’agit-il ?
D’un documentaire anglais « The Great Global Warming Swindle » (voir la fiche wikipedia sur ce documentaire) qu’on peut traduire par « la grande fraude au réchauffement global ». L’argument principal de ce film n’est pas de nier qu’il y ait un réchauffement climatique mais que la cause de celui-ci n’est PAS le CO2 !
C’est assez surprenant puisque tout ce qu’on entend depuis des années c’est que justement ce réchauffement est causé par les gaz à effet de serre et au CO2 en premier lieu (ce n’est pas le gaz à effet de serre le plus efficace mais c’est celui qui est produit en plus grand volume…). Cette « évidence » est rabâchée sur tous les tons partout et, en particulier, dans le fameux film d’Al Gore « une vérité qui dérange » (que vous avez vu, bien entendu… non ?).
Bref, ce documentaire plutôt bien tourné vient nous dire « non, le focus sur le CO2 est une grande arnaque au service du nouveau business écologique »… Un peu rude !
Ceci dit, pour rester objectif, il est bon d’entendre tous les sons de cloche, y compris ceux qui sont discordants avec l’ambiance générale. Je ne dirais pas que je suis convaincu et retourné par ce nouveau film mais il y là matière à réflexions et à vérifications.
Attention, il ne s’agit pas de dire « finalement, tout cela n’était que de la daube, on peut se remettre à gaspiller joyeusement ! » et ce n’est d’ailleurs définitivement pas le message de ce documentaire. Les ressources naturelles sont effectivement en train de se raréfier et notre comportement de consommation/prédation ne peut durer toujours, c’es clair. En revanche, il me parait particulièrement intéressant d’identifier la propagande quand le discours ambiant s’apparente à de la pensée unique.
Pour juger, il faut regarder cette vidéo… Ce que je vous invite à faire maintenant. De mon côté, je vais essayer de vérifier quelques données afin de mesurer la crédibilité qu’on peut accorder à ce film… Et j’aimerais bien avoir l’avis de JM Jancovici là-dessus !
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Prochain livre : l’étape du maquettage
La sortie de mon prochain livre (la seconde édition de « les réseaux sociaux ») approche et le processus s’accélère : voici le retour du maquettage.
Dernièrement, après avoir validé les corrections, j’ai renvoyé le tout à l’éditeur pour que ce dernier fasse procéder au maquettage. La mise en page, c’est comme la correction, c’est un vrai métier !
Donc, voici un aperçu du résultat :
Bientôt, je vais pouvoir vous préciser la date de sortie officielle… Avec une surprise à la clé !
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Découverte de MacJournal
Grâce à Philippe Niewbourg, j’ai découverte aujourd’hui MacJournal…
Ce logiciel de saisie de texte (on ne peut pas vraiment parler de traitement de texte) propose une fonction vraiment géniale : le mode plein écran…
Avec ce mode, tout le reste de l’environnement habituel de votre Mac disparait… Ne reste plus que la page que vous êtes en train de rédiger !
Vous pouvez choisir l’aspect de cette page comme vert sur noir (façon terminaux à l’ancienne) et autres mais, surtout, cette fonction permet de se concentrer sur ce qu’on est en train d’écrire puisqu’on a virtuellement effacé toutes les distractions qui entourent la zone de travail : menus, alertes, autres applis, icones, etc.
MacJournal est une application Mariner Software.
Tout de même, le fait que la fonction que je trouve la plus intéressante dans ce petit logiciel soit justement le mode « je-ne-veux-plus-aucune-distraction » en dit long, selon moi, sur l’état où nous en sommes arrivés…
Je m’explique : dans nos pays riches, nous vivons à l’ère de l’abondance et du trop plein (l’un va-t-il forcément avec l’autre ?). Nous avons tellement de choses et de stimulations autour de nous que nous n’arrivons plus à nous concentrer.
Nous sommes tellement habitués à travailler avec la musique ou la radio que nous ne nous rendons même plus compte quand cette dernière finit par nous donner mal à la tête !
Et ainsi de suite, nous sommes saturés, tout simplement. Alors, quand un simple logiciel nous permet de revenir dans un stade où la simplicité (ou l’apparence de simplicité) est mise en avant, nous sommes séduits.
Si on pouvait vendre du silence, de la quiétude, de la sérénité, je pense que les gens acheteraient en masse !
Je me demande s’il n’y a pas là une tendance qui va se révéler et grandir. Après le « toujours plus », voilà venir enfin le « enfin moins » ?
Publié dans La terrible vérité
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L’effet TV mesuré en direct !
Le 20 août après-midi, M6 a diffusé un téléfilm en deux parties sur Maria Montessori « une vie consacrée aux enfants » (una vita per i bambini)… Suite à cette diffusion, la fréquentation de notre site www.montessori.fr (le principal site en français sur la question, animé par ma femme depuis 1995… Cet ancienneté explique aussi pourquoi son site est N°1 sur le sujet) a été multipliée par 10 et nous n’avons jamais vendu autant de livres+CD en une seule journée !
Preuve s’il en était besoin de l’influence des médias de masse sur la découverte d’un site à l’occasion d’une diffusion, même quasi-confidentielle (l’heure choisie n’était pas très favorable).
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Le livre de Gérard Crombac « en première ligne »
Je viens de lire « Mes 578 Grands Prix. » par Gérard « Jabby » Crombac (voir aussi l’article que lui a consacré « mémoire de stands », un excellent blog sur le sport-auto).
L’homme qui a assisté au plus grand nombre de Grands Prix de F1 raconte sa passion à travers cet ouvrage !
» Je suis parvenu au crépuscule de ma carrière en accumulant tant de souvenirs merveilleux que j’ai voulu en faire profiter les lecteurs qui m’ont suivi au cours de ces années ».
Ce livre est un condensé de souvenirs incomparables !
Il faut dire que Jabby a tout vu, tout vécu et qu’il a été le témoin privilégié d’à peu près toutes l’histoire moderne du sport automobile. Je recommande donc chaudement ce livre que j’ai commandé à la « librairie mécanique » et reçu deux jours après (bravo !). Et vu les trésors qui s’accumulent dans cette librairie, il plus que probable que je vais commander de nouveau depuis cette source…
Pour en revenir à Crombac, le comble c’est que c’était un personnage que je n’appréciais pas du tout… En effet, je prenais son parti-pris pour Lotus pour un dogmatisme absurde (Lotus ne m’a jamais paru mérité un pareil favoritisme). Son livre ne m’a pas fait aimé Crombac par miracle (il révèle même quelques aspects contestables de son activité passée mais, au moins, il est honnête) mais son livre vaut vraiment le coup pour chaque vrai passionné de sport-auto (bien qu’un peu cher).
Cela ma fait penser qu’en plus de mes livres sur la Porsche 917, j’ai pas mal d’ouvrages sur le sport-auto qui dorment sur mes étagères et je devrais en faire une petite critique ici même (les livres à avoir et ceux qu’on peut éviter).
Publié dans Livres, Sport-auto
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Les aspects négatifs de iRacing
Je suis devenu un fan d’iRacing depuis fin juin 2008. Mais l’irruption de cette nouvelle simulation de course auto ne fait pas que des heureux… Les critiques sont très vives sur les forums francophones !
Je me propose ici de récapituler la plupart des aspects objectivement négatifs de cette solution afin que les hésitants puissent se faire une idée en connaissance de cause…
Il ne s’agit pas ici de se répandre en imprécations furieuses comme je l’ai trop souvent lu sur des forums (et, le plus souvent, de la part d’excités qui n’avaient même pas testé iRacing…) mais plutôt de faire la part des choses afin que le débat se déroule sur de bonnes bases.
Mais, avant cela, un petit rappel est utile :
==
iRacing est la nouvelle simulation de course automobile qui fait son entrée sur le marché cet été (beta-test depuis mars 2008, lancement officiel le 26/08/2008).
Cette fois, il ne s’agit pas d’un simple jeu vidéo plus sophistiqué et plus délicat à piloter que GTA ou autre, il s’agit d’une vraie simulation reprenant fidèlement le tracé des vrais circuits et modélisant des vrais voitures.
Mais l’originalité de iRacing vient du fait que cette simulation s’accompagne d’un environnement de compétition inédit avec des licences et des points de sécurité en plus des classiques championnats online. On peut dire qu’il s’agit de la première tentative sérieuse de reproduire la plupart des facettes de la course autombile à travers une application Internet.
Voir à http://en.wikipedia.org/wiki/IRacing
Et ce lancement n’est pas une tentative timide d’une start-up sans référence : il s’agit du retour de Dave Kammer (le créateur de Grand Prix Legend et de Nascar 2003) qui a réussi a rassembler les grands moyens pour cette nouvelle aventure !
L’investissement dans iRacing se monterait à plusieurs dizaines de millions de Dollars…
Ce retour de Kammer dans l’arène de la simulation se fait en proposant un business-modèle inédit dans ce secteur : la location au mois plutôt que l’achat « sec » du logiciel. Cette formule est bien connue dans de nombreux secteurs du jeux vidéo (avec des succès mondiaux comme World of Warcraft) mais n’avait pas encore été essayé sur des applications de simulations sportives.
L’accueil d’iRacing a été très bon alors que l’accès est encore réservé à quelques « invités ». On peut prévoir que le succès sera massif dès que le service ouvrira ses portes au « grand public ». Le succès médiatique de iRacing est déjà en cours puisque des grands noms du sport auto US s’affichent déjà comme des pratiquants enthousiastes.
Le succès public va suivre logiquement car iRacing n’est pas qu’un logiciel, c’est un environnement de compétitions qui n’a pas son équivalent.
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Voilà pour le rappel du contexte.
Maintenant, voyons les aspects négatifs car il y en a…
1- tout est en anglais
L’interface de iRacing est entièrement en anglais. La documentation pratique est maigre alors que le « sporting code » (les règles du jeu en quelques sortes…) est un document PDF assez conséquent, le tout en anglais. Il est douteux que tout cela soit traduit rapidement dans les différentes langues des marchés visés (ça n’est pas annoncé sur le forum officiel, canal officiel d’informations et d’échanges entre iRacing et ses clients).
Moi, ça ne me gêne pas (que tout soit en anglais) mais je comprend que ça peut en rebuter quelques-uns…
Cette question de l’anglais n’est pas anecdotique : l’audience de iRacing est très internationale et l’anglais y est la langue naturelle… Si vous n’êtes pas capable de vous exprimer en anglais, comment allez-vous converser avec les autres pilotes ?
2- on paye au mois
La possibilité d’utiliser iRacing est lié au paiement d’un abonnement mensuel. Arrêtez de payer et vous n’avez plus accès au logiciel, point !
C’est très différent d’acheter un programme sur CD/DVD (ou à télécharger) une fois de l’installer et de s’en servir comme bon vous semble et quand vous voulez…
Aujourd’hui, l’abonnement mensuel est à $13 (soit moins de 10 euros ou encore moins selon les fluctuations du cours des monnaies) mais rien ne garantit que cela ne va pas augmenter à l’avenir (ne serait-ce que si le $ remonte…).
C’est clair que ce n’est pas le même prix qu’un achat « sec » une seule fois et là, c’est surtout la perception du prix qui va jouer… Ceci dit, cet abonnement peut aussi baisser ou rester stable, il est difficile de s’avancer sur ce domaine.
Tout ce qu’on peut en dire, c’est que ce mode de paiment est déjà l’oeuvre dans de nombreux jeux en ligne dit « massivement multi-joueurs » comme World of Warcraft ou d’autres. Ces applications ont tout intérêt à faire croitre leur base de joueurs (et donc ne s’amusent pas trop à « jouer sur le prix de l’abonnement ») puisqu’on est là dans un mécanisme typique de réseau social => le monde appelle le monde, plus il y a de joueurs actifs et plus il y en aura. La masse d’abonnés représente la meilleure forme de « contenu » qui soit : c’est la garantie que vous allez trouver des adversaires de votre niveau pour la course que vous avez choisi…
A ce niveau, la masse fait toute la différence et c’est, in fine, bien cela qu’on « achête » : le droit de rejoindre une communauté dense et diversifiée.
3- il faut acheter les voitures & circuits supplémentaires
Non seulement il faut payer tous les mois mais, en plus, il faut aussi systématiquement payer si on veut élargir le package de base « voitures/circuits » !
En effet, vous ne disposez au départ que de deux voitures (une pour les épreuves sur circuits routiers et une autre pour les courses sur circuits ovals) et de quatre circuits.
Si vous obtenez votre licence de niveau « D » (le niveau juste après le stade « rookie ») et que vous voulez disputer le championnat qui se courre avec les petites monoplaces Skip Barber, il faut alors acheter la voiture ($15) et les circuits nécessaires (de $15 à $20 selon les tracés).
Ce côté « il faut passer encore et encore au tiroir-caisse » est assez déplaisant. Que ce soit sur le principe ou parce qu’on trouve que les circuits/voitures sont chers, c’est clairement un des aspects répulsifs d’iRacing.
4- le système de « security rating » peut être frustrant…
Pour progresser, il faut une bonne connaissance et compréhension du fonctionnement du système de points qui gouverne le « security rating » (ce ratio est déterminant pour l’obtention des licences permettant de s’aligner dans les différents championnats organisés par FIRST, l’organisme sportif mis en place par iRacing).
En effet, l’environnement de compétition qui est proposé (et qui est le seul moyen d’utiliser effectivement cette simulation) peut apparaitre comme complexe, rigide et générateur de frustration s’il n’est pas présenté et expliqué de manière adéquate.
Le principe du SR (« security rating », votre « note de sécurité ») est bon mais son application peut parfois être frustrante : si vous êtes percuté par un concurrent lors d’une course, vous allez perdre 4 points sur votre SR comme lui… Alors que vous estimez légitimement que vous n’y êtes pour rien puisque la faute revient logiquement à celui qui vous a touché !
Certes mais c’est déjà difficile à juger pour des juges humains alors imaginez la complexité pour un logiciel… Les concepteurs d’iRacing ont donc opté pour un principe de sévérité maximum.
A long terme, je pense effectivement que c’est un bon calcul mais, certaines fois, ça peut être terriblement frustrant !
Une anecdote pour illustrer cela : ce mardi, je disputais une course dans le cadre du championnat Skip Barber. Les choses se présentaient plutôt bien puisque j’étais 3ème au moment d’entamer le dernier tour. Derrière moi, une meute de pilotes a réussi à me recoller et le finish va être serré… à deux virages de la fin, je suis poussé hors de la piste !
Je repars tout de même pour terminer 6ème (première frustration : je manque le podium) mais, en plus, j’ai perdu 7 points à mon SR (seconde frustration : je suis puni alors que pas fautif, selon moi…) : 4 points de contact, 2 points de perte de contrôle et un point pour le hors piste… Difficile de faire pire.
L’australien qui m’a poussé s’est excusé ensuite via la messagerie du forum mais voilà une illustration de ce qui peut arriver. Si vous n’êtes pas prêt pour ce genre de situation, c’est que vous n’êtes pas prêt pour la bagarre en paquet, tout simplement…
6- modding impossible
C’est affiché clairement par les concepteur d’iRacing : pas de modding avec eux !
Les concepteurs ont le parti-pris de tout maitriser eux-mêmes : modélisation au laser des tracés (uniquement des tracés réels et dans leur configuration actuelle) et modélisation fidèle des voitures après accord et licence avec les constructeurs.
Cela veut dire que iRacing ne va pas profiter des formidables ressources de la communauté très active des moddeurs et c’est bien dommage…
7- choix voitures/circuits limités
Du coup, de part le choix d’interdire le modding, le choix des voitures/circuits est forcément limité. Pas question de pouvoir rouler sur une circuit qui n’existe plus.
Oubliez l’idée de rouler avec une Porsche GT3 tant que les concepteurs d’iRacing n’auront pas signer un accord avec Porsche et scanner la voiture sous toutes les coutures.
8- système de licence contraignant
Le système de licence et de security rating en place est un principe vertueux mais aussi bien contraignant… N’imaginez pas pouvoir débuter dans iRacing et pouvoir d’entrée de jeu disputer le championnat de votre avec la voiture qui vous plait le plus (même si vous l’avez acheté !) : il faut d’abord sortir du statut « rookie » (débutant), faire ses classes et faire ses preuves pour accéder aux vraies licences et pouvoir participer aux championnats avec les meilleurs.
C’est vrai que l’investissement de départ (non financier cette fois) est important et la pente à grimper peut sembler rude à quelques-uns, inutile pour la plupart qui sont déjà rompus à la compétition online avec des palmarès éloquents mais il n’y a pas de court-circuit possible : vous commencez comme Rookie et vous le rester tant que votre SR ne progresse pas nettement (et c’est pas si facile, vous allez vous en apercevoir…).
9- logiciel non-achevé
Dernier point noir : iRacing n’est pas -encore- une solution totalement achevée.
Le logiciel fonctionne bien (mais il est exigeant en ressources, prévoir obligatoirement un PC de bon niveau…), les bugs sont plutôt rares mais les lacunes sont bien là : les drapeaux jaunes ne sont pas gérés, les replays ne s’enregistrent pas, les chronos partiels ne s’affichent pas et ainsi de suite… La liste est longue et elle peut être choquante !
Espérons que la version qui sera mise en ligne pour l’ouverture officielle du 26 août (c’est bientôt !) comblera tout ou partie de cette litanie car, sinon, la démarche serait un peu légère…
J’aurais également pu ajouter que les contacts humains sont moins favorisés que dans le ligues (et c’est vrai que, pour le moment, c’est moins chaleureux) mais là aussi, il y a le potentiel pour que ça soit aussi bien sinon mieux quand dans les ligues le jour où les fonctions de type réseaux sociaux seront plus et mieux développées…
Voilà, j’ai récapitulé les principaux points noirs de la solution proposée actuellement par iRacing. Mais, il faut garder en tête qu’il ne s’agit pas d’une solution comparable point par point à Rfactor (car alors, Rfactor gagne sur de nombreux tableaux) mais bien d’une approche radicalement différente et où les « défauts » deviennent plus ou moins les contreparties incontournables des choix effectués.
En effet, c’est parce que le SR est contraignant et va être frustrant qu’on va faire particulièrement attention à son comportement en piste !
Le modding est banni mais c’est ainsi que le fonctionnement va être maitrisé et ainsi de suite.
iRacing ne prétend pas devenir tout pour tout le monde mais va sans doute devenir l’environnement de compétition online prédominant si des évolutions souhaitables voient le jour rapidement :
– il faudrait que les voitures/circuits supplémentaires puissent être revendus sur une « marketplace » => cela permettrait d’atténuer le coût d’acquisition et cela permettrait certaines formes de sponsoring
– il faut que les lacunes soient comblées et que le rythme d’évolution de la solution ne faiblisse pas => c’est la contrepartie légitime au principe de la location par rapport à la vente « une fois ».
Sur ce dernier point, on a vu dans le domaine de l’informatique une évolution comparable : la vente de licence de logiciels est en train de se restreindre au profit de la location de solutions online, prêtes à l’emploi sans installation. En effet, on a constaté que les éditeurs étaient plus motivé à vous vendre la prochaine release de leur logiciel que de corriger et de faire évoluer celle qu’ils vous ont déjà vendu…
La proposition de valeur est inversée dans le cas de la location : il s’agit alors de vous garder fidèle et seule des évolutions régulières (et allant dans le bon sens) y contribuent.
Publié dans Sports mécaniques virtuels
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Quelques adresses utiles pour iRacing
Pour vous aider à mieux comprendre iRacing et à progresser dans cette compétition, voici quelques adresses utiles…
Tout d’abord, la fiche wikipedia décrivant cette simulation et son environnement à http://en.wikipedia.org/wiki/IRacing
Je recommande également chaudement l’édition de juin de AutoSimSport (à http://www.autosimsport.net/index.php, attention, choisir le Volume 4, Issue 3-18.Jun.2008), un pdf tout en anglais mais bourré d’articles formidables sur iRacing
Le principal forum sur le sujet (en anglais of course… Le forum présent sur iRacing est également très actif mais uniquement réservé aux membres) à http://forum.racesimcentral.com/forumdisplay.php?f=1503
Il y a aussi des forums francophones comme celui de la FFSCA à http://forum.ffsca.org/forumdisplay.php?f=199 et celui de RacingFR à http://www.racingfr.com/forum/index.php?showforum=382
Pour trouver des réglages (setups), on peut aller à http://www.iracing-france.com/forum/ (en français) et à http://www.sim-chassis.com/index.php (en anglais mais plus complet).
Publié dans Sports mécaniques virtuels
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Extrait des « réseaux sociaux », seconde édition
Hier, j’ai validé les corrections de mon ouvrage « les réseaux sociaux » dont la seconde édition est prévue pour fin septembre… C’est toujours une certaine émotion et une grande satisfaction quand un travail de ce type est enfin terminé.
Pour vous faire patienter, voici un extrait (qui sera utilisé sur les rabats de la couverture) :
En fait, les applications peopleware sont les éléments qui justifient
les Intranets des organisations : elles vont permettre de motiver leur
personnel, elles vont permettre à chacun de mieux de connaître et de
mieux travailler ensemble.
C’est un objectif ambitieux et qui ressemble à une promesse marketing
inaccessible mais c’est le contraire que nous allons démontrer ici…
Car, après avoir changé le Web grand public, les réseaux sociaux vont
désormais être utilisés dans les entreprises et vont initier un
changement profond dans l’informatique sous la forme d’une nouvelle
vague d’applications, les applications Peopleware.
Jusqu’à présent, toutes les nouvelles vagues des vingt dernières
années ont été, au mieux, des demi-échecs : groupware, knowledge
management, CRM, etc.
Et, ce qui est particulièrement intéressant, toutes ces tentatives
connaissent au moins deux points communs :
– premier élément, elles sont sensées permettre aux gens (les
collaborateurs des entreprises, salariés ou intervenants externes) de
mieux travailler ensemble.
– second élément, elles ont été (la plupart du temps) imposées par le
haut : le management, séduit par les sirènes marketing des consultants
et des fournisseurs, embrasse la nouvelle tendance à la mode et décide
de se doter de la nouvelle application « dans le coup ». La direction
décrète alors que la nouvelle application doit être utilisée largement
mais on sait bien que le succès d’une application ne se décrète pas…
d’où l’explication la plus fréquente de ces échecs répétés.
Toutes ces vagues successives d’applications supposées améliorer les
échanges entre les gens sont restées au stade de voeux pieux justement
parce que les « gens » visés ne les ont pas adoptées avec la ferveur
espérée par les directions.
On sait que l’entreprise pourrait avoir un grand bénéfice si elle
utilisait un nouveau type d’applications qui aurait les faveurs des
utilisateurs. On sait que l’application avec le plus grand potentiel
fonctionnel n’est rien si ce potentiel n’est pas sanctionné par un
« succès populaire ». Il vaut mieux une application plus réduite sur le
plan du fonctionnement mais qui est utilisé par tous qu’une merveille
qui resterait confinée à seulement quelques-uns.
Or, pour séduire le plus grand nombre, il faut que ce soit une
application qui apporte des bénéfices concrets à la population visée
plutôt qu’à ces promoteurs…
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