Racing, le parcours tardif d’un passionné de sport mécaniques

Avec cet ouvrage, j’ai voulu retracer mes différentes expériences en matière de compétitions mécaniques. Depuis les courses de Scalextric chez Denis jusqu’au challenge Arcobaleno aujourd’hui en passant par le Slot Racing, le challenge Honda de moto ou le challenge Yamaha de karting.

Mon but n’était pas seulement de faire un récit autobiographique de mes aventures sportives mais aussi d’analyser les ressorts qui ont rendu possible le parcours d’un passionné qui n’était pas particulièrement doué pour l’objet de sa passion.

Ce balayage de souvenirs me permet également de détailler ce qu’est le pilotage et la compétition et pourquoi on s’y brûle. Aujourd’hui, je suis en mesure de porter un regard particulier sur ces années où j’ai pu approcher ma passion d’enfant.

En effet, je ne me suis pas contenté de vivre ces différentes expériences mais j’ai toujours pris soin de prendre des notes et de prendre de la distance par rapport à ces événements, d’en comprendre le déroulement.

Avec le recul, je peux être content de ce parcours qui, sans être exceptionnel, m’a quand même permis d’éprouver ce que je désirais vivre par-dessus tout. Aujourd’hui, à votre tour d’en profiter en lisant entre les lignes : au-delà de mes expériences, c’est à un balayage de ce que sont les sports mécaniques et pourquoi ils nous fascinent que je vous invite.

Afin de réduire le nombre de pages (420 quand même !) et de garder le prix à un niveau raisonnable (26 euros), je n’ai finalement pas inclus les illustrations dans le livre mais, du coup, j’ai pu en poster plus en ligne sur Picasa… Les illustrations du livre :

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Racing ou le parcours d’un passionné


– Epilogue

Me voici arrivé au bout de cet ouvrage. Je ne suis pas certain d’avoir réussi à capturer et exprimer le pourquoi des sports mécaniques. La fascination qu’ils exercent restera donc encore mystérieuse.

En revanche, je suis heureux d’avoir pu transcrire ce que j’ai vécu et ressenti. En me forçant à ce travail de mémoire et d’écriture, c’est presque comme si j’avais pu en profiter une seconde fois !

Le virus ne guérit jamais
J’ai compris une chose en écrivant ces lignes : la passion qui est ancrée en vous ne s’éteint jamais, même si le désir prend des formes différentes selon les années et les expériences, même si, désormais, je n’ai plus le ressort nécessaire pour m’aligner en compétition, j’aurais toujours plaisir à tourner sur un circuit.

Et même si je n’en suis plus vraiment capable, je sais qu’on est jamais vraiment rassasié de compétition, qu’on finit toujours par la rechercher à nouveau sous une forme ou sous une autre. Quand on est dedans, on ressent parfois une lassitude (car c’est une situation dévorante). Mais, quand on y met fin, l’envie revient toujours, avec force, collante, obsédante.

Je connais mon profil de pilote
Je suis un compétiteur, c’est-à-dire que je ne suis pas très rapide pendant les essais mais que je donne le meilleur de moi dans la bagarre au sein du peloton. Paradoxe intéressant de cette activité égocentrique : j’ai besoin des autres pour donner le meilleur !

Parvenir à piloter correctement un engin donné, comprendre les endroits-clés d’un circuit, ressentir les réactions de la voiture, approcher ses limites, voilà le vrai plaisir du pilotage.

C’est un plaisir intense mais éphémère et, bizarrement, ce n’est jamais sur le moment qu’on le ressent. Dans le feu de l’action, la concentration recouvre tout, ce n’est qu’après, quand on s’arrête, que l’on peut se remémorer ce qui s’est passé et apprécier, enfin. Mais ce n’est déjà plus qu’un souvenir…

C’est en regardant la photo du podium de Magny-Cours que je me suis fait cette réflexion : tout ça pour ça !

Tous ces efforts, toute cette énergie pour aboutir à cette photo, seule trace tangible que toute cette aventure est bien arrivée. En début d’année, on espère ce podium, à la fin de l’année, on contemple sa concrétisation sur une image. Mais, en fin de compte, ce qui reste c’est qu’une année s’est écoulée…

Certes, c’est assez nostalgique comme réflexion mais c’est bien une forme (légère) d’amertume que je ressens en évoquant cette conclusion.


Commentaires (issus de mon précédent blog sur viabloga…).

Lien croisé

Le Blog Auto : “Allez télecharger le livre sur le site d’Alain et n’hesitez pas à lui laisser un commentaire. Il ne reste plus qu’à mettre Julien dans un baquet et on a notre écurie…”

Anonyme – 04.04.05 à 17:12 –

Bravo pour le bouquin

Bravo pour ce livre de souvenirs …tres bien écrit, trés vivant et donnant envie d’aller se défouler toujours plus au volant d’une voiture…ce parcours d’experiences trés variées m’a passionné, je me suis facilement identifié, n’étant pas un super pilote mais un amateur qui arsouille de temps en temps sur circuits avec sa porsche Boxster de série…

Je suis certain que vous pourriez le publier, en élaguant ici ou là quelques passages trops longs parfois…je pense que toutes ces experiences auto peuvent passionner plein de gens comme moi …

Bien cordialmement et encore Bravo !

Alain – 24.03.06 à 21:20 –

Lien croisé

Passion Legende : “écit passionnant qui retrace son parcourt du milieu des années 70 jusqu’à aujourd’hui. Si vous partagez un temps soit peu cet intérêt pour l’impitoyable monde des sport mécaniques, vous ne pourrez qu’être touché par cette remarquable lecture. Racing ou le parcours tardif d’un passionné ”

Anonyme (213.251.136.98) – 28.01.07 à 14:41 –

8 réponses à Racing, le parcours tardif d’un passionné de sport mécaniques

  1. Ping : Une version papier de “Racing” pour bientôt !

  2. Ping : “Racing”, version papier, en vente sur Amazon et Alapage…

  3. Ping : J’ai reçu le premier exemplaire de “Racing” !

  4. Ping : Un peu à partager par Alain Lefebvre » Archives du Blog » Mise en page d’un livre : une expérience éprouvante

  5. Eric BRAJON dit :

    Bonjour,

    vas voir le site http://slototo.jimdo.com
    il y a un certain Alain LEFEBVRE dans les classements slot 1981 !

    a+
    Eric

  6. alefebvre dit :

    Effectivement, c’est sympa de revoir tout ceci…
    1981 avait été une bonne année où j’avais gagné pas mal de courses (seul ou avec Didier Moret pour les épreuves d’endurances…), je raconte tout cela dans mon livre “Racing” mais là au moins, on a une “preuve” que je n’ai pas tout inventé !
    Merci Eric…

  7. j’aime beaucoup ta façon d’écrire, j’aimerais avoir autant d’aisance dans l’écriture

  8. Ton livre à l’air vraiment intéressé. Je suis une grande passionnée d’une monde automobile malgré que je sois une femme. Et oui c’est pas un sport que de messieurs ^^

    Je gère même un site sur des jeux de voiture si cela vous intéresse 😉

    Voituresjeux.fr

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