The Art of Analog Computing from meltmedia on Vimeo.
Voilà à quoi ressemblerait notre vie au bureau si tout fonctionnait à la façon de nos ordinateurs…
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Voilà à quoi ressemblerait notre vie au bureau si tout fonctionnait à la façon de nos ordinateurs…
Le mardi 22 juin, j’interviens en conférence à Cerisy-la-Salle dans le cadre de la journée « La médiation du livre à l’heure du numérique »… Le détail de cette journée ici et également là.
Lu sur le site d’euronews aujourd’hui :
Une commission du Congrès américain a réuni ce mardi les principales compagnies pétrolières du pays. Si les concurrents de BP dénigrent leur confrère, espérant sans doute le racheter à moindre prix, leurs plans pour faire face à une fuite similaire à celle de l‘épave de la plateforme pétrolière Deepwater ne sont pas plus brillants, comme le souligne le parlementaire Henry Waxman.
“Ces plans ne sont que du papier. BP a misérablement échoué lorsqu’il s’est retrouvé face à une véritable fuite. On ne peut que se demander si Exxon et les autres compagnies feraient mieux”.
Trois de ces compagnies américaines prévoient notamment de protéger les morses en cas de marée noire. Un animal disparu depuis trois millions d’années dans le Golfe du Mexique.
Relisez la dernière phrase « Trois de ces compagnies américaines prévoient notamment de protéger les morses en cas de marée noire. Un animal disparu depuis trois millions d’années dans le Golfe du Mexique.« … tout est là !
Imaginez un peu la scène : il y a Andy, Bruce et Clive qui viennent de recevoir leur convocation pour cette séance au congrès. Nos trois compères (A,B et C) sont tous les trois des hauts responsables de compagnies pétrolières connues et respectées (surtout pour leur souci et leur respect de l’environnement !) comme Exxon, Chevron et Penzoil (je cite ces noms au hasard mais je ne dois pas être loin de la vérité…). Ils ont dégagé leur agenda, ils ont mis leur plus beau costume au pressing pour être impeccable au jour J mais il y a un détail qui cloche : la convocation évoque clairement qu’il faudra présenter « leurs plans pour faire face à une fuite similaire à celle de l‘épave de la plateforme pétrolière Deepwater »… Aie pense Andy, je n’ai pas de plan de ce genre moi !
Perplexe, voici notre Andy qui décroche son téléphone et qui appelle son copain Bruce… Voilà ce que ça donne (à peu près hein !) :
Andy – salut Bruce, je suis bien embêté par cette audition du congrès… Ils veulent qu’on présente notre plan pour faire face à une marée noire dans le golf du mexique… Mais on a rien de ce genre chez nous !
Et toi, vous avez prévu quelque chose à ce niveau ?
Bruce – font chier ces congressmen, comme si on les arrosaient pas assez tout le long de l’année ?
Bien sûr que non qu’on a pas ça !
Tu penses bien qu’on passe pas notre temps à rédiger des procédures de sauvegarde à la con qui 1) ne seront même pas lues 2) ne serviront à rien même si elles étaient lues… C’est du bullshit de bureaucrates, of course !
Andy – ouais, je pense ça aussi mais on aura pas l’air fin quand ils vont nous demander de présenter ces documents devant les caméras si on a rien à montrer !
CNN va pas nous louper, on sera mis au pilori comme ces cons de GM et Chrysler qui étaient venus au congrès réclamer de l’argent pour sauver leur société de bagnoles mais qui s’étaient déplacés en jet privés…
Bruce – oui, y z’étaient bien ballos ceux-là, on en rigole encore… Mais t’as raison, faudra pas qu’on rigole de nous de la même façon, on a déjà assez d’emmerdes avec ces traitres d’écolos !
Andy – comment on va faire alors ?
Toi qui connais du monde, t’aurais pas un pote qui aurait bossé sur un document vaguement de ce genre ?
Histoire d’avoir quand même quelque chose à montrer…
Bruce – maintenant que tu en parles, je pense à Clive d’Exxon, je crois qu’il a une procédure de ce goût-là qui dort dans ces tiroirs depuis l’affaire de l’Alaska… Faut que je lui demande. Je vais l’appeler et je te tiens au courant… à plus !
Donc, Bruce passe un coup de fil à Clive, restons à l’écoute…
Bruce – Clive ? C’est Bruce… On a besoin de ton aide là mon grand !
Clive – de quoi s’agit-il mon ami ?
Bruce – prends pas tes airs de grand seigneur, on est dans la merde… C’est rapport à l’audition au congrès de mardi prochain, t’es pas au courant ?
Clive – bien entendu que je suis au courant, j’ai reçu la convocation moi aussi figures-toi… Mais je ne vois pas en quoi je peux t’aider à part te passer un mouchoir pour t’éponger le front quand ils vont nous étriller sous les caméras !
Cela risque bien d’être un bain de sang mon vieux camarade, je le crains !
Bruce – mais attends, tu m’avais pas raconté que vous aviez été obligé de produire un « plan de sauvegarde » suite à l’affaire de l’Alaska ou quelque chose comme cela ?
Clive – si en effet, mais quel rapport avec la séance de mardi ?
Bruce – le rapport c’est qu’il est prévu qu’on présente chacun notre plan de sauvegarde pour le golfe du mexique… C’est ce fameux document qui pose problème car j’ai rien de semblable et Andy non plus !
Clive – ah oui, c’est gênant en effet mais en quoi notre vieux doc qui date de cette déplorable affaire de l’Alaska pourrait te sauver la mise ?
Bruce – tu veux dire « nous sauver la mise »… On est dans le même bourbier, mets toi bien ça au fond de ton crâne de frimeur !
Voilà le plan : si tu as ce doc, on est sauvé car il suffit de le produire pour avoir quelque chose à montrer à ces faux-jetons de congressmen…
Clive – je vois tout de même deux inconvénients à ton plan… si on fait comme tu dis 1) on va produire trois documents identiques 2) le plan est prévu pour l’Alaska, pas pour le golf du mexique… ça fait tout de même une sacré nuance, non ?
Bruce – penses-tu !
Ce qu’il veulent, c’est un plan de sauvegarde en cas de marée noire, pas une brochure touristique sur le golf du mexique, on aura juste à changer les noms de lieux et c’est marre… Et puis, le fait que nos documents soient quasi-identiques, c’est plutôt un plus : ça prouve qu’on s’est concertés, c’est bon pour le côté public-relations ça !
Clive – si tu le dis… Bon, que faut-il que je fasse pour te faire plaisir donc ?
Bruce – envois-moi ton doc par email, je me charge de le modifier pour le mettre aux couleurs de ma compagnie et Andy va faire pareil. Toi, de ton côté, penses bien à faire faire par ton assistante un rechercher/remplacer afin de remplacer « alaska » par « golf du mexique »… ce serait con de se planter sur une erreur aussi basique… d’accord ?
Clive – si tu penses que ça suffira, on va tenter le coup mais je t’avoue que j’ai des doutes : ce document a été rédigé il y a des années par des spécialistes de l’Alaska et il est presque illisible tellement ces types se sont fait plaisir en pensant au moindre caillou de ce coin paumé… J’ai peur que notre astuce se retourne contre nous…
Bruce – meu nan, t’as toujours peur de tout toi !
Et voilà comment, par la magie du « rechercher/remplacer » et du « copier/coller » qu’un document d’origine Exxon pour l’Alaska s’est dédoublé deux fois et s’est retrouvé aux couleurs de Penzoil et de Chevron avec un beau intitulé « plan de sauvegarde pour le golf du mexique » mais avec toujours la section sur les Morses, même si on a plus de chance de croiser ces animaux sur les froides côtes rocheuses de l’Alaska que sur les chaudes plages de Floride…
Ajout du 11/09/2010… Courrier Internationale vient de publier un article édifiant « Marée noire : beaucoup d’erreurs et peu de responsables. Très attendue, l’enquête interne de BP sur le partage des responsabilités de la marée noire, publiée le 8 septembre, souligne le chaos qui règne au sein du secteur pétrolier. ». Un article à lire qui nous révéle que le secteur pétrolier est à l’image du secteur financier : en roule libre et capable de faire beaucoup de dégats !
Je pense que si on menait le même type d’investigation sur le secteur aérien, on tomberait de haut également (sans jeu de mot !)… Il est clair que la réglementation de ces secteurs est nécessaire mais on s’aperçoit aussi que la réglementation seule ne suffit pas : il faut aussi être capable de surveiller ces acteurs et de sanctionner le cas échéant et là, c’est déjà nettement moins organisé.
Un nouveau récit du « docteur miracle » : celui-ci raconte ses souvenirs de jeunesse quand il assista aux 200 miles de Daytona en 1970, 71 et 72 depuis le stand du vainqueur, étrange coïncidence non ?
Alors, attention, version complète oui, version définitive non bien sûr !
Comme d’habitude, je vous fait profiter du texte dès qu’il est disponible mais il reste encore tout cela à faire : relecture, corrections, illustrations et mise en page… bref, le livre définitif ne sera pas effectivement disponible à la vente avant septembre. Même le titre n’est pas encore tout à fait fixé. Pour le moment, nous sommes sur cette idée :
Dr Miracle est un ancien team manager qui a aussi eu une longue carrière en tant que consultant pour les autres équipes, les sponsors, et mêmes des pilotes ou des organisateurs. Aujourd’hui, il raconte ses souvenirs à travers ces récits où il apparait masqué car il ne veut pas être reconnu… Il ne veut pas non plus qu’on puisse reconnaitre les personnages de ses récits (enfin pas tous) puisqu’il nous dévoile à cette occasion certains secrets jusque-là bien gardés !
Donc, quand il va vous raconter ses souvenirs, Dr Miracle va omettre les noms des gens concernés ou en utiliser de fantaisistes, à vous de faire la part des choses (quelquefois facile, souvent très difficile).
Bien entendu, « Dr Miracle » n’existe pas : c’est seulement moi qui invente des histoires et tente ainsi une nouvelle forme d’écriture. Les récits sont de pures fictions avec, quelquefois, des éléments dérivés d’histoires vraies (mais ça reste quand même des histoires inventées, ne vous attendez pas à des révélations !).
Le premier récit de Dr Miracle :
La première saison 2010 d’iRacing vient de se terminer (chaque saison sur iRacing dure 12 semaines avec une épreuve sur un circuit différent chaque semaine et pour toutes les séries) et j’ai pensé qu’un petit bilan pouvait être intéressant.
J’ai déjà disputé de nombreuses saisons sur iRacing avec des résultats variés.
En fait, quand j’écris « résultats variés », je devrais plutôt dire « résultats médiocres » : j’ai disputé de nombreuses courses mais je n’en avait jusque-là gagné que 3 (dont une lors du WE dans le cadre des « 24H of fun », ne comptant donc pas pour le classement des séries). Mes résultats sur circuits routiers étaient tout juste acceptables mais sur ovals, c’est encore pire : pas mal de « top 5 » mais jamais une victoire !
Quand à mes scores dans les séries, c’était également tout à fait médiocres : toujours qualifié dans les divisions les plus basses (9 ou 10) et je ne marquais que 45 pts en moyenne par épreuve… Bref, rien de bien glorieux !
Pour cette première saison 2010, j’ai décidé d’être plus rigoureux dans mes choix et dans mon comportement : au lieu de « papilloner » au grè des séries, j’ai appliqué les recommandations de mon livre (tant qu’à faire !) et je me suis concentré sur une seule série, la « Radical Racing Challenge C ».
Chaque semaine de course, je procédais ainsi : entrainement sur le circuit en question, détermination du setup, au moins une session en « time trial », une session de qualification (sans trop chercher à faire un temps canon, juste à assurer une place sur la grille) et une course disputée le vendredi afin de pouvoir me rattraper le dimanche ou le lundi la cas échéant… Oui car les courses de la série « Radical Racing Challenge C » ne se disputaient que le vendredi, dimanche et lundi (toutes les séries des saison iRacing ont un calendrier différent).
Un autre principe que j’ai appliqué à la lettre, c’était de ne disputer que les épreuves sur les circuits que j’aime. Ainsi, le calendrier de la série « Radical Racing Challenge C » s’établissait ainsi :
Semaine 1 => Silverstone (GP)
Semaine 2 => Daytona (road course)
Semaine 3 => Road Atlanta (full course)
Semaine 4 => Road America (full course)
Semaine 5 => Sebring (full course)
Semaine 6 => Laguna Seca
Semaine 7 => Infineon (long)
Semaine 8 => Mosport
Semaine 9 => Watkins Glen (boot)
Semaine 10 => Barber (full course)
Semaine 11 => Brands Hatch (GP)
Semaine 12 => Virginia (full course)
Avant même de commencer la série, je savais que je ne voulais pas courrir à Barber, Infineon et à Virginia. Mais comme seuls les 8 meilleurs résultats sont retenus, on peut se permettre de « sauter » plusieurs épreuves. J’avais également un doute sur Laguna Seca et Silverstone. Finalement, j’ai courru à Silverstone car, même si je n’apprécie pas trop ce tracé (qui ne ressemble plus à rien selon moi), cette piste n’est pas difficile et ne présente pas de « pièges » à éviter…
J’avais passé la semaine précédant le début de la saison à faire différents tests avec les voitures issues du nouveau « build » pour constater que la Riley DP était celle dont le comportement avait le plus progressé et était devenu vraiment plaisant… J’aurais donc volontiers disputé cette série mais, hélas, j’ai pu voir tout de suite que cette catégorie n’avait toujours un niveau de popularité suffisant pour assurer des courses bien remplies tout au long de la saison. C’est donc à reget que je me suis tourné vers la Radical qui, elle aussi, avait bien progressé même si son caractère sous-vireur était toujours présent ainsi que la tendance à pomper et rebondir de son train avant (effet « poggo stick » !), ce qui gâche un peu le tableau.
Mais, ayant trouvé un setup vraiment bon, je pensais avoir en main une combinaison valable et il ne restait plus qu’à l’exploiter correctement.
La première course à Silverstone s’était déroulée de manière assez satisfaisante puisque j’avais réussi à décrocher une 5ème place face à un plateau assez relevé (l’attribution des points dans iRacing se fait aussi en fonction de la « force du plateau »… Dans ce cadre, une 5ème place face à une opposition forte vous vaudra plus de points qu’une 3ème place dans une course à la grille moins relevée…). Cela se passa encore mieux à Daytona où je terminais 3ème juste dans le sillage du second que j’ai chassé et remonté pendant plus de la moitié de la course !
J’étais surtout satisfait d’être compétitif, ce qui ne m’était pas arrivé depuis fort longtemps…
Pour la manche de Road Atlanta, j’ai passé pas mal de temps à affiner mon setup qui était déjà bon mais c’est justement quand on dispose d’une bonne base qu’on peut vraiment faire du travail utile. En définissant de façon précise la pression de mes pneus arrière, j’arrivais à avoir enfin les températures voulues, chose que je n’obtenais presque jamais auparavant.
Ce travail de fond fut sanctionné par une nouvelle 3ème place sur ce circuit difficile.
Avec un pareil début de saison, mon moral était au mieux et c’est gonflé à bloc que j’attaquais la manche sur mon tracé favori : Road América (où j’avais déjà gagné une manche sur iRacing en Star Mazda il y a… longtemps !). La course s’est déroulée idéalement ou presque : j’ai pris un bon départ, j’ai viré en tête et j’ai pu garder le leadership pendant toute la course, résistant aux assauts de mes poursuivants en se battant à coup de dixième de seconde… Quand je dis « pendant toute la course », je devrais plutôt écrire « pendant presque toute la course » car j’ai commis une erreur tellement stupide dans le tout dernier tour que je n’ose même pas l’avouer ici !
Bref, ce qui aurait dù être un résultat triomphale s’est transformé en une 8ème place absolument sans intérêt… Heureusement, j’ai pu disputer une autre course sur ce circuit où j’ai dù me contenter d’une 5ème place moins satisfaisante mais déjà plus acceptable.
J’avais prévu de courrir à Sebring mais j’y ai finalement renoncé car le terrible effet « poggo stick » de la Radical la rendait quasiment inconduisible sur le revétement ô combien inégal de ce tracé… Je me suis donc concentré sur la manche suivante à Laguna Seca où, surprise, la Radical se comportait particulièrement bien. Comme beaucoup, je redoute de courrir à Laguna Seca car ce circuit est vraiment piégeux et il est difficile d’y imprimer un rythme soutenu. Pour finir la course sur ce tracé, il faut savoir être prudent du début à la fin. Bien m’en a pris car je terminais second (et j’aurais même gagné si le vainqueur avait fait sa boulette quelques tours plus tôt !).
A ce stade de la saison, je suis versé en division 8 (la répartition dans les dix divisions par série se fait après les deux premières semaines en fonction des résultats sur les deux premières manches… D’habitude, j’étais systématiquement en division 9 ou 10… Là, je suis en division 8, c’est un peu mieux…). Dans cette 8ème division, la lutte se résume à un affrontement entre Petr Lysec et moi. Petr roule beaucoup plus que moi mais il semble que, en moyenne, j’arrive à scorer un poil mieux que lui, tout du moins jusque-là. La lutte se fait à distance car on ne s’est pas encore rencontré sur les mêmes courses…
Comme prévu, je fis l’impasse sur la manche à Infineon (rien à faire, j’aime pas ce tracé et, du coup, j’arrive pas à mettre un pied devant l’autre dessus !), je me suis concentré à l’avance sur Mosport. Ah, voilà un tracé que j’affectionne !
Mosport est un circuit tout en rythme avec des longues courbes qui permettent de grandes glissades en appuis, un régal. Mais voilà, il y a un méga-piège dans le virage 2 et, bien que le sachant, je me suis fait avoir deux fois de suite alors que j’étais super bien placé pour y scorer un résultat du tonnerre… J’ai tout de même pu y terminer 3ème mais c’est clair que c’est encore une victoire que j’ai laissé passé là…
Une fois digéré la déception de Mosport (uniquement par ma faute, je n’ai même pas été gêné ni rien…), j’enchaine sur Watkins Glen. Scénario identique à Silverstone : je termine 5ème mais avec des gros points à la clé vu le niveau du plateau. Comme je décide de faire l’impasse également sur Barber (je déteste ce tracé façon « mickey mouse » !), il ne me reste plus que Brands Hatch pour y marquer mon 8ème et dernier résultat (parce que j’ai également prévu de « sécher » la dernière manche à Virginia qui est un beau circuit mais où je me sort toujours !)… La lutte pour la première place de la division 8 est toujours aussi intense entre Petr Lysec et moi.
Et là, surprise, je le retrouve sur la grille de départ à Brands Hatch !
Voilà qui devrait servir à nous départager « pour de vrai » pour une fois… Je pars devant lui et nous nous retrouvons à lutter pour la 3ème place. Je rejoins le second que je commence à harceler mais ce n’est vraiment pas facile de doubler à Brands… Et Petr en profite pour me passer lorsque j’élargis après que mon adversaire m’ai fermé la porte une fois de plus !
Celui qui était en tête se sort tout seul et la lutte entre nous trois s’intensifie encore car l’enjeu a augmenté… Nous roulons très proche les uns des autres et, à « padock bend », c’est moi qui fait l’erreur : au freinage je viens coller une mini-touchette de rien du tout à Petr qui part aussitôt en spin (je le jure, je l’ai pas fait exprès, on était simplement trop proches !). Je récupère donc la seconde place et je recommence à mettre la pression sur mon adversaire du début. Il fait enfin une erreur à « druids » et je peux passer en tête !
Cette fois, je vais y rester jusqu’à la fin et même Petr bien revenu après son tête à queue ne pourra pas me remonter. Enfin une victoire dans cette série, une vraie satisfaction (même si la touchette avec Petr vient un peu gâcher le tableau… Je me suis excusé aussitôt par audio et je lui ai envoyer un « private message » via iRacing après la course pour lui assurer que ce n’était pas intentionnel, juste un classique « incident de course »).
Mon leadership sort renforcé de ce résultat mais tout juste : je n’ai que cinq points d’avance sur Petr et il lui reste encore la manche de Virginia pour tenter d’améliorer son score… Ce qu’il fit !
Et c’est avec 4 points d’avance qu’il parvint à me coiffer sur le fil… Rien à dire, sur la durée, il a mieux géré que moi (il s’est surtout investit bien plus : 41 courses disputées dans cette série alors que je me suis contenté de 18 départs…) et je ne regrette vraiment pas d’avoir fait l’impasse sur certaines manches (je referais pareil). Globalement, je suis tout de même très satisfait par ma saison dans cette série où j’ai eu que des « top five » avec 5 podiums dont une victoire… Ma moyenne de points matrqués par manche est également passée de 45 à 78 points, une bonne progression !
Toujours en « Radical Racing Challenge C », je termine finalement 56ème sur 685 et 19ème sur 458 dans le classement séparé du « time trial » (là aussi, c’est un bon score par rapport à mes habitudes). J’ai mené 32 tours pour une seule victoire enregistrée mais, plus que tout, je me suis montré com-pé-ti-tif tout le long de la saison et c’était bien cela le meilleur…
Je le dois en partie à mon travail de fond sur les setups (j’ai pu améliorer ma base de départ tout au long de la saison et je faisais systématiquement des tests exploratoires avant chaque manche pour personnaliser cette base en fonction de chaque tracé avec, quelquefois, des options un peu surprenantes !) et au fait que j’ai toujours effectué un entrainement sur chaque tracé *avant* de m’y aligner en course (même quand je connaissais bien le circuit). Mais le facteur le plus important (et qui m’a permis de m’investir correctement sur cette série) c’est justement que je ne me suis pas dispersé à courrir à droite ou à gauche en fonction des semaine. A chaque fois, mon objectif unique était centré sur la « Radical Racing Challenge C » et si je sautais une course, j’en profitais alors pour travailler le tracé suivant…
Une seule fois, j’ai pris le temps de faire une « pige » sur oval avec la « Late Model » car j’ai un sentiment d’inachevé de ce côté là. C’était à Stafford et, pour une fois, j’avais un setup vraiment formidable pour ce tracé !
Du coup, je me retrouvais en première ligne au départ et je bondissais en tête d’entrée de jeu… Mieux, je creusais l’écart sans trop de difficultés !
Je commençais à savourer une victoire qui ne devait pas m’échapper lorsque j’affichais le panneau des consommations… Horreur, je n’aurais pas assez de carburant pour finir la course !
Comme un idiot, lors des entrainements, j’ai négligé le calcul de consommation et je me suis contenté d’une approximation grossière qui s’est évidemment avérée grossièrement fausse (d’autant que j’avais oublié de prendre en compte les deux tours de lancement avant le départ !)… Et me voilà avec un problème insoluble : comment préserver ma première place tout en économisant autant que faire se peut ce qui me reste d’essence ?
Je ralentit franchement mais ça me permet tout de même de garder la tête car, lors des 20 premiers tours, j’ai pu creuser un trou assez large avec mes suivants… Mais, bien sûr, ça ne dure pas : à force de me trainer pour éviter d’accélèrer franchement, je suis rejoint et il reste encore trop de tours pour que ma tactique fonctionne. Je suis donc obligé de m’arrêter aux stands pour un « splash and dash » désastreux !
J’ai mené 44 tours sur 50 mais en pure perte : mes adversaires (principalement américains ce jour-là) ont bien rigolé quand ils m’ont vu obligé de m’arrêter aux stands pour ravitailler… « rapide le frenchie mais nul en calcul il semblerait, ah ah ah ! ».
Encore une victoire qui m’a échappé bêtement et, encore une fois, je suis le seul à blâmer dans cette pitoyable affaire. Comme quoi il est plus facile de coucher des recommandations pertinentes dans un livre que de les appliquer régulièrement…
Pour conclure sur une note positive ces quelques histoires de SimRacing, avec mes grands fils, nous avions décidé de refaire les 24H00 du Mans sur rFactor (voir à http://www.alain-lefebvre.com/sim-racing/les-24h00-du-mans-avec-le-mod-enduracers/) à l’occasion des vacances de Paques mais cette fois, en équipage à trois et non plus à deux…
Cette fois, j’avais bien préparé les choses : j’avais enfin trouvé comment configurer ma machine afin d’éviter quelle ne « plante » avec la -très belle- version de VirtuaLM du tracé du Mans. Avec quelques aménagements pour rendre la conduite des voitures du mod CSGT (les prototypes de la saison 1970) plus agréable, nous avions là une formidable combinaison en main !
J’avais même concocté une présentation powerpoint afin de mettre en exergue les points-clés sur du circuits pour mes fils (points de freinages, passages des rapports, pièges divers, etc.)… Quentin semblait être partant pour cette grande aventure et je me chargeait de le préparer à cette tâche. Mais le challenge était bien trop élévé pour un débutant complet comme mon ainé (son frère Valentin a bien plus de pratiques et d’expériences que lui dans ce domaine, par goût). Seul et de jour, Quentin se débrouillait plutôt bien sur ce circuit et au volant de cette 917 pourtant pas facile à maitriser et il signait des temps somme toute assez honorables. Mais les choses se gâtait beaucoup quand il n’était plus seul sur le circuit (surtout pour bien juger où il fallait dépasser les GT avec une énorme différence de vitesse) et c’était encore pire la nuit où la connaissance « intime » du circuit est tout simplement indispensable…
Notre plan de rouler à trois tombait à l’eau et il fallut se rabattre sur un autre challenge. Avec un équipage réduit à deux (Valentin et moi donc), nous voulions refaire les 12 heures de Sebring que nous n’avions pas réussi à terminer l’an dernier (voir à http://www.alain-lefebvre.com/sim-racing/les-12-heures-de-sebring-1970-avec-valentin/). Cette fois, nous avons troqué la Ferrari 312 pour une formidable 917 et le début se déroulait super bien : nous étions en tête (même si le classement était serré).
Hélas, une fois de plus, nous ne pumes franchir le cap de la mi-course : une panne de freins fut fatal à notre voiture lors de la 6ème heure. Il semblait que la voiture avait perdu ses freins sur le côté droit ci-fait qu’elle tirait terriblement à droite à chaque freinage et en devenait ainsi quasiment inconduisible. Aucune réparation ne se produisait en dépit de nos nombreux arrêts aux stands (mais qu’est-ce que c’est que cette équipe ? virez les mécanos !) et nous étions forcés d’abandonner. Il semble bien que cette course de 12 heures va rester notre challenge personnel encore une année de plus !
Pour ne pas rester sur cet échec frustrant, nous avons tout de même trouvé une combinaison attrayante et qui a bien voulu nous sourire : les 1000 kms de Monza. J’ai trouvé une très belle version du tracé milanais dans sa version 1970 avant les chicanes (mais sans le banking défoncé !). Il « suffisait » alors d’en boucler 175 tours ce que nous avons réussi à faire en 4H20 (35 voitures seulement au départ et 26 à l’arrivée) et en gagnant s’il vous plait !
Bien que réglé sur 110%, l’opposition ne fut pas très féroce (sauf une 917 Gulf qui était « insuivable » mais qui n’allait pas au-delà de la 2ème heure) et nous nous sommes concentrés sur l’évitement des nombreux pièges qu’une course de ce genre réserve toujours… Et, pour une fois, on a pu passer au travers !
Enfin une victoire à deux, on était vraiment ravis… Espérons qu’on arrivera également à ce résultat quand on arrivera à monter cette course de 24H00 avec un troisième (à déterminer mais j’ai mon idée là-dessus…).
Pour la saison 2010/2, je ne sais pas encore ce que je vais faire : soit la Ford V8 si elle est réussie (et plus facile à garder sur la piste que la Corvette !), soit le challenge multi-class avec la DP (en espérant qu’il y ait assez de pilotes pour que les courses soient officielles à chaque fois ou presque).
Dans le cadre de l’ouvrage « histoire critique de l’informatique moderne » (titre provisoire) que je suis en train de rédiger avec Laurent Poulain, je suis heureux et fier de mettre à votre disposition une version mise à jour du tapuscript qui comporte enfin la 3ème section de ce livre : « Internet et les réseaux »…
Le livre commence à prendre forme avec cette section : on a déjà 400 pages de textes et ça, avant même qu’on y mette les illustrations, ça promet !
Bien entendu, il faut garder en mémoire qu’il s’agit d’un « work in progress » : le texte qui est aujourd’hui disponible n’a pas été relu avec soin, il n’est pas corrigé, il n’est pas mis en page et il manque aussi les notes de base de page sans parler des illustrations (que je prévois nombreuses car j’ai déjà commencé à les sélectionner…). Bref, c’est juste pour vous faire patienter avant l’ouvrage final qui sera bien mieux, forcément !
Lien supprimé.
Vous l’avez compris, je me consacre en ce moment pleinement à mon ouvrage « histoire critique de l’informatique moderne » et c’est bien parce qu’il est très difficile d’écrire deux livres à la fois que j’ai mis (à regret) mon projet « Hacking » un peu en sommeil… Dernièrement, j’ai tout de même eu l’occasion de relire entièrement ce que j’avais déjà rédigé et, bien sûr, d’y apporter quelques corrections.
Du coup, je vous propose cette version pour patienter un peu avec, en prime, le chapitre six (qui n’est pas terminé mais c’est déjà ça de plus)… Je compte bien reprendre l’écriture de « Hacking » dès que possible, sans doute cet été. Pour télécharger la version actuelle de « Hacking », il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous (fichier au format PDF) :
Une très belle vidéo que je vous laisse savourer :
L’organisme gouvernemental anglais Sussex Safer Roads Partnership (SSRP) a concocté une publicité afin de promouvoir le port de la ceinture de sécurité. Sûrement l’une des plus belles publicités jamais réalisées sur la chose, elle conscientise le destinataire par l’entremise de l’art, d’images d’un esthétisme fascinant. Comme quoi il n’est pas nécessaire de voir des gens démembrés pour frapper l’imaginaire…
Mais en plus, c’est vrai : il faut TOUJOURS attacher sa ceinture, même en ville, même pour des « petits » trajets… Je peux dire que cette ceinture ma sauvé la mise plus d’une fois et je suis un convaincu de ce geste.
Le team HistoriX va bientôt sortir la version 2 de son mod « Historic GT & Touring Car mod » pour rFactor… Pour nous donner envie, ils ont concocter une vidéo éblouissante que voici :
Quand on voit une vidéo pareille, ça donne envie de s’y mettre (au SimRacing), non ?
Un article à lire à http://www.progilibre.com/L-open-source-cantonne-aux-projets-gadgets-pour-certains-grands-DSI_a957.html
Mais attention : ne manquez pas les commentaires qui suivent, c’est assez gratiné !!
Cette semaine, j’ai eu l’occasion de visiter une maison qui a une vraie personnalité : il s’agit d’une ancienne école restaurée, agrandie et décorée avec beaucoup de goût. Il ne s’agit pas seulement d’une maison originale mais aussi d’une maison écologique par l’utilisation de matériaux naturels et sains pour la restauration et l’agrandissement ainsi que pour le choix du mode de chauffage (sans parler de l’isolation).
Je vous invite à découvrir cette maison qui est à vendre en ce moment : si vous êtes intéressé par ce type de biens (qui est situé dans un petit village du Gers, à quelques dizaines de kms de Toulouse), voilà une occasion à découvrir sur le site qui présente la maison à http://www.trixty.net/meav/introduction/index.html
Je n’ai pas mis de photos sur ce post car il y a déjà beaucoup d’images de cette maison sur le site (et, bonne surprise, c’est encore mieux en vrai !).
Si vous pilotez en SimRacing, je vous recommande vraiment les lectures suivantes :
Bon, ces 3 articles sont en anglais mais ils valent vraiment la peine d’être lus : plein de bon conseils et de bonnes recettes !
Il y a longtemps que je n’avais pas donné de nouvelles de ce projet mais c’est le dilemne classique : avancer concrétement (en clair passer son temps à rédiger) ou commenter (comme donner des nouvelles du projet sur le blog ou Facebook…) et, ces derniers temps, j’ai plutôt choisi d’avancer !
Aujourd’hui, tout de même, j’estime que l’avancement est suffisamment significatif pour vous en faire part… Alors, voici les principales news :
Bref, ça avance et vos contributions et témoignages (ça commence à venir, vous pourrez le voir dans les pdfs) sont toujours les bienvenus… Liens supprimés.
Désormais, nous nous consacrons à la rédaction de la 3ème partie : l’ère du réseau (histoire du réseau local et d’Internet) et c’est déjà bien partit !
Je viens de finir la lecture de cet opus (Histoire secrète du patronat… Le vrai visage du capitalisme français !). Ce fut long car le bouquin est gros (719 pages…) mais instructif !
En clair, même si vous imaginez le pire, vous êtes en dessous de la vérité (enfin, d’après cet ouvrage bien sûr…) !
Le système qui gravite autour du patronat français avec ces organismes comme le MEDEF et ses vedettes comme les noms connus qu’on nous met en avant comme exemples à suivre est, en fait, une vaste machinerie de corruptions, de tricheries et d’entourloupes en tout genre… Le livre est très documenté et fait la part belle à une galerie de portrait haute en couleurs… Tous les grands noms y sont et aussi d’autres bien moins connus mais qui gagnent à être mis en avant !
Bref, une lecture utile à défaut d’être roborative…
Ma vidéo de « best of » extrait de mon documentaire sur la Porsche 917 plait semble-t-il !
En effet, on vient de passer largement la barre des 80 000 (81671 vues ce matin) et je pense donc qu’on va vers les 100 000… Mais le sujet et cette vidéo le méritent bien !
Demain, j’interviens dans un colloque sur les réseaux sociaux qui se passe à Rennes… Plus d’infos à http://www.colloque-webinfluence.com/
Je viens de finir le livre suivant : Richard Stallman et la révolution du logiciel libre. Une biographie autorisée par Sam Williams, Richard Stallman & Christophe Masutti… Le livre est disponible à télécharger en version pdf (entre autres) à http://www.framabook.org/stallman.html
Comme vous pouvez le voir, j’en ai profiter pour convertir ce pdf en version mobipocket afin de pouvoir lire ce livre confortablement sur mon Cybook… Pour vous évitez d’avoir à faire cette conversion, voici le fichier :
stallman_v1_gnu-fdl
Il va sans dire que je vous recommande la lecture de cet ouvrage : elle permet de mieux comprendre comment ce mouvement (en faveur du logiciel libre) est né et a évolué… Et, promis, désormais je dirais « GNU-Linux » et non plus simplement « Linux »… ça ira comme cela Richard ?
Le processus a été long mais c’est fait : « Perdu dans le temps » est enfin disponible en version numérique adaptée pour le Kindle d’Amazon.com !
Voir à http://www.amazon.com/dp/B00375LYFU
Je dois encore compléter quelques trucs mais c’est déjà ça… Je me suis aperçu qu’il y avait peu de livres en français actuellement sur la « Kindle store » et c’est pourquoi j’ai voulu y ajouter mon ouvrage !
Il est désormais permis de douter du GIEC !
C’est une grande avancée… La pensée unique reculerait-elle ?
Il ne faut pas se réjouir trop vite mais cet article de Slate « Les climato-septiques marquent des points » semble annoncer un début de changement de tendance…
Pour compléter cette interrogation (remise en question ?), voici une version française (diffusée par Planète) du documentaire anglais « The Great Global Warming Swindle » que je vous avais signalé en août 2008 :
Mon projet de livre sur l’histoire de l’informatique avance bien. Après l’ère des constructeurs, je suis en train de rédiger l’ère des éditeurs et j’ai pensé que c’était une bonne idée que de partager quelques extraits de cette grosse section à venir…
Voici donc l’histoire des débuts des SGBD Relationnels suivit du parcours de SAP… Vos commentaires, suggestions, corrections sont les bienvenues, ça va sans dire, hein !
Mais voilà, tout arrive il semblerait !
Je vous encourage donc à lire « Grippe A, l’implacable réquisitoire du député Wogard« , ça se passe de commentaire !
En effet, incroyable mais vrai, Damien Lefebvre (mon fils de 12 ans) s’est vu confié une mission peu commune par l’ESA : mettre sur orbite un message de paix et d’espoir… Voici un résumé en images de cette aventure fascinante :
Pendant qu’on y est, j’en profite pour vous mettre nos vidéos de fin d’année de 2008 et 2007…
Voilà, une bonne année 2010 donc, sur Terre et dans l’espace !
Je me suis aperçu en discutant avec quelques amis que le domaine de la nanotechnologie était très peu connu… Alors qu’il s’agit du domaine technique qui est actuellement le plus excitant !
Dans les années 60, la « nouvelle frontière » était représentée par l’informatique ou l’aéronautique… Aujourd’hui, c’est la nano qui est le domaine de pointe, là où les innovations ont le plus d’impact et où le potentiel d’applications est le plus fort. Attention, je ne suis pas en train d’écrire que tout est merveilleux dans la nano et qu’il faut tout prendre à bras ouvert venant de ce secteur !
Comme toujours, il faut prendre la propagande de la techno-structure avec des pincettes et il a largement autant à redouter de la nano qu’il y a à espérer (par exemple, le premier domaine réel d’application de la nano est le militaire… quel surprise !). Ceci dit, c’est un domaine fascinant que je vous invite à creuser à l’occasion de son 50 anniversaire.
En effet, le discours fondateur de la nano date de décembre 1959 par Richard Feynman : Plenty room at the bottom.
Par la suite, c’est Eric Drexler qui popularisa véritablement le concept avec le livre « Engines of creation » (version française ici).
Voici un petit documentaire qui résume bien les tenants et aboutissants de cette importante nouveauté qui se conjugue déjà au présent, que vous en soyez conscient ou pas :
Pour approfondir encore, j’ai constitué une liste de vidéos sur Youtube qui illustre plus ou moins complétement les différents aspects de ce domaine dont on a pas fini de parler !
Youtube regorge de contenus intéressants, le tout est de les trouver bien sûr !
Un peu par hasard, je suis tombé sur « la chaîne » de « bmcworksdriver » qui propose le documentaire « The flying scot », un film fort bien fait sur la carrière de Jackie Stewart (qui va bien au-delà de ses trois titres de champion du monde de F1, excusez du peu !). Même si c’est tout en anglais (mais assez facile à comprendre… enfin, je trouve), je vous recommande vivement de prendre le temps de visionner les neuf parties de ce documentaire rémarquable à http://www.youtube.com/user/bmcworksdriver#p/u
A la même adresse, vous trouverez également un documentaire sur Graham Hill et un autre sur Jim Clark (mais je n’ai pas encore vu ces deux-là et je ne sais si c’est du niveau de « The flying scot » qui est vraiment bien).
Je l’avais promis dans le billet sur ce sujet
Et… ça a mis un peu de temps à arriver. Enfin, elle est là, la vidéo de mon intervention lors de cette conférence. J’y parle de Facebook et de Twitter dans un cadre marketing et comme je n’avais que 15 minutes de temps de parole, je me suis contenté de détailler deux exemples d’utilisation pertinente (selon moi) de ces médias sociaux : iRacing.com et macosmetoperso.com
J’ai bien aimé le défi de faire tenir mon intervention en 15 minutes, une performance inhabituelle dans ce cadre et que j’ai été le seul à accomplir ce soir là (les autres intervenants ont largement dépassé… de plus, ils étaient aussi un peu hors sujet selon moi…).
Alain Lefebvre – Twitter et Facebook dans un cadre marketing from Rezonance on Vimeo.
Je viens de recevoir le livre « Qui se souvient de John Woolfe » de Michel Boixière et Michel Fournier. Il se trouve que ces deux auteurs se sont lancés dans une aventure un peu folle : retracer l’aventure -tragique- de John Woolfe, pilote anglais qui s’était tué au volant d’une Porsche 917 au premier tour des 24H00 du Mans 1969 (le seul pilote qui se soit tué au volant d’une 917…).
Ce livre est le fruit d’une enquête minutieuse qui emmena nos deux auteurs à aller bien plus loin et plus longtemps qu’ils ne l’imaginaient au départ, pour sûr !
Très richement illustré (plus de 250 photos dont 220 sont inédites) et avec beaucoup de témoignages des acteurs de l’époque, cet ouvrage n’est pas seulement un livre sur le défi fou de John Woolfe, c’est aussi un reflet sur ce qu’était cette course à cette époque, un monument. Tous les fans des 24H00 du Mans trouveront là un reccueil passionnant sur les différents aspects de cette course incroyable (elle l’est toujours). J’ai -modestement- participé à cet ouvrage en écrivant quelques pages sur l’histoire de la 917, pages que Michel & Michel ont utilisé comme bon leur a semblé.
Ce livre peut-être acheté 25 euros sur le site de l’association « L’Orée » à www.l-oree.org
Je viens de terminer le premier jet… Manque encore plein de choses bien sûr : illustrations, notes, (vos) témoignages, corrections, etc.
Mais ce premier jet est déjà lisible et permet de se faire une idée générale sur le ton et le contenu de l’ouvrage… Alors, si ça vous dit, le pdf est là : lien supprimé.